Renée Phèdre

La Fontaine dit : « je me sers d’animaux pour instruire les hommes. » En effet, cet auteur classique du XVIIIème siècle s’inspire de textes d’auteurs grecs, comme Esope (VIème siècle) pour les transposer dans le contexte de son époque. Ainsi, il n’inclus jamais de personnages humains dans ses fables. Il divertis et instruit, en touchant le lecteur en employant divers registres et apporte grâce aux morales une dimension supplémentaire, telle que dénoncer les vices des hommes. Quelle condition de l’homme

DISCOURS DE PHÈDRE 1. Il dit qu’Éros est la source des biens les plus grands – C’est un Dieu important, admirable surtout par son origine- Il est le plus ancien et n’a ni père et n’a ni mère – Il mérite l’admiration chez les Dieu comme chez les Hommes – Qu’il y a qu’un seul Éros. 2. L’Amour rend capable les amants de mourir pour ceux qu’ils aiment – L’Amour les rend courageux. 3. Il pense que si on formerait une cité ou une armée avec des amants et leurs aimés, chacun rejetterait ce qui est laid

Phèdre Phèdre est une Tragédie écrite par Jean Racine. La pièce est décomposé en 5 actes (de respectivement 5, 6, 6, 6, et 7 scène). Phèdre (ou Phèdre et Hippolyte, comme ce fut jusqu’en 1687, lors de la première représentation et de la première publication) fut représenté la première fois le 1er janvier 1677 à l’hôtel de Bourgogne. La pièce comme le dit Racine dans sa préface est emprunté d’Euripide (Hippolyte porte couronne) et prends son histoire dans l’antiquité, puisque

BAC BLANC de FRANÇAIS Séries technologiques Lundi 1er mars 2010, durée 4h L’argumentation : convaincre, persuader et délibérer. Documents A. Jean de La Fontaine, « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion », Fables, I, 6, 1668-1696. B. Jean de La Fontaine, « Le Lion et le Moucheron », Fables, II, 9, 1668-1696. C. Jean-Jacques Rousseau, Emile ou de l’Education, II, 1762. Questions (6 points) 1. documents A et B : retrouvez la morale pour chacune de ces deux fables

et l'Agneau", cette merveille, pas un mot de trop ; pas un trait, pas un des propos du dialogue, qui ne soit révélateur. C'est un objet parfait." A.Gide (Journal 1939-1949, Bibl.de La Pléiade) (*) Les sources sont Ésope (titre identique) et Phèdre (I,1) que L.F. suit d'assez près (1) à l'instant même (2) assez hardi pour (3) "Tous ceux qui savent écrire et qui ont étudié, disent "je vais" [...] mais toute la cour dit "je va", et ne peut souffrir "je vais", qui passe pour un mot provincial

séduction de Phèdre dans cette scène. Phèdre est l’héroïne d’une tragédie grecque écrite par le dramaturge Racine. Seconde épouse du Roi Thésée, elle est amoureuse de son beau-fils, Hippolyte. L’extrait de la pièce se déroule à Trézène, en Grèce, alors que tout le monde croit que Thésée est mort en mer. C’est un personnage fort en émotions et en contradictions. Phèdre est écartelée

Phèdre Ô père, absous mes fautes. Je déplore mes actes mais comprenez mon désarroi. Tiraillé entre amour et contradiction, Mon âme était si confuse que je ne me sentais point moi-même. Pitié, je vous en prie, ayez pitié de moi. N’avez-vous jamais commis une méprise quel quelle soit ? Le sentiment incontrôlable qu’est l’amour, ne permet aucun choix. Il nous envahit l’esprit, l’âme et le cœur et nul ne peut le nier. Ainsi, cet Hippolyte m’a subjuguée contre ma plus grande volonté. Mais

PHEDRE : Acte I scène 3 Introduction : Phèdre 1677 dernières tragédies inspirées de l’antiquité commet de sa gloire. Thésée époux de Phèdre et père d’Hippolyte absent du royaume 1 er scène où Phèdre apparaît. Elle veut mourir elle finit par avouer à Oenone (L’amour qu’elle a pour Hippolyte) Tirade sous forme de récit lyrique qui reconstitue les étapes de la passion donc la naissance de cet amour monstrueux et les tentatives pour y échapper. Comment l’expression de l’amour fait apparaître

Phèdre Et La Fatalité Phèdre et la fatalité Question : Phèdre est-elle coupable ou innocente? Pour ce qui est de la culpabilité de Phèdre, on peut la rapprocher avec la fatalité. Elle ressent sa passion comme fatale. C'est-à-dire qu’elle ne peut être expliquée. Le destin prend la forme de l’hérédité. Et l’hérédité que porte Phèdre en elle, la pousse à la plus fatale des passions. D’après la société, il n’y a de faute que s’il y a liberté d’action. Or la vengeance de Vénus met Phèdre dans

Thésée : c'est le premier aveu de l'exposition, vers 56. Phèdre apparaît à la scène 3, languissante et désirant mourir. Elle est accompagnée de sa confidente Oenone, à qui elle finit par révéler son amour coupable et vainement combattu pour Hippolyte, son beau-fils. A la scène 4, l'annonce de la mort de Thésée constitue un évènement qui noue l'action. L'acte I noue les fils de l'action et constitue le premier palier : le premier aveu de Phèdre. Acte II Nouvelle scène héros-confident, cette fois