Resumé Le Balcon Jean Genet

d’une pièce à l’autre, en dépit des difficultés, sa foi en l’homme et ne remet pas fondamentalement en cause les caractères traditionnels du théâtre classique qu’il mêle de manière divertissante avec quelques traits du théâtre de boulevard. En 1947, Jean Vilar crée le Festival de théâtre d’Avignon ; en 1951, on lui donne la direction du T. N. P, le Théâtre National Populaire : on croit à la mission civilisatrice et sociale du théâtre, que l’on veut populaire et décentralisé, capable d’aller au devant

d’une pièce à l’autre, en dépit des difficultés, sa foi en l’homme et ne remet pas fondamentalement en cause les caractères traditionnels du théâtre classique qu’il mêle de manière divertissante avec quelques traits du théâtre de boulevard. En 1947, Jean Vilar crée le Festival de théâtre d’Avignon ; en 1951, on lui donne la direction du T. N. P, le Théâtre National Populaire : on croit à la mission civilisatrice et sociale du théâtre, que l’on veut populaire et décentralisé, capable d’aller au devant

théâtre – éducation Nouveau Théâtre d’Angers Dominique Haubert Agrégée de Lettres modernes Académie de Paris Eva Mouillaud Certifiée de Lettres modernes Collège Évariste Galois, Nanterre Françoise Santoni-Bissaïn Certifiée de Lettres classiques Collège Jean Moulin, Croissy-sur-Seine Avec la collaboration de Dominique Renard © Éditions Belin Certifié de Lettres Modernes Formateur image – Académie de Grenoble 6239_001_224.indd 1 Claire de La Rochefoucauld Certifiée de Lettres Modernes Collège Évariste

d’autres, persuadés qu’ils doivent agir « comme si quelque chose dépassait en valeur la vie humaine ». De grands romanciers du e siècle se sont engagés contre l’injustice sociale, comme Victor Hugo qui a créé les personnages emblématiques de Jean Valjean ou de Gavroche ou encore Zola qui raconte la lutte héroïque des mineurs du Nord contre le Capital qui les exploite, dans Germinal, à travers le militant et combatif Étienne Lantier. Pourtant, même si tous ces personnages, pour des raisons

management et le cinéma Du danger de vouloir comprendre trop vite, dans « L’ami de Vincent » de Pierre Granier-Deferre Pour dénouer une tentative d’assassinat, Albert (Philippe Noiret) retrouve les femmes qui ont compté dans la vie de son ami Vincent (Jean Rochefort). L’une d’entre elles, trop rapidement « analysée » par Albert s’emporte : De quoi on se mêle... ? On sait rien et on voudrait tout comprendre. Comme cela ? Enfin, dernier défaut majeur de la pensée, celui d’être trop inactif c’est-à-dire

management et le cinéma Du danger de vouloir comprendre trop vite, dans « L’ami de Vincent » de Pierre Granier-Deferre Pour dénouer une tentative d’assassinat, Albert (Philippe Noiret) retrouve les femmes qui ont compté dans la vie de son ami Vincent (Jean Rochefort). L’une d’entre elles, trop rapidement « analysée » par Albert s’emporte : De quoi on se mêle... ? On sait rien et on voudrait tout comprendre. Comme cela ? Enfin, dernier défaut majeur de la pensée, celui d’être trop inactif c’est-à-dire

management et le cinéma Du danger de vouloir comprendre trop vite, dans « L’ami de Vincent » de Pierre Granier-Deferre Pour dénouer une tentative d’assassinat, Albert (Philippe Noiret) retrouve les femmes qui ont compté dans la vie de son ami Vincent (Jean Rochefort). L’une d’entre elles, trop rapidement « analysée » par Albert s’emporte : De quoi on se mêle... ? On sait rien et on voudrait tout comprendre. Comme cela ? Enfin, dernier défaut majeur de la pensée, celui d’être trop inactif c’est-à-dire

tant d’autres, persuadés qu’ils doivent agir « comme si quelque chose dépassait en valeur la vie humaine ». De grands romanciers du e siècle se sont engagés contre l’injustice sociale, comme Victor Hugo qui a créé les personnages emblématiques de Jean Valjean ou de Gavroche ou encore Zola qui raconte la lutte héroïque des mineurs du Nord contre le Capital qui les exploite, dans Germinal, à travers le militant et combatif Étienne Lantier. Pourtant, même si tous ces personnages, pour des raisons différentes

tant d’autres, persuadés qu’ils doivent agir « comme si quelque chose dépassait en valeur la vie humaine ». De grands romanciers du e siècle se sont engagés contre l’injustice sociale, comme Victor Hugo qui a créé les personnages emblématiques de Jean Valjean ou de Gavroche ou encore Zola qui raconte la lutte héroïque des mineurs du Nord contre le Capital qui les exploite, dans Germinal, à travers le militant et combatif Étienne Lantier. Pourtant, même si tous ces personnages, pour des raisons différentes

d’une pièce à l’autre, en dépit des difficultés, sa foi en l’homme et ne remet pas fondamentalement en cause les caractères traditionnels du théâtre classique qu’il mêle de manière divertissante avec quelques traits du théâtre de boulevard. En 1947, Jean Vilar crée le Festival de théâtre d’Avignon ; en 1951, on lui donne la direction du T. N. P, le Théâtre National Populaire : on croit à la mission civilisatrice et sociale du théâtre, que l’on veut populaire et décentralisé, capable d’aller au devant