Revenus Repartition Redistribution

3,3 0,1 Allocataires minima de sociaux enmilliers Revenu minimum insertion d IRMll AtLocêtion adultes êux handicâpés IIAH) Attocation supptémentaire vieittesse IASVI (Æ51 Altocation sotidarité de spécifique Attocation parcnt lAPll de isoté Atlocation supplémentaire d invâtidité lAStl ALiocation d insertion et attocation temporajreâttente lAll d IATAJ Attocetion équi\.dtent retraite remplacement IAERI AtLocêtion veuyage IAVJ Revenu sotidarité de lRS0l Ensemblê minimâ des Sociaût ,:q-ilg'

un système économique islamique, à travers la réduction de l'inégalité. Il ne veut jamais dire réaliser l'égalité mais l'équité et la justice dans la répartition des revenus et de richesses. Islam élimine l'inégalité absolue qui découle de la répartition inégale des revenus, mais l'inégalité relative se dégage de la distribution équitable des revenus et des richesses. Première partie de cet article a donné une petite introduction à la fois à l'économie conventionnelle et de l'économie islamique.

macroéconomique, on va sommer les comportements individuels. MicroEntreprise max profit | MacroToutes les entreprises vont vouloir augmenter leur profit elles vont donc toutes baisser les salaires pour diminuer leurs couts de productions. Les revenus diminuent. La consommation diminue, la demande aussi et donc les profits des entreprises diminuent. | On voit bien ici une interdépendance entre la microéconomie et la macroéconomie = blocages institutionnels. Au niveau macroéconomique, on peut

utilité * : dépend de la quantité de ressources à notre disposition. L'utilité correspond à la satisfaction qu'une personne retire de l'activité. → elle décroit au fur et à mesure de la consommation. contrainte budgétaire* : limite imposée par le revenu et par le prix des biens et services. → c'est la limite aux possibilités de consommation d'un individu. prix relatif * : prix d'un bien ou d'un service par rapport à un autre échange marchand* : échange impersonnel sur un marché clairement identifié

bas[]. Le régime français de l'État-providence combine ces deux aspects. Outre l'objectif d'assurances contre les risques et aléas de la vie, l'État-providence poursuit souvent un objectif de justice sociale, via certains mécanismes complexes de redistribution des richesses. 3) Enjeux * Le travail, * L'emploi, * La formation professionnelle, * La protection sociale et l'assurance maladie, * L'éducation, * L'accompagnement des SDF, * Les politiques en directions des

présence de marchés du crédit imparfaits et de l’inefficacité des marchés financiers. La propension marginale à épargner augmenterait des niveaux inférieurs de revenu aux revenus moyens pour diminuer dans les quintiles supérieurs. Si tel est le cas, la relation entre inégalités et croissance n’est positive qu’à des niveaux très faibles de revenu où une certaine concentration des ressources permet à une fraction de la population d’accumuler des richesses. [On parle ici de relations positives entre les

I. Les 2 Régimes. Pour de nombreux actifs, la retraite se traduit « grossièrement » comme une rente viagère avec un revenu régulier versé à vie après une vie professionnelle. En attendant, il faut cotiser pendant de nombreuses années afin de pouvoir disposer d'une retraite bien méritée. Il existe deux régimes de retraite par capitalisation et par répartition. Capitalisation Les actifs constituent une épargne, individuelle ou collective, qui est placée sur les marchés financiers grâce à des

budget de l'Union européenne). Redistribution verticale : Système de redistribution qui a pour but de réduire les inégalités entre les individus ; donc des plus riches vers les plus pauvres (ex : RSA). Redistribution horizontale : Système de redistribution indépendante du revenu des personnes (ex : du bien-portant au malade, de l'actif au retraite, du célibataire aux familles nombreuses). Système d'assurance : chaque actif cotise proportionnellement à son revenu et reçoit des prestations sociales

L’ALLOCATION UNIVERSELLE Cette idée d’allocation universelle, communément appelée aussi le revenu de base, consiste à verser un revenu unique à tous les citoyens d’un pays, indépendamment de leur revenu, sans obligation de travail ni de ressources pour permettre de répondre à tous leurs besoin primaires comme la nourriture, le logement, habillement, etc.… Donc si les versements d’un individu sont suffisamment élevés, l’allocation peut le laisser libre de diriger sa vie comme il le souhaite

faut donc trouver des critères. En attendant d’atteindre l’abondance (ou un autre principe d’organisation de la société), nos sociétés admettent certaines inégalités selon un principe de méritocratie. Et dans le même temps des systèmes de redistribution des revenus sont mis en place par l’Etat pour tenter d’atténuer les inégalités perçues comme un frein à la croissance. La mobilité sociale qui est un des moyens à disposition de la société de donner plus de chances aux individus est valorisée. On peut