Retable d'Issenheim

et 3è4) Récapitulatif : dans ces cours, 5 séquences spécifiques (au total 6 à 7 heures de cours) ont été dispensées dans l’ordre que voici : 1/ Otto Dix, La Guerre. La séance a consisté à analyser le triptyque, en lien avec le célèbre retable d’Issenheim, puis d’autres œuvres d’Otto Dix. Thématique « Arts Etats et Pouvoir », l’engagement dans l’art. Voir fiche associée et sujet, pp2 à 5 2/ Octobre d’Eisenstein, deux extraits : scène d’ouverture jusqu’au carton « A tous ! » (DVD chapitre2

Picasso fait-il aussi, sans doute, référence à la représentation d’une scène de théâtre, d’une crucifixion ? d’une scène de retable ?ou représentation d’un « mystère » religieux ?... Œuvre de commande : mais sujet et réalisation choisies par le peintre. Dénonciation et non glorification. Œuvres liées, références, etc. La crucifixion de GRÜNEWALD (Retable d'Issenheim, v. 1512-1515, huile sur bois, Musée d'Unterlinden, Colmar) ; La « Piéta » de MICHELANGE(1499,Basilique St Pierre à Rome) ; « Tres

Panneau inférieur au format rectangle allongé : le peintre inscrit dans ce format la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif : des soldats allongés évoquent le corps du Christ mort représenté dans la prédelle du retable d'Issenheim (voir fiches photos). La couleur : dans cette œuvre Otto DIX utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le

les Anciens Combattants. La guerre de 1914 – 1918, la "Grande Guerre" a marqué les esprits. Otto Dix nous montre la guerre autrement que par l'art officiel qui fait des monuments aux morts où les soldats sont héroïsés. Et plus...: -Le retable d'Issenheim de Mathias Grünewald. -Triptyque du jugement dernier de jérôme bosch.

sombre et grande présence de rouge. Squelette embrochée sur une barre de fer et qui pointe de son doigt le no mans lands comme si c’était la faucheuse qui montre son territoire. Cadavre avec les jambes en l'air et les bras tendus comme le christ Retable d'Issenheim en a l'envers comme s'il commence a entamé sa descente vers les enfers. C.soldat sûrement représentation de Otto Dix qui portent un camarade blessé a la tete, ils sont tout blanc comme s'ils étaient des esprits, ils n'ont plus d'équipement il

Henri II . Les artistes les plus connus de la Renaissance sont italiens, tels Raphael, Léonard de Vinci et Michel Ange dont les œuvres sont encore des références aujourd’hui. Plus proche de nous, Matthias Grünewald est très connu pour son Retable d’Issenheim que l’on peut admirer au musée Unterlinden. Conclusion : La renaissance artistique se caractérise des autres périodes par son retour aux sources antiques mais elle ne fait pas que copier les savoirs antiques, elle les améliore et les

sauvagerie vécues pendant le conflit . Cette oeuvre composée de trois panneaux principaux est appelée triptyque*, elle rappelle la forme des retables** de la Renaissance que le peintre n'a pas choisie par hasard puisqu'il évoque avec son triptyque une eouvre majeure de la Renaissance : Le Retable d'Issenheim de Mathis grûnwald . Dans le Retable d'Issenheim il est aussi question de mort et de souffrance puisque le panneau central de celui-ci est la représentation d'une crucifixion( c'est-à-dire

suite à un infarctus. 2. Présentation et description de l’œuvre 9. Cette œuvre est un triptyque en bois (c’est une œuvre peinte ou sculptée sur un support de 3 panneaux le plus souvent en bois, le triptyque le plus connus en alsace le retable d’Issenheim). Le panneau central fait 204 x 204 cm, les panneaux latéraux 204 x 102 cm chacun. Cette œuvre représente plusieurs moments de la guerre, le panneau latérale de gauche représente des soldats allemand marchant vers le front, le panneau central

des tranchées. Le sauveur dans le panneau de droite est la partie la plus éclairée du tableau, surement la plus importante aux yeux de l’artiste car le personnage représente l’espoir et la vie. Il s’est inspiré à travers ce triptyque du Retable d’Issenheim (1212-1215) de Mathias GRUNEWALD, dont le panneau central représente la crucifixion du Christ d’une rare violence pour l’époque. C : En regardant ce tableau, on ressent un certain dégout devant tous ces cadavres en décomposition peint avec

Bosch (1450-1516)et son jugement dernier mais en règle générale les jugements derniers sont toujours prétextes à nous exposer les pires maux de l’humanité. N’oublions pas les retables des hospices exposant les effets du mal des ardents ou de la peste comme celui de Matthias Grünewald(1475/80-1528) (avec son Retable d’Issenheim, ou encore Goya (1746-1828) avec les scènes d’asiles d’aliénés, Gros et les Pestiférés de jaffa où les corps putrides s’exposent, et Géricault qui fait de même avec les