Réservoir de Montsouris

de conduites dans Paris b. Paris peut il manquer d’eau ? La diversité des ressources (eaux souterraines et eaux de surface) garantit une sécurité d'approvisionnement de la capitale. Avant d'être distribuée, l'eau potable est stockée dans 5 réservoirs principaux d'une capacité globale de 1,4 million de m3 d'eau, volume correspondant à plus de 2 jours de consommation. Le réseau parisien est interconnecté avec l'ensemble du réseau de la banlieue de Paris: en cas de besoin, les différents fournisseurs

bois de Boulogne, le bois de Vincennes, le parc des Buttes-Chaumont et le parc Montsouris. Chaque quartier reçoit aussi des squares (environ 80 squares pour chaque département). Pendant cette période, 80 000 arbres ont été plantés dans les rues de Paris. Haussmann a aussi fait construire 600km d'aqueduc et l'ingénieur Belgrand à créé le plus grand réservoir d'eau du monde près du parc Montsouris (le réservoir de Montsouris) Haussmann avait prévu un budget pour ses travaux mais cela coûte beaucoup

certain nombre de parcs et jardins : ainsi sont créés, le parc Montsouris ou encore le parc des Buttes-Chaumont. D'autres espaces déjà existants sont transformés, c'est le cas des bois de Vincennes et Boulogne. Le mobilier urbain et les égouts : Il crée en parallèle, avec l'ingénieur Belgrand, des circuits d'adduction d'eau et un réseau moderne d'égouts : le paris souterrain. Ainsi que des aqueducs et des réservoirs d’eau comme Montsouris ou Ménilmontant. 4 – LES LIMITES DE L’HAUSSMANNISATION

 LEVÊQUE    ou  le  diadème  de  l’acqueduc  de  la  Vanne PROCESSUS  D’ESTHETISATION   Datant   de   1930,   le   pavillon   est   construit   au-­dessus  de  l’aqueduc  du  Loing,  conduisant  l’eau   des  «  sources  du  sud  »  au  réservoir  de  Montsouris.   Ouvert  au  public,  il  accueille  un  espace  de   sensibilisation   sur   l’eau   à   Paris   ainsi   que   deux   fontaines   d’inspiration   néo-­classique   symbolisant   le   don  de  l’eau  et  de  la  vie.   Il   est   surmonté

confié à l’ingénieur Jean-Charles Alphand le soin de créer plusieurs parcs et bois. À l’est et à l’ouest de la ville se trouvent les bois de Boulogne et de Vincennes.  À l’intérieur de l'enceinte de Thiers, le parc des Buttes-Chaumont et le parc Montsouris offrent des promenades aux habitants des quartiers trop éloignés des grands bois extérieurs. Le parc Monceau est en partie loti et construit. Chaque quartier reçoit aussi des petits squares (environ 80 squares pour les 80 quartiers de Paris, la

égouts. De 1865 à 1900 600 aqueducs seront construits, de nos jour il y a 2500 kilomètres d'égouts. Le second projet du Baron Haussmann était d'alimenter Paris en eau potable, pour cela il a fabriqué deux grands réservoirs d'eau de source. Le plus grand se situe dans le quartier Montsouris à proximité de la porte d'Orléans, dans le sud de Paris, sa première mise en eau remonte à 1874. Grâce à deux aqueducs l'eau de source était prélevée directement à 100 kilomètres au sud de Paris et fournissait

d’espaces verts vont être créés dans la capitale par l’ingénieur Alphand, auquel Haussmann confie également la tâche de planter des arbres sur toutes les nouvelles artères de plus de 20 m de large. Des parcs intra-muros sont ainsi créés : le parc Montsouris, les Buttes-Chaumont, construites sur les collines de gravats provenant des démolitions, et le parc Monceau, « plate-bande nécessaire de ce Paris nouveau » (La Curée). Dans La Curée, Aristide Saccard est un financier qui profite de la politique

construction de 600 kilomètres d’aqueduc entre 1865 et 1900. Le premier, celui de la Dhuis, ramène une eau captée près de Château- Thierry. Ces aqueducs déversent leur eau dans des réservoirs situés à l’intérieur de la capitale. À l’intérieur de la capitale et à côté du parc Montsouris, Belgrand érige le plus grand réservoir d’eau du monde pour recevoir l’eau de la Vanne. Un second réseau, consacré à l’eau non potable, continue à puiser l’eau de l’Ourcq et de la Seine, utilisée pour le nettoyage de

entre 1865 et 1900. Le premier, celui de la Dhuis, ramène une eau captée près de Château-Thierry. Ces aqueducs déversent leur eau dans des réservoirs situés à l’intérieur de la capitale. À l’intérieur de la capitale et à côté du parc Montsouris, Belgrand érige alors le plus grand réservoir d’eau du monde pour recevoir l’eau de la Vanne, le réservoir de Montsouris. Un second réseau, consacré à l’eau non potable, continue à puiser l’eau de l’Ourcq et de la Seine, utilisée pour le nettoyage de la voirie

entre 1865 et 1900. Le premier, celui de la Dhuis, ramène une eau captée près de Château-Thierry. Ces aqueducs déversent leur eau dans des réservoirs situés à l’intérieur de la capitale. À l’intérieur de la capitale et à côté du parc Montsouris, Belgrand érige alors le plus grand réservoir d’eau du monde pour recevoir l’eau de la Vanne, le réservoir de Montsouris. Un second réseau, consacré à l’eau non potable, continue à puiser l’eau de l’Ourcq et de la Seine, utilisée pour le nettoyage de la voirie