Resume De L Aveu

RESUME – BEL-AMI, Guy de MAUPASSANT (1885) Première partie CHAPITRE 1 Georges Duroy, ancien militaire envoyé en Afrique, avait belle allure. Il était revenu à Paris dans le but de faire fortune, mais pour le moment il avait peu d’économies, car il travaillait aux bureaux du chemin de fer du Nord, qui le rémunéraient peu. A la recherche d’une femme en cette soirée de juin, il flânait dans Paris, tout en faisant attention au peu d’argent qu’il lui restait. La chaleur de l’été, l’assoiffait, et lorsqu’il

racinien. – À partir de cette analyse révélatrice de nos trois textes, une série de questions se posent, qui fourniront à notre travail son point de départ. Je vous invite en fait à mener une passionnante enquête dont l’enjeu final pourrait se résumer ainsi : Bérénice est-elle l’une des plus grandes tragédies françaises et, si oui, pour quelles raisons cette supériorité a-t-elle pu être mise en doute ? Questions – Que recouvre précisément au XVII e siècle le terme de tragédie ? – En quoi

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Extrait n° 3 : l’évolution des rapports Duroy / Madeleine  Comme elle avait dit cela d'une étrange façon ! Du Roy se demandait : « Est-ce un aveu ? » Et cette presque certitude qu'elle avait trompé son premier mari l'affolait de colère à présent. Il avait envie de la battre, de l'étrangler, de lui arracher les cheveux ! Oh ! si elle lui eût répondu : « Mais, mon chéri, si j'avais dû le

est un procédé d’instruction qui fait appel à la douleur pour obtenir un aveu de l’accusé et/ou la révélation des complices. La torture est introduite XIII ème siècle dans la procédure des cours laïque et employée de façon généralisée au XIV ème siècle pour pallier les carences et les faiblesses d’une police peu organisée et pour combler une lacune dans la poursuite d’office. Le juge ne peut condamner que s’il obtient un aveu. Il n’existe pas de voie de recours contre les condamnations prononcées

légitimes de préférence. Cette théorie a été découverte par Aubry et Rau. Ces auteurs lui ont donné le nom de « théorie classique du patrimoine » Aujourd’hui cette théorie fait l’objet de critiques. La Théorie classique du patrimoine. On peut la résumer par deux idées, selon cette théorie, le patrimoine est une universalité de droit. Le patrimoine est étroitement lié à la personnalité juridique. Le patrimoine est une universalité de droit. Le terme universalité signifie que le patrimoine forme

vendus, offerts, cédés), insaisissables (ils ne peuvent être saisis par les créanciers) et imprescriptibles, c'est-à-dire qu'ils ne s'éteignent pas, même lorsque certains délais se sont écoulés sans que le droit n'ait été revendiqué. Ce sont donc, en résumé, des droits que l'on ne peut perdre par aucun moyen. Les droits de l'homme sont un concept selon lequel tout être humain possède des droits universels, inaliénables, quel que soit le droit positif en vigueur ou les autres facteurs locaux tels que

muet, césure... Lecture expressive -> Néron : évocation amoureuse => Mettre le ton ! il évoque sa "bien-aimée" donc lenteur, émotion... Mouvements du texte par Katchamay : 1ère partie du texte (du début à « J’ai passé dans le mien ») : aveu de Néron et récit du coup de foudre --> scène réelle. 2ème partie du texte (de « J’ai passé dans le mien » à « (…) la menace ») : prolongement du coup de foudre dans le fantasme nocturne --> scène imaginaire. 3ème partie du texte (à partir

vie de Corneille et les repères historiques, se référer aux pages suivantes dans le livre L'Illusion comique (édition Hatier, Classiques & Cie Lycée) : repères 1-2-3 (pages 150-157) --> objectif : situer l'œuvre. II - PRESENTATION DE L'OEUVRE : A) Résumé de l'œuvre : L'Illusion comique est une pièce de théâtre (comédie) en cinq actes écrite en vers (alexandrins) par Pierre Corneille en 1635, représentée pour la première fois au théâtre du Marais (à Paris) en 1636 et publiée en 1639 chez François

3 1.2. Cyrano de Bergerac, pièce composite ....................................... 4 1.3. But du mémoire ............................................................................... 6 2. Résumé de la pièce .............................................................................. 8 2.1. Résumé acte par acte ...................................................................... 8 2.2. Présentation des personnages ....................................................... 10 3. Analyse des

C’est là même l’expression de son caractère extravagant qui revêt une allure de folie aux yeux des autres personnages. Ainsi, Cléandre qualifie d’« étrange humeur d’Amant ! » (v. 258) les revendications de singularité et de liberté d’Alidor. En résumé, nous avons pu justifier le choix du sous-titre de « L’amoureux extravagant » choisi par Corneille en démontrant tout d’abord que son personnage d’Alidor est un amoureux. En effet, tout au long de la pièce, et ce malgré la souffrance qu’il endure