Respecter Les Méchants

[Gusman], son chien et son chat » = gradation de l'animalité → son appétit sexuel touche tout : les femmes, les hommes et les animaux.Dom juan est un « grand seigneur méchant homme » (. Il propose le mariage car il est riche. Il arrive à séduire car c'est un grand seigneur. L'antithèse montre qu'on peut être de rang élevé mais moralement méchant.« rien » (≠ personne) → les femmes sont des objets.« pièges », « attraper » = champ lexical de la chasse. → Dom Juan est un chasseur et les femmes sont du gibier

de leurs enfants. C’est à l’occasion d’une de ces visites que j’ai rencontré Maximo. A notre première rencontre, Maximo me dit quand je m’avançais pour me présentait : «Non, toi t’es méchant ». Un peu surpris par cette entrée en relation, je lui demande donc comment il peut affirmer que je suis méchant sans me connaître ? C’est alors qu’il commence à pleurer répondant : «  Tu veux me prendre ma Maman !... »  En discutant avec la mère, j’ai pu découvrir que la menace de la DDASS était devenu

voulant se trouver dans les bonnes graces de sa fille : parfums, montres, bijous. Lettres, etc. Mais Hortense était toujours en colère, refusant de lui ouvrir son cœur. Napoléon écrit : «J'ai reçu votre note amicale ... vous êtes un méchant, une fille très méchante petite! ... et puis, quelque chose que vous savez très bien, ta mère ne peut pas être comparée à aucune autre femme dans le monde ... quand il serait autorisé à agrandir son bonheur, je le considère comme un de mes devoirs douces, que

hérétique » ► forme le portrait de DJ « Chien, pouceau, bête brute » ►comportement animale Il est représenté mi-homme, mi-bête « loup-garou » ► a un caractère monstrueux « scélérat », du latin scelus (=crime) ► a aucune morale et suit ses instincts Il ne respect pas la religion commune : → « hérétique qui ne croit ni ciel ni enfer » → « Pourceau d’épicure » ► celui qui crée libertinage au sens morale (= monde pas par religion mais par matière) → »Sardanapale » ►roi légendaire qui mène vie luxueuse (=libertinage

représente enfin la figure du malin, du diable en tentant le pauvre avec un louis d’or. -Dom Juan est encore ici le « grand seigneur méchant homme ». Méchant homme, car il refuse au départ l’aumône au pauvre, grand seigneur quand il lui laisse et part se battre à la fin du passage. b) Le pauvre. -Le pauvre apparaît comme l’opposé de Dom Juan. Dès le début, il s’exprime avec respect : vouvoiement, et « Monsieur » (7 fois dans le texte). Même quand il reste sans voix face à la proposition de Dom Juan, il ne

colonisation « les statues meurt aussi ». Puis un autre sur les camps de concentration qui s’appelle « Nuit et brouillard » (attention âme sensible s’abstenir) Il fait par la suite de Florence Malraux, fille d’André Malraux grand écrivain, il la respecte et fini par l’épouser, elle sera par la suite sa première assistante réalisatrice et sa script. « Hiroshima mon amour » Une histoire à la fois sur le désastre de la bombe à Hiroshima et à la fois sur une histoire d’amour impossible entre une française

créancier et contre son père, il gagne haut la main. D'autre part, son cynisme et son hypocrisie ne peuvent que révulser le spectateur. En fait, la pièce est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses [2]. Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. Dom Juan est prêt à tout pour satisfaire ses plaisirs. La fin de la pièce est très ambigüe. Certes, Dom Juan

faibles, fuis les méchants mais ne hais personne. Parle sobrement avec les grands, prudemment avec tes égaux, sincèrement avec tes amis, doucement avec les petits, tendrement avec les pauvres. Ne flatte point ton frère: c’est une trahison. Si ton frère te flatte, crains qu’il ne te corrompe. Écoute toujours la voix de ta conscience. Sois le père des pauvres: chaque soupir que ta dureté leur arrachera augmentera le nombre de malédictions qui tomberont sur ta tête. Respecte l’étranger voyageur;

reposaient sûrement, Furent étranglés en dormant : Cela fut sitôt fait qu’à peine ils le sentirent. Tout fut mis en morceaux ; un seul (6) n’en échappa. Nous pouvons conclure de là 25 Qu’il faut faire aux méchants guerre continuelle. La paix est fort bonne de soi, J’en conviens ; mais de quoi sert-elle Avec des ennemis sans foi ? (1)

tourner en ridicule. Notre héros se lance donc dans un fabuleux combat digne des plus grandes chansons à gestes. Là encore on rentre dans la satire de la guerre, tout d’abord car il y a deux clans bien distincts que sont les gentils et les méchants. Les méchants sont déshumanisés ce qui permet au gentil héros de les massacrer sans scrupule comme le prouve la comparaison : « comme des porcs » (l 89). Ils sont du coté du diable ce qui explique le fait qu’ils ne soient pas touchés par la peste, chose