Reprise Lexicale Définition

minimale du fantastique à celle qui se rapproche le plus du merveilleux. En outre, cette répartition contribue à desserrer le cercle étroit que Tzvetan Todorov trace dans son Introduction à la littérature fantastique (1970). En effet, sa célèbre définition, que de nombreux manuels scolaires proposent encore comme la seule possible, exclut de son champ d’application tout un corpus de textes dans lesquels le surnaturel est avéré. Ceux-ci ne provoquent donc pas vraiment d’hésitation chez le lecteur (songeons

divertissement, puis nous verrons qu'il fait appel à des cas limites de divertissement pour appuyer son raisonnement, et enfin, nous montrerons que, pour Pascal, le bonheur est impossible au simple mortel de quelque manière que ce soit. I-La définition du divertissement 1) Typologie du divertissement - On observe une multiplicité des divertissements : effet d'accumulation dans l'énumération de toutes les formes de divertissements. Les divertissements sont ainsi pluriels, et semblent être une

Activités de langue et préparation à l’écrit. | * Enrichir son vocabulaire ; * Reconnaître le champ lexical du mot dialogue et savoir le réemployer correctement. * Associer des questions à leurs réponses en prenant en considération le type de la question ; * Elaborer un questionnaire sur un sujet donné. | A/ Activité de langue :1-Lexique thématique et relationnel.a- Lexique thématique (champ lexical des mots « agriculture »et « famille » -Exercice /Corrigé.b-Lexique relationnel (le vocabulaire

décorée, chargée, comme figée dans le temps - lumière inquiétante et vacillante - perception brouillée par le froid, la fatigue et la fièvre - solitude d.les phénomènes étranges - les objets s’animent et prennent vie : la personnification Définition : Une personnification est une métaphore qui consiste à donner à un objet des caractéristiques humaines (les pieds de la chaise) Quels points communs avec Le Portrait ovale ? 2.L’opposition des textes narratifs et descriptifs a.définitions

« vieux » « long ». Gradation + assonance en [i] « Qui vit, s’agite et se tortille, / Et se nourrit » Définition de « remords » : « sentiment de culpabilité que l’on éprouve lorsqu’on a commis une faute ». L’a lternance entre alexandrins et octosyllabes imite le va-et-vient

fait sentir → par la comparaison renversée « le violon frémit comme un cœur qu'on afflige » Baudelaire met la musique en évidence + voile les sentiments. Article indéfini « un » dans « un cœur qu'on afflige » → impression d'impersonnalité mais la reprise du groupe nominal en apposition et la particularisation par la relative « qui hait le néant vaste et noir » avec la violence de l'opposition entre « tendre » et « hait » révèlent bien qu'il s'agit du poète. Vue du soleil couchant + souvenir de

narrateur craint la chose inconnue qu'il vient de percevoir. Il craint cet être invisible qu'il appellera le Horla. L'homme ressent aussi de l'angoisse, une autre émotion caractérisant le fantastique. Dans le texte le narrateur atteint à quelques reprises cet état morbide de la conscience. On le voit bien lors que le narrateur marche seul dans les bois et il décrit ce qu'il ressent de cette façon: «Un frisson me saisit soudain, non pas un frison de froid, mais un étrange frisson d'angoisse.» (p.59)

l'humble antienne Par ce tiède soir, tout bas ? Analyse : I) Un paysage ? A. Le champ lexical On relève des termes tels que "bois", "brises", "ramures", "petites voix" qui sont celles des oiseaux, "gazouille et susurre", "herbe", "eau", "cailloux", "plaine" ou "soir" qui décrivent une nature douce, calme et printanière. B. Cependant interpénétration de la nature et du monde humain On note, en plus du champ lexical se rapportant à la nature, un vocabulaire "humain" avec : "extase langoureuse", "fatigue

structure du poème est celle d’un poème classique en alexandrin, constitué de neuf strophes. Les rimes sont croisées, et en alternance entre féminine et masculine. (ex : vidée/ idée ; mur/obscur) Les rimes sont dans l’ensemble suffisante car il y a la reprise d’un groupe de voyelle et d’une consonne (ex : oiseau, roseau) Chaque strophe semble être une phrase autonome, terminée par un élément de ponctuation. En effet, malgré des points d’exclamations ou d’interrogations en milieu de strophe qui accentue

produits par l'appareil phonatoire humain ; phonologie : étude des éléments d'articulation de deuxième niveau, ou phonèmes, d'une langue donnée ; morphologie : étude de la structure interne des mots ; syntaxe : étude des rapports entre unités lexicales dont la combinaison forme des phrases ; sémantique : étude du sens des mots et des énoncés ; stylistique : étude du style d'un énoncé littéraire ou non ; le style constitue-t-il un écart par rapport à une norme ? pragmatique : étude de l'utilisation