Respiration aérobie

Fermentation et production d’ATP Introduction : La respiration est une fonction qui permet aux cellules de se procurer, avec une très grande efficacité, l’énergie dont elles ont besoin. Il existe cependant d’autres facons de produire de l’ATP par dégradation de molécules organiques en absence de dioxygène : ce sont les fermentations. Nous étudierons la fermentation alcoolique et lactique. Quelles sont les caractéristiques de ces fermentations ? I-Mise en évidence des produits consommés

que la lactique se produit chez les animaux. L'acide lactique produit par cette fermentation est responsable de la fatigue musculaire quand son alimentation en oxygène devient insuffisante pour l'effort fourni et qu'il ne peux plus utiliser la voie aérobie. Chez les végétaux, c'est également la fermentation alcoolique qui se produit, toutefois, en cas d'hypoxie, ils commencent par la voie de l'acide lactique qui acidifie le cytoplasme. Cette acidification est responsable d'une part de l'inhibition de

s’alimenter. Deuxièmement, par extension, la pollution résultant de phénomènes naturels impossibles à empêcher comme les éruptions volcaniques, qui dégagent toutes beaucoup de gazs dans l’atsmosphère, la respiration aérobie, respiration se faisant en présence d’oxygène par opposition à la respiration anaérobie pratiquée principalement par des micro-organismes, le rejet de gazs carboniques et de méthane lors de la digestion des végétaux par les herbivores ou lors de la dégradation de la litière forestière

de petits vaisseaux sanguins. A l’intérieur des cellules musculaires la quantité et l’activité des enzymes intervenant dans la production d’énergie aérobie semblent accrue. Dans un avion la pressurisation de la cabine est un élément essentiel qui a pu permettre aux hommes de monter très haut en altitude tout en gardant des conditions de respiration confortable. Sans cette pressurisation la vie à bord serait impossible car il n’y aurait pas assez d’oxygène pour respirer. En effet l’homme à besoin

d’EPS. 1) Retour sur ma pratique Le 1500m nécessite un entraînement à la fois de vitesse et d’endurance afin de travailler les 3 filières misent en jeu dans ce type d’effort (aérobie, anaérobie alactique, anaérobie lactique). Au début, j’ai fait plus un travail sur l’endurance pour apprendre à bien gérer ma respiration pour ensuite introduire un entraînement du fractionné. Points positifs: Au cours de cet entraînement, j’ai pu me confronter à mes capacités physiques ainsi qu’à ma résistance

C’est ainsi que l’on peut classer les épreuves selon que le fonctionnement est principalement : AEROBIE : Utilisation de l’oxygène apporté par la respiration. ou ANAEROBIE : Sans utilisation de l’oxygène apporté par la respiration mais utilisation d’oxygène de réserve, du phosphagène et du glycogène. Dans le cas de la course en durée, il s’agira principalement de faire intervenir le métabolisme aérobie. Cette voie énergétique doit être appréhendée en fonction de sa capacité et de sa puissance.

Le 1500 m est une épreuve sportive de demi fond court, nécessitant endurance et vitesse. Les filières anaérobies lactiques et aérobies sont sollicitées. Cette épreuve doit s’appuyer sur un entraînement réfléchit et régulier. Cet exposé comportera 3 parties : I - L’analyse de mon expérience dans la préparation à l’épreuve du 1500 m II - La transposition didactique avec la présentation d’une séance d’athlétisme au CM2 III - et enfin je terminerai par la présentation des liens possibles

min 20 s et 8 min 00 s) pour ressembler à un sprint. Les athlètes doivent donc avoir d'importantes capacités à la fois en anaérobie et en aérobie. La plupart des muscles du corps (jambes, bras, dos) sont sollicités au maximum. De plus, le coup d'aviron compresse les poumons des rameurs pendant la phase de poussée. Ils doivent donc adapter leur rythme de respiration à la cadence de coups d'aviron, à la différence de beaucoup d'autres sports, comme le cyclisme par exemple, où les compétiteurs peuvent

MOTEUR – Dissociation entre le train supérieur et inférieur. - Acquérir une technique de pause de pied adaptée et efficace, (travail du pied « tampon buvard » le plus axé possible…) – Avoir une continuité des actions motrices. – Maîtriser sa respiration (la double expiration). – Modifier sa motricité de marcheur (d’un contact permanent d’au moins un appui à une succession d’impulsion avec un temps aérien). – Développer une attitude de course et une foulée efficiente qui permettent le meilleur rendement

de la part de l’enseignant étaient : -Un placement sécuritaire (position du dos, des mains et des jambes) -Une respiration adéquate (inspiration lors de la phase excentrique, expiration lors de la phase concentrique) -Un effort de l’élève qui se caractérisait par de la transpiration, des sensations musculaires., de la concentration et la nécessité d’utiliser la technique de respiration énoncé par l’enseignant. Caractéristiques des élèves La classe dans laquelle nous nous situons est une classe de