Revue Negre

Commentaire sur l’affiche de la revue nègre L’affiche promotionnelle de la Revue Nègre a été réalisée en 1925 par Paul Colin, artiste art déco, sur une demande d’Andrés Daven, directeur artistique du théâtre des Champs Elysées. C’est durant la première répétition de la troupe à Paris que Paul colin a pu rencontrer Joséphine Baker et s’inspirer pour l’élaboration de l’affiche. On raconte que le personnage féminin de l’affiche aurait été imaginé par Miguel Covarrubias, à qui Caroline Dudley avait

(enfance) II. La revue nègre III. Star de paris Conclusion INTRODUCTION Joséphine Baker est une femme noire, d’origine métissée afro-américaine et amérindienne. Elle est née le 3 juin 1906 à Saint-Louis, dans le Missouri (aux Etats-unis) sous le nom de Freda Josephine McDonald. Et elle décédera le 12 avril 1975 à Paris. Josephine Baker est une chanteuse, une danseuse et une meneuse de revue*. Elle est considérée comme la première star noire. * Une meneuse de revue est la vedette principale

mais à nouveau engager au titre d'habilleuse pour la revue "Shuffle Along". Lorsqu’une des filles de la revue tomba malade, Josephine la remplaça avec succès et devint une attraction à part entière. Les célèbres créateurs de spectacle Sissle et Blake firent de Joséphine leur protégée. Elle intégra la troupe principale en 1922 et étaient devenue une artiste reconnue.   1925 : La Revue Nègre Le directeur artistique du théâtre des Champs

paraissait une spontanéité chez elle cachait en fin de compte des années de pratique quotidienne. 1926-1939 : Joséphine Baker, star de Paris Par l'impact de la Revue Nègre, la notoriété de Josephine s'en trouva accrue et elle devint la muse de bon nombre d'artistes. Josephine était devenue l'incarnation du modernisme primitiviste, l'art nègre des cubistes en chait humaine et dénudée. A Montparnasse et Montmartre, elle rencontra le Tout-Paris artistique. La Rotonde et surtout la Coupole, l'établissement

achetées au prix fort et imitées par la suite. Mais la France ne se contente pas de récupérer les spectacles d'outre-mer car elle les adapte et parvient même à créer ses propres prestations et représentations. C'est ainsi le cas pour la fameuse Revue Nègre évoquée précédemment qui présente pour la première fois à Paris en 1925 au théâtre des Champs-Élysées, Joséphine Baker, une danseuse se présentant dénudée et plumée, dansant le charleston et multipliant les gestes provocants, sur une musique de

Bourrel « Rendre à Césaire… » La négritude comme volonté et représentation La négritude en actes La solitude du Dyâli Sommet de masque, tyi wara, Région de Saro, Mali (bois et pigments). ©Musée Dapper, Paris/photo Hughes Dubois. Paris, capitale nègre Voilà quelles sont les valeurs fondamentales de la Négritude : un rare don d’émotion, une ontologie existentielle et unitaire, aboutissant, par un surréalisme mystique, à un art engagé et fonctionnel, collectif et actuel, dont le style se caractérise

n'etait pas un philosophe. Et il n'était pas africain. C'était un moine franciscain belge et missionnaire au Congo. Les idées de Tempels représentaient un progrès en substituant à la notion de "nègre sans culture" définie par Hegel dans ses Leçons sur la philosophie de l'histoire, la notion de "culture nègre". Mais tandis que chez Hegel, l'inertie des peuples noirs est irrémédiable parce qu'ils n'ont pas de culture, pour Tempels, cette inertie est culturelle. Selon Tempels, le dépassement de cette

elles, d'aider à la construction d'un humanisme qui fût authentiquement parce que totalement humain. Totalement humain parce que formé de tous les apports de tous les peuples de la planète Terre. D'aucuns ont été jusqu'à nier l'unité de la culture nègre, en proclamant qu'il n'y avait que des civilisations nègres. Comme si les civilisations française, anglaise, italienne, russe, suédoise, par exemple, n'étaient pas les faciès divers d'une culture occidentale, de tradition gréco-latine, dont nul n'a

LA NEGRITUDE Classe (Pour vous, qu’est-ce que la négritude ?) 1. INTRODUCTION Etymologie du mot négritude: nègre vient du latin niger Le nom commun français nègre vient du portugais et désigne un homme noir. A la fin du XIVe siècle, les Portugais désirent trouver un moyen pour aller en Inde en contournant le continent africain. Ils font alors la découverte des côtes de l'Afrique noire. Ils rencontrent des commerçants qui traitent avec des Arabes, ceux-ci traversant le désert

licence, il part pour le Sénégal où il enseigne au lycée Maurice Delafosse. Ses premiers poèmes sont publiés dans la revue Présence Africaine, et aussitôt reproduits par Léopold Sédar Senghor dans son Anthologie de la nouvelle poésie nègre et malgache de langue française en 1948. Principales œuvres : Le temps du martyre, Coups de pilon 1956, Présence africaine, 2000 Souffre pauvre negre, Coups de pilon 1956, Présence africaine, 2000 Un Blanc m’a dit ..., Coups de pilon 1956, Présence africaine, 2000