Rene De Chateaubriand 1802

1828 Ruy Blas, 1838 -Lamartine, Méditations poétiques, 1820 -Musset, Lorenzaccio, 1834 -Hugo, Odes et Ballades, 1828 Ruy Blas, 1838 En littérature : -Goethe, Les Souffrances du jeune Werther, 1774 -Chateaubriand, René, 1802 -Madame de Staël, De l’Allemagne, 1810 - Byron, Childe Harold, 1820 * En peinture : -Girodet, Les funérailles d’Atala, 1808 -Géricault, Le radeau de la Méduse, 1819 -Delacroix, La mort de Sardanapale, 1827 ; La liberté guidant

; De leur oeil inquiet ils regardent la neige, Attendant jusqu'au jour la nuit qui ne vient pas. Ce sont des vers de douze syllabes des alexandrins, Victor Hugo Victor Hugo de son vrai nom Victor Marie Hugo est né à Besançon le 26 Février 1802 et mort à paris le 22 Mai 1885. Victor Hugo est un acteur majeur de la littérature française, il était à la fois poète, dramaturge, écrivain, homme politique, Victor Hugo fût aussi un homme politique et un académicien. La place de Victor Hugo est exceptionnelle

| Corneille | Pierre | 1606-1684 | L'Illusion comique ; Horace ; Cinna ; Polyeucte | Baroque et Classicisme | Racine | Jean | 1639-1699 | Andromaque ; Britannicus ; Phèdre | Classicisme | Descartes | René | 1596-1650 | Règles pour la direction de l'esprit ; Discours de la méthode | Classicisme | Pascal | Blaise | 1623-1662 | Essai sur les Coniques ; Préface pour un Traité du vide ; Les Provinciales ; L'art de persuader

Pour revenir à Hugo, son imagination vibre au spectacle de la mer depuis Hauteville House à Guernesey. Dans ses études littéraires, Jean-Pierre Richard a privilégié les paysages intérieurs des écrivains, les « paysages d’âme ». Ainsi, celui de Chateaubriand et l’imaginaire de la Bretagne traditionnelle d’avant 1789. Dans le Salon de 1859, dans sa critique du réalisme, Baudelaire faisait l’éloge de cette subjectivité de l’imagination qualifiée de « reine des facultés ». « L’artiste ne doit peindre

de passion ardente et fougueuse. Les idées de Rousseau sont comme des idées sensuelles.» (Faguet). Par tout cela, c'est lui le vrai père du romantisme, bien plus que ceux qu'on va chercher au delà du Rhin et de la Manche. Toute la mélancolie de René, d'Obermann et de Lamartine découle de la sienne, et Musset ne fera que le traduire dans les cris de sa passion. Rousseau n'a pas seulement rouvert la source des larmes ; il a dessillé les yeux de ses contemporains. Cristallisant les tendances qui

1895 et Le Cahier rouge / 1907, les deux parus posthume. Son célèbre roman Adolphe est considéré comme le premier grand roman d’analyse psychologique de la littérature française. Ecrit en 1802, publié en 1816, Adolphe est marqué par tous les traits caractéristiques du roman personnel et en illustre, à côté de René, le type le plus pur sur le terrain français. Résumé A 22 ans, terminant ses études, jeune homme sensible, timide et léger, séjournant dans une petite ville d’Allemagne, Adolphe se laisse

Hugo. Alfred de Musset (1810-1857) sensible et émouvant : Les Nuits (1835-1837). Nerval. Alfred de Vigny (1797-1863), métaphysique et sombre : Les Destinées (1864) (poèmes : Le cor - Moïse - La Mort du Loup - La Maison du Berger…). Victor Hugo (1802-1885) couvre tout le siècle avec sa poésie multiforme. Recueils : Les Orientales (1829) (poème : Les Djinns) - Les Feuilles d'automne (1831) (Ce siècle avait deux ans…) -Les Chants du crépuscule (1835) (Les Semailles) - Les Voix intérieures (1837)

la poésie, celle qui est née de la chevalerie et du christianisme (chants des troubadours) : poètes lyriques du XII et XIII ème siècle. Plus tardif dans le reste de l’Europe, le Romantisme est annoncé en France au début du XIX ème siècle par Chateaubriand (écrivain français : 1768-1848) et Madame de Staël (femme de lettres française : 1766-1817). C’est une des œuvres de cette femme, « De l’Allemagne » qui va ouvrir la voie du Romantisme français (1810). Son apparition à la fin XVIII ème siècle

romantisme français au siècle précédent où Rousseau, dans La Nouvelle Héloïse mais aussi dans Les Confessions, revendique une littérature de la sensibilité opposée au rationalisme des philosophes. Au début du XIXe siècle, Chateaubriand, dans Les mémoires d'outre tombe ou dans René, évoque déjà l'insatisfaction des futurs romantiques. Mais ceux ci voient plutôt Goethe (écrivain et poète allemand, 1749-1832) comme leur père spirituel et considèrent Les souffrances du jeune Werther (1774) et Les affinités

développement de la presse, au XIXe siècle, qui permet une diffusion plus importante de la littérature. En effet, alors même que le combat pour la liberté de la presse (consacrée par la loi de juillet 1881) fait rage, de nombreux écrivains, de Chateaubriand à Zola, publient dans les journaux des articles, des critiques, des lettres d’opinion. En 1836, avec La Presse, Émile de Girardin crée le journal moderne, à prix modeste grâce à la publicité et à l’importance de la diffusion. La littérature trouve