Riau

température du corps est grande, plus la luminance est grande et plus le maximum de luminance se déplace vers les petites longueurs d’onde. 167 Chapitre 4 • Rayonnement thermique Voir le rayonnement Lorsque l’on chauffe un maté- D (cmW-1 Hz -1/2 ) riau à haute température, on 10 12 PbS(a) constate que la couleur de surface du matériau change, le flux émis par le matériau PbS(b) devient « visible ». Pour les 10 11 basses températures, on ne PV peut « voir » le flux radiatif PC DT émis que si l’on

applications n’ont cess´, depuis une cinquantaine e e d’ann´es, de bouleverser d’innombrables secteurs de la technologie, d’ouvrir e des voies nouvelles, de changer l’ordre de grandeur de ce qu’il ´tait concee vable de r´aliser. Fabriquer un mat´riau ayant des propri´t´s thermiques ou e e ee m´caniques adapt´es ` un usage donn´, d´tecter une d´ficience dans une fonce e a e e e tion biologique et y rem´dier de fa¸on pr´cise, sont des op´rations de moins e c e e en moins empiriques, de

ˆtre la taille et le poids d’individus e e pris au hasard. • si ρ(Xi , Xj ) < 0, Xi et Xj sont corr´l´es n´gativement, ce qui signifie qu’elles varient ee e en sens contraire. Par exemple, Xi et Xj peuvent ˆtre l’ˆge et la r´sistance d’un e a e mat´riau. e • si ρ(Xi , Xj ) = 0, il n’y a pas de corr´lation lin´aire entre Xi et Xj . Cela ne signifie e e pas que Xi et Xj sont ind´pendantes. Il peut ´ventuellement y avoir une corr´lation e e e non lin´aire. e L’esp´rance math´matique est lin´aire : si

ˆtre la taille et le poids d’individus e e pris au hasard. • si ρ(Xi , Xj ) < 0, Xi et Xj sont corr´l´es n´gativement, ce qui signifie qu’elles varient ee e en sens contraire. Par exemple, Xi et Xj peuvent ˆtre l’ˆge et la r´sistance d’un e a e mat´riau. e Cov(Xi , Xj ) . σ(Xi )σ(Xj ) 114 Chapitre 7 - Annexe A : Rappels de probabilit´s pour la statistique e • si ρ(Xi , Xj ) = 0, il n’y a pas de corr´lation lin´aire entre Xi et Xj . Cela ne signifie e e pas que Xi et Xj sont ind´pendantes

qualités de résistance mécanique de l’instrument notamment aux tenues à la température et à la pression de service. Le choix primordial du maté38 Instrumentation et régulation en 30 fiches 9782100529476-Prouvost-F07.qxd 15/01/10 8:00 Page 39 7 riau détermine la compatibilité à la corrosion, et se détermine à partir de la composition chimique détaillée du produit en contact avec l’instrument. Ambiance salée : les sondes à ultrason mesurant le niveau de la mer aux écluses de Le Crotoy ne sont pas

déforestation à outrance : 800 000 hectares chaque année, ce qui cause le rejet de 1,8milliard de tonnes de CO2. « Le pays reconnaît sa responsa- Des militants de Greenpeace au milieu de tourbières détruites à Pangkalan Bunut, dans la province de Riau. BAY ISMOYO/AFP bilité et a annoncé pour 2020 une baisse de 26 % de ses émissions de gaz à effet de serre. Pour y parvenir, il faudra brûler moins de forêts, replanter plus et assurer une meilleure maintenance », estime Joël Daligault, directeur à

spin nul, se placent pr´f´rentiellement dans le mˆme e ee e ´tat, ce qui conduit ` un minimum de turbulences, ` un minimum de perte e a a d’´nergie interne et ainsi ` un minimum de viscosit´. Finalement nous mentione a e nons un nouveau type de mat´riau : le condensat de Bose-Einstein dont la th´orie e e date de 1924. Il a ´t´ d´couvert exp´rimentalement en 1995 (la d´couverte ` ´t´ ee e e e ae e honor´e par le prix Nobel de 2001). Il s’agit d’accumulation d’atomes dont la e valeur de spin est paire

∂2f (t, x) dans RN . ∂x2 k 8.1 Origines du mod`le e L’´quation de la chaleur apparaˆ dans un grand nombre de contextes tr`s e ıt e diff´rents : soit en physique (thermique, m´canique des fluides visqueux, diffue e sion des neutrons dans un mat´riau fissile), soit dans des mod`les biologiques e e (dynamique des populations), ou encore en finance (´quation de Black-Scholes). e Expliquons par exemple comment cette ´quation apparaˆ en thermique. e ıt On s’int´resse ` la r´partition de la temp´rature

batteries à l’hydrogè­ ne (appelées aussi piles à combustible) est enfin tombé. Ces batteries, utili­ sées par exemple dans les voitures électr iques, avaient un inconvénient majeur : elles nécessi­ taient des électrodes con­ tenant du platine, maté­ riau excessivement cher. Grâce à l’ingéniosité d’équipes de recherche françaises, issues du CNRS, du CEA et de l’uni­ versité Joseph­Fourrier de Grenoble, le précieux mé­ tal pourra être remplacé par un composé de bisdi­ phosphine de nickel, 2.000 fois

matériau supraconducteur conduit à poser l’équation de London. Celle-ci relie le vecteur densité de courant volumique j et le champ B en un point du milieu : B rot j = – -----------2- . m0 l m ---------------2- est la constante de London du matém0 n q riau (n charges q, de masse m par unité de volume). n = 1029 m –3 ; q = –1,6 . 10 –19 C ; m = 9,1 . 10 –31 kg ; m 0 = 4 π . 10 –7 H . m –1. 2) En déduire la répartition du champ magnétique lorsque la plaque est présente et représenter les variations de