Reza Chah

rformateur de Nasser Al Din Chah, le roi de la dynastie qajar, a acclr lvolution scientifique et culturelle de lIran. Dar- Al -Fonoun a constitu en ralit une imitation de lcole polytechnique de Paris, o les sciences modernes de lEurope ont t enseignes. Cette cole comportait galement une salle de thtre selon le modle occidental, o les pices de Molire taient montes pour le roi et la cour. Enfin, les voyages en France de la famille royale, surtout ceux de Nasser Al Din Chah, le roi despote, mais galement

sans pourtant supplanter globalement l'influence soviétique. Dans la pratique, cependant, Mao prend des positions surprenantes en politique étrangère : rapprochement avec les États-Unis (visite de Richard Nixon en février 1972), soutien au chah d'Iran, Mohammad Reza, et au général Pinochet (1975). Livre contenant des citations de Mao Zedong rassemblées par Lin Biao destiné initialement à l'éducation de l'Armée populaire de libération mais diffusé à l'ensemble de la population chinoise pendant la

prototype de réacteur à neutrons rapides. À ceci s'ajoute une politique commerciale offensive, le Premier ministre se faisant le défenseur des industries et technologies françaises à l'étranger. Le 24 juin 1974, à l'occasion de la visite du chah d'Iran Mohammad Reza Pahlavi, celui-ci signe pour 20 à 22 milliards de contrats d'armement, l'achat de cinq centrales nucléaires et l'obtention par des entreprises françaises de la construction du métro de Téhéran et l'électrification des chemins de fer. Plus

l’été 1941, l’URSS et le Royaume-Uni, à la recherche d’une voie d’acheminement des armes et du ravitaillement à destination du front russe, s’étaient entendus pour en occuper chacune une moitié et déposer le chah Reza Pahlavi, coupable de trop de sympathie avec l’Axe. Son fils, Mohammed Reza, qui lui a succédé, a conclu avec ces puissances un traité prévoyant le retrait de leurs troupes au plus tard le 2 mars 1946. Très vite cependant, l’URSS soutient deux mouvements indépendantistes dans le Nord

dehors des régions Ouest de l’Iran, une importante population kurde vit également dans la province du Khorassan (au Nord-Est du pays, près de la frontière du Turkménistan actuel). Ces personnes ont été transférées dès le début du XVIIe siècle par le chah Abbas, qui voulait défendre les frontières de l’Empire perse. On estime leur nombre à 600 000 personnes environ. La doctrine politique iranienne ne confère pas d’identité aux Kurdes, mais les considère comme de purs Iraniens. L’administration

installé en Bourgogne, et Sara Horchani, présidente de l'association dijonnaise Libertés-Culture, qui a consacré à l'Iran de nombreuses manifestations, notamment dans le cadre de son Festival des Droits Humains... 16 janvier 1979 : Le Shah Mohammad Reza Pahlavi quitte l’Iran, après avoir dirigé le pays pendant plusieurs décennies et mis en place un régime souvent qualifié d' "autocratique et dictatorial", fondé sur l’appui américain. Kaveh Kalilola : "Les cinq dernières années de pouvoir du Shah

l’été 1941, l’URSS et la Grande-Bretagne, à la recherche d’une voie d’acheminement des armes et du ravitaillement à destination du front russe, s’étaient entendu pour en occuper chacune une moitié et déposer le chah Reza Pahlevi, coupable de trop de sympathie avec l’Axe. Son fils, Mohamed Reza, qui lui a succédé, a conclu avec ces puissances un traité prévoyant le retrait de leurs troupes au plus tard le 2 mars 1946. Très vite cependant, l’URSS soutient deux mouvements indépendantistes dans le nord

Mohammed Mossadegh, et le souverain d'Iran, le shah Mohammed Reza Pahlavi, qui règne depuis 1941. Le 16 août 1953, un coup d'État orchestré par des officiers favorables au shah échoue, entraînant l'exil de ce dernier en Italie. Trois jours plus tard, une autre tentative, qui cause plusieurs morts, mène au renversement du gouvernement Mossadegh et à l'accession du général Fazollah Zahedi au poste de premier ministre. Le 22 août, le Chah rentre de son court exil. Le support de l'Occident, notamment

1941, l’URSS et la Grande-Bretagne, à la recherche d’une voie d’acheminement des armes et du ravitaillement à destination du front russe, s’étaient entendus pour en occuper chacune une moitié et déposer le chah Reza Pahlavi, coupable de trop de sympathie avec l’Axe. Son fils, Mohammed Reza, qui lui a succédé, a conclu avec ces puissances un traité prévoyant le retrait de leurs troupes au plus tard le 2 mars 1946. Très vite cependant, l’URSS soutient deux mouvements indépendantistes dans le

installé en Bourgogne, et Sara Horchani, présidente de l'association dijonnaise Libertés-Culture, qui a consacré à l'Iran de nombreuses manifestations, notamment dans le cadre de son Festival des Droits Humains... 16 janvier 1979 : Le Shah Mohammad Reza Pahlavi quitte l’Iran, après avoir dirigé le pays pendant plusieurs décennies et mis en place un régime souvent qualifié d' "autocratique et dictatorial", fondé sur l’appui américain. Kaveh Kalilola : "Les cinq dernières années de pouvoir du Shah