Respect Du Cadavre

mais il n'est pas encore un enfant. Il deviendra un enfant à sa naissance vivant et viable et avec déclaration acte civile. Législateur - loi 1975 sur L'IVG ne nous donne pas des questions sur ce qu'est une personne. Elle commence à affirmer le respect de tout être humain en commencement de sa vie. On pourrait prétendre être en présence d'une personne. Ce délais à été choisis pour des raisons purement pragmatiques, car parfois il faut du temps pour constater la grossesse, et il faut laisser un temps

§ II L'INCERTITUDE SUR LA MORT Il arrive que l'on soit dans l'incertitude quant à l'existence d'une personne parce qu'on est sans nouvelles d'elle sans que pour autant on ait retrouvé son cadavre. Il convient dans ce cas de distinguer deux hypothèses : l'absence et la disparition. Après avoir précisé le critère de cette distinction, on envisagera le régime juridique de chaque situation. A/ LA DISTINCTION DE L'ABSENCE ET DE LA DISPARITION Dans les deux cas, on est sans nouvelles d'une personne

V10/31/42/45. Asyndète : « Il passait dans la rue, ils ont tiré dessus » acte inouï. Oraison funèbre simple : qualité de l’enfant, bon élève fierté de la grand mère, qui ne sait ni lire, ni écrire. La scène : Cadre évoquer après l’image du cadavre. Vue d’ensemble de la pièce V2/3, énumération : lieu pauvre, mais « honnête » (Hugodéfenseur du peuple, des « misérables ») rameau béni  foi simple du peuple. Aucun détail inutile, la nuit, la lampe, le feu, l’armoire. Groupe de républicains :

épargné aucun effort à nous guider et nous aider d’acquérir le maximum d’informations concernant la Biologie Animale. Aussi, pour son encouragement de faire des recherches et des travaux personnels. Egalement, je présente mes expressions de respects les plus distingués à M.BLENZAR, pour ses idées les plus précises en travaux pratiques. SOMMAIRE Introduction……………………………………………………………….4 I-PRESENTATION DU VAUTOUR FAUVE………………………….5 I-1-Classification……………………………………………………....….5

de ce petit cadavre est comme rendue plus supportable par le rapprochement que le poète opère avec la nature : la mûre est associée aux plaies; le crâne ouvert est assimilé à un bois qui se fend. La référence à la mort s'en trouve adoucis et montre peut-être la lenteur des témoins eux-mêmes à accepter l'insupportable. - Pourtant, à la fin de l'extrait, la vision de la mort est plus brutal et plus direct : Hugo évoque "les membres déjà roides", "es mains froides", "les pieds du cadavre". - Les témoins

CRÉON Oui, c'est cela ! ANTIGONE Pauvre Créon ! Avec mes ongles cassés et pleins de terre et les bleus que tes gardes m'ont faits aux bras, avec ma peur qui me tord le ventre, moi je suis reine. CRÉON Alors, aie pitié de moi, vis. Le cadavre de ton frère qui pourrit sous mes fenêtres, c'est assez payé pour que l'ordre règne dans Thèbes. Mon fils t'aime. Ne m'oblige pas encore à payer avec toi. J'ai assez payé. ANTIGONE Non. Vous avez dit « oui ». Vous ne vous arrêterez jamais de payer

Mort physique : acte de décès Absence : ne reparait pas à son domicile et à cesser de se manifester. Disparition : la personne à été vue la dernière fois dans des circonstances où sa vie était en danger, mais on a pas retrouver son cadavre. Corps humain : composante de la personnalité juridique car ça permet de dégager 2 principes : Indisponibilité du corps humain : une personne n'est pas propriétaire de son corps. Art 16 du code civil « le corps humains et ses produits

droits subjectifs et ce même si la personne est moribonde. Elle conserve tous ses droits y compris celui de reconnaitre un enfant et peut contracter un mariage, on parle de mariage in extremis. En revanche, quand la personne est morte elle devient un cadavre, donc le décès transforme immédiatement la personne en chose. La conséquence est que les qualités de parent, d’époux, de citoyen, attachées à cette personne s’éteignent. C’est le pp. Mais même après sa mort, la volonté d’une personne peut dans certains

qui, loin d’être des indices de « barbarie » initiale, sont à considérer comme éminemment culturelles) ayant pour objet de ne pas abandonner le cadavre à sa décomposition naturelle. Il semble en effet que la mort d’un individu soit d’abord apparue comme l’effet d’une violence encore naturelle, dont il convient d’éviter la propagation en intégrant le cadavre dans une démarche culturelle (c’est l’interprétation qu’en donne Georges Bataille dans L’Érotisme). Pour se reproduire, il est nécessaire de trouver

consentement mais aussi par un médecin et le prélèvement se passe sous la resp d un médecin. Consentement écrit et éclairé (info spécifique) : don des tissus et des cellules art 1241-1 du CSP. Parallélisme des formes si pr faire qlq chose on doit respecter des formes et si on veut défaire ce qu’on a fait on devra suivre les mêmes formes. Dans ce cas pas de parallélisme dans le cas du consentement écrit et éclairé. Mais la rétraction du consentement n’est soumise à aucun formalise. On retrouve les mêmes