Révolution fédéraliste

désubjectivation, Pierre Legendre martèle depuis plusieurs années une parole incisive. On se contentera du balisage de quelques concepts et de quelques enjeux. En espérant que ces quelques clés ouvrent accès aux Leçons. (note 1) Le Théâtre : la révolution de l'interprète. Qui suis-je ? Répondre à cette question revient à se situer dans un double jeu structural : celui de la parenté et celui de la société. Questionner ce jeu comme un "théâtre de la raison" permettant la construction sociale du soi

ainsi qu’entre en jeu la révolte, celle qui s’appuie essentiellement sur la conscience de l’Absurde. Si le monde n’était plus une énigme, à quoi bon vivre ? Où serait l’intérêt puisque la vie serait élucidée. La révolte est une forme d’état de « Révolution permanente » dans lequel l’homme se plonge pour défier l’Absurde. Au contraire de la résignation, choisissons de persévérer. Qu’est-ce que la Révolte ? « Elle est un confrontement perpétuel de l’homme et de sa propre obscurité ». Ainsi éloigne-t-elle

gagnant le monde ouvrier et pratiquement toutes les catégories de population sur l'ensemble du territoire, elle reste le plus important mouvement social de l'Histoire de France du XXe siècle... On a souvent parlé à propose de cette époque de "révolution silencieuse" ou "invisible", liée à la croissance de l'économie mondiale et au progrès de la production. Mais cette entrée dans la société de consommation n'effacera pas les inégalités, et elle sera différemment ressentie selon que l'on habite à

pas qu’à eux, mais aussi aux personnes innocentes. C’est donc en montrant le côté humain des révolutionnaires, le fait qu’ils se soucient des autres, et qu’ils agissent pour une bonne cause que Camus fait voir au lecteur les aspects positifs de la révolution et des exécutions qui s’en suivent. Bien que leurs intentions soient bonnes, Camus montre aussi au lecteur les aspects négatifs de la justice des révolutionnaires. Leur combat pour imposer leur justice provoque lui-même de l’injustice. Les révolutionnaires

production, sur la planification impérative tent de la production et consommation des échange. C’est un courant de pensé née au 19 eme siècle dans les milieux chrétiens et qui réclame plus de justice social, les moyens pour y arriver, la réforme, ou la révolution. Pays socialiste, pays ou l’économie est socialiste et ou le parti communiste est seul au pouvoir pour assurer la dictature du prolétariat. L’URSS est un pays socialiste, la chine de MAO est un pays socialiste. Parti communiste : parti révolutionnaire

« Ba-er-za-ke ». Traduit en chinois, le nom de l’auteur français formait un mot de quatre idéogrammes. Quelle magie que la traduction ! Soudain, la lourdeur des deux premières syllabes, la résonance guerrière et agressive dotée de ringardise de ce nom disparaissaient. Ces quatre caractères, très élégants, dont chacun se composait de peu de traits, s’assemblaient pour former une beauté inhabituelle, de laquelle émanait une saveur exotique, sensuelle, généreuse comme le parfum envoûtant d’un alcool

législatif. La Constitution du 13 décembre 1799 pose les bases. C'est à dire le 22 Frimaire an 8. Consulat met un terme aux tentatives républicaines de la Révolution, et sert de transition à l’Empire. L’Eglise en France pendant la période révolutionnaire : Lutte contre l’église va de pair avec la lutte contre la monarchie. La révolution va procéder à une fonctionnarisation des prêtres. Elle va générer une rupture avec Rome et une séparation entre l’Eglise et l’Etat, une déchristianisation du

locale. Cette mobilisation paysanne ne cesse pas à la découverte de l’absence du danger. Elle va trouver un exutoire. Le château seigneurial est partout présent. Il y en a 75 000 dans la France actuelle, même s’ils ne sont pas tous antérieurs à la Révolution Française. C’est donc au château que les paysans vont s’en prendre. Plus précisément aux papiers : les titres brûlent, les « terriers » (recueils des droits seigneuriaux) partent en fumée. Naïveté paysanne : les doubles existent. C’est d’ailleurs

La Nuit Description : L’œuvre s’appelle « La nuit ». Elle mesure 133 * 154 cm. La peinture date de 1918/19. Nous pouvons y voir des humains représentés de façon abstraite, leurs corps sont totalement déformés. Nous sommes dans un mouvement d'*expressionnisme. Trois personnages torturent une famille. Une jeune fille est emprisonnée dans les bras d’un homme. Elle a peur. Nous supposons que cette scène se passe dans une maison car nous remarquons à l’arrière-plan des fenêtres et il y a des bougeoirs

( ils payent également les impots). Marx est contre le pouvoir détenue par la noblesse. Celle ci detient tout les pouvoirs tel que la politique, l'économie et la culture. A l'inverse le Tiers-Etat ne détient pas le pouvoir politique. Suit à une révolution bourgeoise préconisée par Marx, cette classe prend le pouvoir politique, ils possédent les moyens de productions. En l'obtenant, ils mettent en place un suffrage censitaire. Mais c'est ici qu'un problème se poise car il y a la présence d'une société