Reproductibilité

témoignent de la même évolution, avec la reproduction imprimé à grande échelle. En 1936, réfléchissant aux conséquences de la photographie, du cinéma et et des procédés de reproduction en série sur l’art, le philosophe Walter Benjamin estime que cette reproductibilité fait perdre à l’oeuvre son «aura», ce rayonnement presque sacré dont bénéficie une oeuvre d’art authentique. A sa place se développent des formes de consommation culturelle de masse. L’art est alors affecté jusque dans sa conception par les moyens

Walter Benjamin : « L’œuvre d’art à l’ère de sa reproductibilité technique » écrit en 1939 B. y expose une vision largement négative de l’émergence de nouveaux dispositifs médiateurs aux effets, selon lui, destructeurs. Pour lui, lorsque les œuvres se transmettent par la « machine » médiatique qui les reproduit, la perte de l’ « aura » qui en résulte entraine fatalement un déficit du côté des amateurs. I. La perte de l’ « Aura » La « déchéance de l’aura », c’est par exemple le passage d’une œuvre

Dans son ouvrage L'oeuvre d'art à l'époque de sa reproductibilité technique le philosophe allemand Walter Benjamin s'interresse aux évolutions corrélées de la valeur de l'oeuvre d'art et de sa fonction sociale. Plus qu'une réflexion philosophique sur l'esthétique de l'art, cet essaie souligne sa dimension politique et sociale. La question qui le traverse est la suivante : Comment la reproductibilité technique a-t-elle entrainé une modification profonde de la perception de

mesures provenant de multiples prises d’un même échantillon homogène (résultats d’essais indépendants) dans des conditions prescrites. Indication sur les erreurs aléatoires 3 niveaux : - Répétabilité - Fidélité intermédiaire (intra-laboratoire) - Reproductibilité (inter-laboratoire) Fidélité 1. Répétabilité (SFSTP) Conditions où les résultats d'essai indépendants sont obtenus par la même méthode sur des individus d'essai identiques dans le même laboratoire, par le même opérateur, utilisant le même

Revue DEMéter, décembre 2003, Université de Lille-3, disponible via www.univ-lille3.fr/revues/demeter/copie/boissiere.pdf La reproductibilité technique chez Walter Benjamin Anne BOISSIERE1 Résumé On s’efforce de resituer la conception de la reproductibilité technique chez Walter Benjamin dans le contexte historico-politique qui lui donne son sens. La reproductibilité technique ne relève pas d’une problématique ontologique, celle à partir de laquelle on aborde en général la question de la copie

BOPLA TD : Analyse des résultats de TP Mots clés : Calcul de la répétabilité et de la reproductibilité d’une méthode : la répétabilité et de la reproductibilité étant une expression de la précision, il faut calculer la dispersion des résultats afin d’estimer l’erreur aléatoire. Or, une série de résultats expérimentaux peut être entachée d’erreur aléatoire et d’erreur grossière. L’erreur grossière étant « accidentelle », il ne faut pas en tenir compte dans le calcul de la précision et supprimer

17,50 1,062 1,059 20,00 1,069 22,50 1,080 1,079 1,079Solution A : 8,00 g/100mL Solution B : 12,00 g/100mL Solution C : 16,00 g/100mL Solution D : 19,00 g/100mL Solution E : 21,00 g/100mL Solution F : 24,00 g/100mL Analyse : Critère 1 : reproductibilité Tout d’abord, afin d’affirmer que ce laboratoire est reproductible, il faut que la valeur expérimentale provienne d’une moyenne d’au moins 3 donnés ainsi qu’il faut que l’écart entre ces données soit inférieur à leur incertitude. Critère 2 :

75 2 1 1 476,25 1 9 Opérateur Réponse Essai Etude : Gage2.MTW R&R d'instrumentation de Réponse - Méthode X barre-R Source R&R de l'instrumentation totale Répétabilité Reproductibilité De pièce à pièce Variation totale %var étude Source(%VE) R&R de l'instrumentation totale 88,38 Répétabilité 88,38 Reproductibilité 0,00 De pièce à pièce 46,79 Variation totale 100,00 CompVar 7229,94 7229,94 0,00 2026,05 9255,99 % contribution(de CompVar) 78,11 78,11 0,00 21,89 100,00 Variations d'étude

Critère 1 : reproductibilité  La reproductibilité de cette expérience était non significative, en faite, elle n’existait point, car nous n’avons pas reproduit l’expérience une seule fois. Nous n’avons donc pas pu calculer aucun écart maximal entre nos valeurs vues que nous en avions qu’une seule. Nous avions donc un résultat unique, non-reproductible et donc, par le fait même, un résultat par rapport auquel l’on ne pouvait conclure sur sa fiabilité vue le grand manque de donné. Notre résultat

peu les verts de cuivre parce que instables. (vermeer, 17e..). L'image numérique en générale est, de fait, désincarnée et prend forme en lieu et place choisie à l'instant. Elle est reproductible, multiple. (voir "l'oeuvre d'art à l'époque de la reproductibilité technique, W. Benjamin, notament sur la perte de l'aura.) Mais paradoxalement, des choix précis sont opérés sur ces supports et qui ne se limitent pas au cadre fixe. Ils deviennent complexes en eux-même et dans leur relation spatiale quand