Repos dominical

Les sources du droit du travail : 1er Loi 1791:décret d'Allarde : toute personne peut exercer l'activité de son choix 1841:interdiction de l'embauche d'enfants de moins de 6 ans dans les usines 1884 : Loi Val Dec Rousseau : liberté syndicale 1906 : repos hebdomadaire 1910 : 1er code du travail 1919 : limitation de la durée de travail 1936 ; congés payés 1950 : SMIG (salaire minimum interprofessionnel garantie) 1970 : SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance) 1967 : ANPE devenue en 2011

droit d’agir en justice a l’encontre dune entreprise qui avait méconnu la règle du repos dominicale. La méconnaissance de cette règle créait une rupture d’égalité au préjudice des entreprises qui respectaient la règle du repos dominical. Cette solution n’est nullement exclusive de la possibilité pour les syndicats de salariés d’agir de leur côté pour les salariés victimes du non respect de la règle du repos dominical. L’action en justice est issue d’une Loi de mars 1920, celle-ci ne consacre pas simplement

personnel * Art L 6343-3 Code du Travail : Le stagiaire non titulaire d’un contrat de travail ne peut pas accomplir d’heures supplémentaires. * Art L 6343-4 Code du Travail : Le stagiaire non titulaire d’un contrat de travail bénéficie du repos dominical. d) La gratification pour un stagiaire Article L. 242-4-1 du code de la sécurité sociale : 12,5% du plafond horaire de sécurité sociale *nombre d’heures de stage effectuées au cours du mois considéré. Le stagiaire n’est pas un salarié

supplémentaires .......................................................... 9 Les contreparties ....................................................................................................11 Repos compensateur de remplacement .................................................................11 Le repos compensateur obligatoire ........................................................................11 Majoration de salaire ........................................................................

entreprises amenées à travailler pour le compte de l’État, en particulier pour le secteur des travaux publics, le respect de conditions de travail minimales, déterminées par les syndicats de patrons et d’ouvriers (durée du travail, salaires, repos dominical...). 1er septembre 1899 Création d’un Conseil supérieur du travail. 30 mars 1900 Loi sur le travail des femmes et des enfants. 30 septembre 1900 Promulgation de la loi Millerand qui abaisse à onze heures la durée du travail journalier

1 - Le droit du travail évolue Voir focus prof (§1 et 2) - En fonction de considérations sociales : lois sur les discriminations à l’embauche, à la promotion… - En fonction de considérations économiques : lois sur la durée du travail, sur le repos dominical, lois sur le licenciement… - En fonction de considérations juridiques : mise en conformité avec le droit communautaire. Complément prof §3 arrêt Dellas Du fait du progrès technologique : impact, des TIC dans le monde du travail (vidéo surveillance

gages ; pour le paiement du salaire de l’année échue ; et pour les à comptes donnés pour l’année courante ». La journée de travail de l’ancien régime reconnaissait le repos dominical et le repos des fêtes religieuses : cela n’existe plus depuis la loi d’Allarde (travail de nuit, journée de 15 heures, travail des enfants, pas de repos maternité). Pour des raisons de santé, des médecins dont le docteur Villermé qui font le début d’un interventionnisme protecteur. C’est sous influence qu’est introduite

charte d’Amiens : l’organisation repose sur deux piliers, les fédérations d’industrie au niveau national et les bourses du travail au niveau local. Une camarade reviendra sur les grands principes de fonctionnement syndicalistes révolutionnaires, qui sont ceux de la CNT aujourd’hui. Répression et concessions se poursuivent après 1906 : 8 heures de travail pour les mineurs, protection des femmes, congé maternité, avancées de la médecine du travail... et surtout 1 jour de repos hebdomadaire et la création

autrui qu’il lui demande une indication de direction dans la rue, qu’il mange le plat commandé au restaurant, etc. L’expression de « pratique de la différence » doit être comprise au même titre que celle de pratique chrétienne, non pas la pratique dominicale, mais celle de la parole de Dieu écoutée et pratiquée. L’homme pratique la différence parce qu'il ne peut faire autrement que de s’en remettre à l’autre, sans vérifier, sans savoir si l’autre dit vrai ou non. Il faut même dire que la preuve interdit

autrui qu’il lui demande une indication de direction dans la rue, qu’il mange le plat commandé au restaurant, etc. L’expression de « pratique de la différence » doit être comprise au même titre que celle de pratique chrétienne, non pas la pratique dominicale, mais celle de la parole de Dieu écoutée et pratiquée. L’homme pratique la différence parce qu'il ne peut faire autrement que de s’en remettre à l’autre, sans vérifier, sans savoir si l’autre dit vrai ou non. Il faut même dire que la preuve interdit