René Guy Cadou Hélène Ou Le Règne Végétal

dernier vers « Les héritiers resplendissants ! », constitue bien la « pointe » traditionnelle d’un sonnet que le poète s’amuse à matérialiser en remplaçant l’alexandrin attendu par un octosyllabe, centré judicieusement. Mais la poésie, c’est aussi le règne de l’image, les figures de l’analogie comme les métaphores, les personnifications ou les allégories qui permettent de traduire plus concrètement la vigueur d’une idée. Les courtisans de Du Bellay sont « des vieux singes de cour » ; le bourgeois de Rimbaud

‘national’ epic La Franciade (1572), which he left unfinished. He revised and augmented his earlier work for six further Éditions collectives (1567–87) with which he hoped to ensure his posthumous fame. Notable among the additions were the Sonnets pour Hélène (1578), a new Petrarchist cycle, which were written perhaps to compete with Desportes, the court favourite of Henri III, and Du Bartas, whose reputations threatened to eclipse his own. During his final illness, he wrote of his physical decline (Derniers