Réplique culte

désigne classiquement les régimes fascistes, nazi et staliniens. Ces régimes totalitaires reposent sur des critères qui les distinguent des autres régimes politiques : soumission, encadrement et endoctrinement total de l’individu et de la population, culte du chef, usage de la terreur pour éliminer tous les opposants politiques, système de parti unique. Le régime des Khmers rouges, inspiré du maoïsme et dirigé par Pol-Pot de 1975 à 1979, répond à la plupart de ces caractéristiques. C’est l’idéologie

fascistes pour soigner sa propre image. Il travaille comme un acteur ses gestes, ses mimiques et ses intonations. La propagande doit renforcer le culte du chef en jouant sur l'émotion des spectateurs. Ainsi, si l'image que nous étudions n'était pas destinée à un large public, nombreuses seront les photographies dites « officielles » destinées à promouvoir le culte du chef. En compagnie de Heinrich Hoffman, son photographe officiel, Hitler pose afin de se donner une image positive aux yeux du peuple

moyens pour endoctriner la population. Il y a aussi la cencure: toute l'information est contrôlée. L'encadrement social et culturel: les loisirs, le sport, la culture, sont encadrés par l'Etat. Pour finir, Staline est assimilé à une divinité (culte de la personnalité). L'Etat contrôle et encadre les individus afin d'obtenir leur soumission. On peut alors dire que Staline a mis en place un régime totalitaire car il a réussi à contrôler totalement toutes les dimensions de la vie humaine afin

les citoyens, la cohésion fait qu’ils veulent rester citoyens (et ne pas partir du coter des barbares). Devenir citoyen présente donc de nombreux avantages mais également des limites. Par exemple un citoyen a l’obligation de participer au culte impérial en l’honneur de l’empereur Auguste : c’est une conséquence politique de cet édit. Ceux ne sont pas forcément d’avis à le faire y sont contraints. D’un point de vue positif, le fait de financer les dépenses de l’armée pendant la guerre en payant

inspiré de ces trois systèmes qui ont marqué l'histoire, et plus particulièrement du système soviétique communiste. L'auteur met donc en avant les différents principes des régimes totalitaires, à dire: un chef absolue qui détient tous les pouvoirs; le culte de la personnalité; l'interdiction de toute opposition au régime; l'importance de la propagande; l'emprisonnement des esprits et la terreur. On retrouve ainsi une atmosphère très sombre dans le roman, traduisant une vision de l'homme et du monde moderne

utilisation d'une police politique qui n'hésite par à torturer, mise en place du Goulag (définition...), où les conditions de travail et de détention sont particulièrement difficiles. La propagande : via les affiches (qui développent un véritable « culte de la personnalité) ou via le cinéma comme le montre les films d'Eisenstein. Conclusion : Staline crée un Etat totalitaire, c'est-à-dire un Etat qui cherche à tout contrôler, l'économie comme la société. 

Legentil et Hubert Rohault de Fleury, entamèrent les démarches qui devaient aboutir à la réalisation de la basilique du Sacré-Cœur. La construction de la Basilique se fera donc au sommet de la but de Montmartre qui est depuis toujours un lieu de culte, le sommet de la but s’élève à plus de 130 mètre au-dessus du niveau de la seine, c’est le cite naturel le plus haut de Paris est l’une des collines les plus hautes de Paris. La butte portait dans ces jours le nom de « Mont Marat », après Jean Paul

Document : le culte de la Vierge de Guadalupe (en image : original du dessin apparu sur la tunique de Juan Diego) Les Indiens ont « digéré » le christianisme ; ils l'ont cannibalisé et indianisé profondément et c'est là la forme la plus significative de leur résistance. L'Église a constamment voulu reprendre les choses en main, mais elle s'y prend en indianisant les rites et les croyances. Si bien qu'on aboutit à des formes nouvelles de christianisme, métisses, indiennes et populaires. Le meilleur

politique comme la convocation du Sénat) et l’auctoritas. => le fondement sociologique repose sur le titre de patron et père de la patrie qui s’exerce sur les populations civiles et sur l’armée => le fondement charismatique s’exerce à travers le culte impérial (et religieux) - La succession : elle s’appuie à la fois sur la conception d’hérédité et doit également laissé le choix au Sénat. - Privatus : l’Auguste est un citoyen et est soumis au respect des lois et devra demander l’autorisation

greco-romaine et dans un état de rébellion potentielle. 3) L’octroi de la citoyenneté est justifié pour deux raisons selon l’empereur. D’une part il s’agit d’augmenter le nombre de fidèles du culte impérial. En effet Caracalla affirme ainsi rallier « des dizaines de milliers de fidèles » (l.3). Comme le culte impérial sert à manifester l’attachement à l’ordre romain, l’empereur espère donc surtout affermir le contrôle de Rome sur les provinces. D’autre part et en reprenant des arguments déjà employés