Renonciation du pape

* Les réactions suite à la démission du Pape Benoit XVI : * * La démission du Pape restera un événement historique, la dernière fois qu’un pape * avait démissionné, c’était en 1415 avec le Pape Grégoire XII. Autant dire que c’est un évènement qui reste inhabituel. La première réaction globale suite à cette décision fut la surprise. Personne ne comprenait réellement cette décision, mais même après les explications de sa sainteté, cette décision ne fut pas acceptée par tous. * De

presse. Cela n'a pas empêché deux d'entre eux, l'archevêque de New York, Timothy Dolan et celui de Boston Sean O'Malley d'être cités de manière persistante comme de possibles outsiders. L'hypothèse d'un pape américain était taboue, il y a peu encore. Non seulement parce que Rome se méfiait d'un pape venu de la "superpuissance" d'outre-Atlantique mais surtout parce que l'Eglise américaine secouée par des scandales de pédophilie sans précédent était loin de représenter un modèle à suivre. Ces temps

du pape Dans quelle rubrique ? Religion De quelle taille ? A place dans le journal ? Il prend une grande place, il est à la première page, en gros titre Est-il illustré ? Comment ? Il est illustré avec une photo du pape Quelles informations sont des livres ? On y raconte que Benoît XVI a démissionné de son poste de pape Est-ce qu’il y a des traces de jugent ? Non, on ce demande déjà qui va lui succéder Le pape démissionne Le 11 février 2013, le pape, Benoît

signatures des renonciations. Le traité est donc signé sans les deux articles les + importants : renonciation couronne et au territoire Un an plus tard, les ambassadeurs arrivent à Londres pour avoir la renonciations à la couronne. Mais Edouard III répond que cela n’est pas possible car tous les territoires n’ont pas accepté la souveraineté anglaise donc Edouard III estime qu’on se fout de lui (=prétexte). 15 jours plus tard les ambassadeurs anglais arrivent à Paris en demandant la renonciations aux territoires

posées. Article 19 : « le nouvel évêque peut informer le pape de sa nomination, mais en aucun cas ne peut solliciter du pape une investiture canonique. » Après leurs élections, les évêques et curés doivent prêter serment et fidélité à la Nation, à la Loi et au Roi. (Pour le Roi : c’est le chef de l’adm°). L’Eglise est donc nationale, le clergé français n’a plus de lien avec Rome. Toute la réforme s’est déroulée sans la consultation du pape. Le clergé va se couper en deux, entre ceux qui acceptent

Napoléon 1er est debout, en tenue de sacre. Joséphine de Beauharnais: est agenouillée. Elle reçoit la couronne des mains de son mari, et non du pape. S Maria Letizia Ramolino, mère de Napoléon, a été placée dans les tribunes par le peintre. Louis Bonaparte, ; Joseph Bonaparte: après le couronnement, il reçut le titre de prince impérial. Puis il fut roi de Naples en 1806 et d'Espagne en 1808. Le jeune Napoléon-Charles, fils de Louis Bonaparte et d'Hortense de Beauharnais.

ecclésiastique ayant prêté serment de fidélité à la constitution nouvelle est autorisé à célébrer le culte. C’est dans cet esprit .Bonaparte en personne rencontre le 25 juin 1800 le cardinal Martiniana, pour lui confier une mission : faire part au pape du désir français de régler par un acte diplomatique le statut de la religion catholique en France. C’est « l’acte de naissance du Concordat » .L es négociations sont ouvertes. Avant de les examiner plus particulièrement, questionnons le principe

dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Or les sacres des rois de France avaient lieu habituellement à la cathédrale de Reims. Au moment où le pape allait prendre la couronne, dite de Charlemagne, sur l'autel, Napoléon la saisit et se couronna lui-même. Joséphine reçut de lui la couronne et fut sacrée solennellement impératrice des Français, alors que le pape Pie VII, assis à droite, tend la main en signe de bénédiction. Napoléon prend ici ses distances avec le protocole monarchique et veut rompre

et d'Afrique (en particulier la Chine). Ces traités, dénués de réciprocité en pratique, se sont révélés inconciliables avec l'évolution de la société internationale et ont progressivement disparu soit par extinction conventionnelle, soit par la renonciation des bénéficiaires (Turquie, 1923 : traité de Lausanne ; Égypte, 1936 : traité de Montreux ; Chine, 1953) ; le régime des capitulations est donc éteint. Il n'en est pas de même des privilèges accordés aux ministres publics. Il faut remonter à 1625

Urbain II (1042 – 1099) (né à Chatillon-sur-Marne vers 1042 - mort à Rome le 20 juillet 1099)Ce moine clunisien devint pape en 1088. Il réunit à Clermont-Ferrand un concile en 1095 et prêcha la Première Croisade qui partit l'année suivante sous le commandement de l'évêque du Puy, Adhémar de Monteil. Le 27 novembre 1095, à l'issue du concile de Clermont, le pape s'adresse aux évêques, pour demander d'aller au secours des chrétiens orientaux. Cet appel a été retranscrit, plusieurs années