Républicanisme

cours de l’année 1573. Un protecteur militaire est choisi, le prince de Condé en 1574, Henri de Navarre l’année suivante. Les historiens ont d’abord cru voir dans ce qu’ils ont appelé les « Provinces-Unies du Midi » (Jean Delumeau) l’ébauche d’un républicanisme consulaire à la manière hollandaise, quasiment un « État » huguenot dans l’État royal. De nouvelles recherches voient plus classiquement dans ce mouvement un équivalent protestant des États généraux. Ni Condé dans les années 1570 ni Rohan un demi-siècle

nationales et des problématiques locales. Ils ont ainsi permis la survie des idées républicaines au temps de la répression impériale en en imprégnant leur culture locale. 3.2.2 Politisation paysanne, résistance à la modernisation et usages du républicanisme. Le schéma de la modernisation politique comme descente de la politique vers les masses est en faite habité par l’imaginaire et le discours politique des républicains eux-mêmes. C’est l’idée d’un progrès, d’une rupture avec l’obscurantisme

cours de l’année 1573. Un protecteur militaire est choisi, le prince de Condé en 1574, Henri de Navarre l’année suivante. Les historiens ont d’abord cru voir dans ce qu’ils ont appelé les « Provinces-Unies du Midi » (Jean Delumeau) l’ébauche d’un républicanisme consulaire à la manière hollandaise, quasiment un « État » huguenot dans l’État royal. De nouvelles recherches voient plus classiquement dans ce mouvement un équivalent protestant des États généraux. Ni Condé dans les années 1570 ni Rohan un demi-siècle

politique et se rallie à la Monarchie de juillet mais échoue à la députation. Il voyage alors en Orient visite la Grèce, le Liban et les lieux saints du christianisme. En 1833, il est élu député et le restera jusqu'en 1851 : il évolue du royalisme au républicanisme et prononce des discours remarqués. Il joue un rôle important au moment de la Révolution de 1848, proclamant la République ; il est pendant trois mois chef du gouvernement provisoire, mais se retire de la politique après sa lourde défaite, n'obtenant

sort. La procédure avait été introduite à Florence pour la première fois en 1291, mais cette première expérience s'était avérée de courte durée. La combinaison du scrutin d'approbation et du sort, qui devint l'une des pierres angulaires du républicanisme florentin, fut en fait établie par les ordonnances de 1328. Le préambule des nouvelles ordonnances décrivait ainsi l'objectif de la réforme (y compris donc l'emploi du tirage au sort) : « Ceux des citoyens de Florence que les bons citoyens

identitaire, Moscou veut aussi taper sur les socialistes français, ennemis du peuple querelles théoriques aussi entre les courants de pensées de gauche • Arrive le parti radical, parti de tous les gouvernements, a travers lui on peut présenter le républicanisme, forces et faiblesses, Possibilité consensus, majorité presque partout, on les place a gauche valeurs alors que a droite sur économie, défend idéal républicain, égalité, école , laïcité, héritier 1789, a l’intérieur de ce parti, club d’élus

lors de la Guerre d'indépendance américaine, crée, avec l'aval du comte d'Artois, une organisation clandestine, l'Association bretonne, qui rassemble par diocèse avec comme principaux objectifs la défense de la monarchie contre la progression du républicanisme, la conservation des propriétés et le rétablissement des lois et coutumes particulière de la Bretagne. Son but est de gagner les garnisons, régiments, maréchaussées et gardes nationales dans les principales villes de Bretagne[7]. De nombreux

contraint par la communauté » : en effet, cette forme d’autonomie dans l’acceptation d’une croyance suppose un recul critique qui est précisément ce que la religion que nous venons d’évoquer souhaite éviter. Elle n’est pas compatible non plus avec le républicanisme libéral que nous envisagerons plus loin. Le libéralisme est donc une thèse prescriptive (un Etat juste doit maximiser les libertés individuelles) qui fait un certain nombre d’hypothèses descriptives ou factuelles (il existe des individus autonomes

région a été une nouvelle fois marquée négativement par l’histoire, l’anti-républicanisme de la 2nde Guerre mondiale. Sous le régime de Vichy, le maréchal Pétain avait installé des régions de programme avec à leur tête un préfet de région assisté de deux intendants. L’un se chargeait des affaires économiques, l’autre du maintient de l’ordre. Les régions s’étaient retrouvées associées à la collaboration et à l’anti-républicanisme, ceci d’autant plus que dans la même période des mouvements régionaliste

qu’il faut retrouver la solidarité avec ceux qui sont morts pour la France, avec ceux qui ont défendu notre terre. C’est « la possession en commun d’un antique cimetière et la volonté de faire valoir cet héritage indivis (qui n’est pas divisé). Le républicanisme peut se situer à gauche. A droite on aime bien Barrès car il est très élogieux à l’égard d’un régime fort, incarné par un chef, un régime qui s’organiserait selon un régime militaire qui pourrait s’appuyer sur une procédure plébiscitaire permettant