Richard von Krafft-Ebing

the world's No 1 fetish, The Independent Online Edition, 2007 [lire en ligne [archive] (page consultée le février 2007)] ↑ (en) Memorables images. [archive] Consulté le 7 août 2010. Annexes[modifier] Bibliographie[modifier] Richard von Krafft-Ebing (trad. sur la 8e édition allemande par Émile Laurent et Sigismond Csapo), Études médico-légales : Psychopathia Sexualis. Avec recherche spéciales sur l’inversion sexuelle, Fétichisme de la chaussure et masochisme déguisé — Psychopathia Sexualis

d’otages de 1996.   ♥Masochisme Le plaisir d’être dominé♥ En 1886, le psychiatre allemand Richard von Krafft-Ebing invente le terme « masochisme » pour décrire une perversion sexuelle typique : un sujet éprouve du plaisir à se soumettre et à se faire humilier et brutaliser par un autre individu, souvent du sexe opposé.  Krafft-Ebing a décrit le trouble à partir du cas de l’écrivain autrichien Leopold von Sader Masoch (1838-1895) qui, dans ses romans, mettaient en scène des femmes dominatrices et

est en plein essor, on date d'ailleurs la naissance de la sexologie à la fin du 19ème siècle. En 1870 parait le roman de Leopold Sacher-Masoch dans lequel est conté les fantasmes et relations masochistes de Séverin. En 1890, le psychiatre Richard von Krafft-Ebing, reprenant le nom de l'écrivain, invente le terme de masochisme et le range dans le registre de la pathologie perverse. Il caractérise le masochisme par la soumission à une autre personne et par le fait de subir de sa part de mauvais traitement

de l’amour entre hommes être publiés. On consacre également un évêque ouvertement homosexuel à Orléans en 1098 sans que le pape Urbain II ne dise quoique ce soit bien qu’il ait été au courant. En Angleterre, les aventures avec des hommes des rois Richard Cœur de Lion et Edouard II d’Angleterre sont de notoriété publique. La montée de l’absolutisme au 13ème siècle va porter un rude coup à l’homosexualité. En effet, partout en Europe, des lois sévères vont alors condamner fermement les responsables

prêche le vol, le parricide, le sacrilège, la profanation des tombeaux, l’infanticide, toutes les horreurs. Il a prévu et inventé des crimes que le code pénal n’a pas prévu ; il a imaginé des tortures que l’Inquisition n’a pas devinées. » C’est Krafft-Ebing, médecin allemand, qui donne, à la fin du XIXe siècle, un statut scientifique au concept de sadisme, comme antonyme de masochisme pour désigner une perversion sexuelle dans laquelle la satisfaction est liée à la souffrance ou à l’humiliation infligée

Pour réaliser ce tableau, Dali a utilisé sa méthode paranoïaque-critique que je vais vous présenter. * La méthode paranoïaque-critique Dali était passionné de longue date par la psychanalyse de Freud et les études psychopathologiques de Richard von Krafft-Ebing. C’est ainsi que, atteint de paranoïa, il développe dans les années 1930 sa méthode dite « paranoïaque-critique », qu’il définit comme "une méthode spontanée de connaissance irrationnelle basée sur l’objectivation* critique et systématique

Le terme général de « zoophilie » est intronisé pour la première fois par Richard Freiherr Von Krafft-Ebing, dans son film Psychopathia Sexualis, en 1886. En sexologie, psychologie, et en langage courant, ce terme possède une large signification, telles que : l'affinité, l'affection, ou bien l'attirance sexuelle pour un partenaire non-humain. Ce terme se réfère à l'attirance sexuelle envers les animaux, et, moins couramment, à la paraphilie du même nom. Le terme de zoosexualité désigne l'ensemble

constitution prussienne en 1871 et fut observé, puis renforcé par les nazis en 1935, et maintenu par la République Fédérale jusqu'en 1969. Dans les années 1880, le terme nouveau de Kertbeny, si facile à retenir, attira l'attention de Richard von Krafft-Ebing, un sexologue qui l'utilisa dans son oeuvre extrêmement populaire dans les années 1886-1887, Psychopatia sexualis une encyclopédie des formes sexuelles. Ce fut grâce à celle-ci et à des œuvres ultérieures de sexologues reconnus de la fin

tabous de la Grande-Bretagne de la fin du XIXe siècle. Ce contexte s'avère donc propice à la remise en question des codes établis par la littérature. En ce sens, Stoker peut être considéré comme un écrivain moderne. Psychanalyse, hypnose, Richard von Krafft-Ebing avec Sexualis Psychopathia, Monde moderne en transformation. Il travailla dix ans sur Dracula, ayant pris connaissance grâce à l’orientaliste hongrois Armin Vámbéry, membre du Royal Geographical Society, de l’histoire de Vlad Tepes.

indiscutables de féminité chez l’homosexuel. Angelo Hesnard insistait sur le fait que tous les homosexuels possèdent, de manière plus ou moins dissimulée, certains « aspects intersexuels psychiques ». 1 De même la lesbienne était présentée par Krafft-Ebing en fonction de quatre degrés de masculinité : les femmes qui ne trahissent pas leur anormalité dans leur apparence extérieure ou par leurs caractéristiques mentales, mais qui répondent néanmoins aux approches des femmes d’apparence masculine