René Clair

Photographie, ce qu'elle était, ce qu'elle devra être » du Cahier d'art, n°1, p29,30 en 1929, un second de Germaine Krull, « Études de nu (préface) » dans librairie des arts décoratifs à Paris en 1939 et un troisième, celui de Roland Barthes « La chambre claire » à Paris, Skira en 1979, p181-184. Ces trois textes nous montre, le fonctionnement et l'utilisation, le métier d'art ainsi que la sagesse ou non qu'est la photographie. Dans le texte de Moholy-Nagy, il nous explique qu'elle vient d'être découverte

un son qui est amplifié par la caisse de résonance et par l'adjonction éventuelle de timbres. La hauteur du son dépend de la taille du fût (par exemple la grosse caisse délivre un son plus grave que la caisse claire) et de la tension de la peau. Les membranophones comptent la caisse claire, la grosse caisse, les toms, le tambour, le tambourin et les timbales. Idiophones : Un idiophone est un instrument à percussion dont le matériau lui-même produit le son lors d'un impact, soit par un accessoire

qui ressortent ainsi de l’obscurité. Courbet utilise donc la technique du clair-obscur pour mettre en valeur les visages. Le personnage de Marlet baigne dans la lumière tout comme la table. Cette façon de traiter la lumière est une référence à la peinture hollandaise, à la peinture du Nord à laquelle Courbet s’est énormément intéressé, en particulier pour Rembrandt et les frères Le Nain. [...] [...] Des zones plus claires associées à d'autres, plus sombres, donnent du modelé aux personnages. Cette

raconte alors les évènements en URSS. [ Le dessin fait à l’encre d’un tracé simple dont Hergé serait le précurseur de ce courant qui porte le nom de « ligne claire », qui est d’après lui « d’abord, non seulement un dessin, mais également un scénario et que les deux forment un tout. C'est ce "tout", inséparable, qui constitue la ligne claire. » Description des extraits : SEQUENCE 1 : Tintin arrivant dans une vallée aperçoit un groupe de personne au loin d’une usine qui se trouve être des

chute rapide de la fertilité des terres cultivées constituent les principaux facteurs de la déforestation (2-3% par an). Les formations naturelles restent les meilleurs écosystèmes de stockage du carbone (forêt dense semi décidue : 138,5 t ha-1; forêt claire: 71,7 t ha-1 contre 33,8 à 35,3 t ha-1 pour les superficies agricoles). Contrairement aux études antérieures (NYE & GREENLAND, 1960), le carbone stocké dans les 20 premiers cm des sols cultivés ne diffère pas de celui des sols sous les formations

le monde. Comme les notation ne sont pas normalisées, il faut toujours s'assurer d'avoir (ou de fournir) le légende de notation avec chaque partition! Ci-dessous, je vous montre ma version des notations. E SYMBOLES DE FÛTS  La caisse claire, en général dans le troisième intervalle en partant du bas, marquée d'une note pleine la "queue" (on dit hampe) de la note dirigée vers le haut, pour une frappe normale, d'une note marqué d'un "x" pour un cross-stick  La grosse caisse, sur le

LA NUIT > premier paragraphe L1 "une lune", "une lune radieuse", "une pleine lune" > anaphore L2-3 "terre innondée de lumière" > métaphore L6 "clair de lune" = répétition>importance de la nuit accentuée avec "nuit" L4. L4 "cri retentissant", L5 "rrugit et hérisse les poils", L6 "grondement terrifiant du clair de lune". Procure la peur et sentiment d'angoisse au près du lecteur, il tente de nous mettre dans l'ambiance générale de l'histoire. Néanmoins ces termes sont mis en parallèles

haut accrochent ainsi la lumière, alors que le volet intérieur crée une nouvelle obscurité sur la partie en haut à gauche. elle tend à se concentrer sur certaines zone, ici,elle met en évidence l'expression de saint Matthieu. Ceci crée un effet de clair-obscur . A l'inverse de Stomer, on ne distingue pas la source de lumière dans son tableau, on la voit plus douce avec moins de contraste. Le fond du tableau cependant est beaucoup plus sombre, la lumière met surtout en valeur les personnages principaux

éclaire les personnages afin de créer un contraste de clair obscur avec le fond très sombre sous les arcades. Le regard du père se trouve dans l’axe de la lumière, on peut même remarquer que son regard est parallèle à la ligne délimitant l’ombre et la lumière sur les arcades. Les couleurs : On constate différents contrastes de couleurs, le clair-obscur dont on a déjà parlé, qui est clairement marqué par le fond très sombre et les couleurs claires du premier plan. Mais l’œuvre s’appuie également sur

opposition avec l'approche typique de la Renaissance, qui a un éclairage de la toile uniforme, l’éclairage de la toile baroque se fait par taches. Cette technique attire l'attention sur certaines zones et en laisse d’autres dans la pénombre (utilisation du clair-obscur). Toujours dans un esprit de contradiction avec la Renaissance, la toile baroque donne des expressions faciales aux personnages présents sur la toile pour faire passer des sentiments. Elle représente aussi principalement une asymétrie (l’action