Rides

de vagues de plus en plus grandes - le Mont-Sacré ou Mont-Fuji (élément central et décoratif) Il y a une différence d'échelle entre la vague et la montagne. L'image est tissée de courbes: la surface des eaux qui se creusent, les « rides » à l'intérieure des vagues, les pentes de Mont-Fuji. Le Mont-Fuji est enneigé (sommet), ce qui contraste avec l'horizon sombre. Les pêcheurs sont environ 30 (8 ramasseurs et 2 à l'avant de chaque barques). La grande vague est une vague géante

athlétique allongé sur un sol de verdure, il s’oriente vers un vieil homme installé dans une forme ovale de couleur rouge avec des enfants dans les airs. Ce vieil homme âgé porte une barbe et des cheveux longs blancs. Son visage est marqué par des rides. Ce dernier est entouré de personnages secondaires, des enfants et une femme, qui semblent tous contenus dans la forme. Des oppositions sont visibles entre les deux personnages ; jeune/vieux, nu/habillé, en haut/en bas. Les couleurs utilisées sont

capacités immunitaires, est responsable de 30% de l'ensemble des cancers, provoque 95% des cancers du poumon, encrasse les poumons, fatigue le cœur, perturbe vos fonctions sexuelles, favorise le déchaussement de vos dents, accélère l'apparition des rides, avance le vieillissement cutané (de10 à 20 ans), augmente la nervosité, diminue la mémoire et les réflexes, altère l'attention et la concentration, développe l'anxiété et favorise les dépresions, durcit les artères, favorise le diabète, irrite la

la propagande … Joseph Staline (1878-1943) porte l'uniforme de généralissime, c'est une référence à son rôle de chef de l'Armée Rouge durant la 2e guerre mondiale.Son visage est souriant et peu marqué par l'âge, Staline a 72 ans en 1950, les rides et les traces de variole qui burinent sa peau ont été gommées.Il a une attitude bienveillante envers les deux enfants, il tend ses bras pour accueillir ce jeune garçon. Ces enfants vont vers Staline comme les enfants vont en confiance dans les bras

Dieu jusqu'au bout de ton cancer, tous, nous sommes fauchés, un jour, par le croche-pied de la mort imbécile et les droits de l'homme s'effacent devant les droits de l'asticot. Alors, quelle autre échappatoire que le rire, sinon le suicide ? Poil aux rides ? Donc, on peut rire de tout, y compris de valeurs sacrées, comme par exemple, le grand amour que vit actuellement le petit roi inamovible de la défense passive, ici présent. Elle s'appelle Marika, c'est la seule aryenne au monde qui peut le supporter

de diamant Les autres techniques de recherche créative Analyse fonctionnelle : décomposer un produit en fonctions pour en supprimer / en ajouter les 2 en 1
les recharges
L’aspirateur sans sac,
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Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule Sur la face des mers, sur la face des monts, Sur les fleuves d'argent, sur les forêts où roule Comme un hymne confus des morts que nous aimons. Et la face des eaux, et le front des montagnes, Ridés et non vieillis, et les bois toujours verts S'iront rajeunissant ; le fleuve des campagnes Prendra sans cesse aux monts le flot qu'il donne aux mers. Mais moi, sous chaque jour courbant plus bas ma tête, Je passe, et, refroidi sous ce soleil joyeux

grands échangeurs de béton et des amis toujours joignables on. veut des bals et des ghettos on veut du green (6x) washing c'est nous les as les pinnochio du marketing on veut du green (6x) washing on veut de l'eau toujours qui coule et des rides un peu moin creusées on veut de la jeunesse en poudre on veut de la neige en été des grands buildings sous le soleil des monuments pharaonniques on veut partout partout pareil delà wi-fi du numérique on veut du green (6x) washing c'est

renforce avec ses autoportraits photographiques. (3)On peut voir sur son visage les signes du passage du temps : blanchiment des cheveux, multiplication des rides. (7)Même s’il essaie de produire un portrait le plus neutre possible, le plus objectif, il ne peut gommer toute émotion personnelle, il ne peut en cacher les traces sur son visage (rides creusées, pâleur, regard fatigué). Ces autoportraits permettent pourtant de redonner une figure humaine au comptage. Le passage du temps, c’est aussi peu

Cinq femmes « ordinaires », réelles, avec leurs défauts, leurs imperfections, certes, mais surtout avec un rayonnement qui évoque l’acceptation de soi et la capacité à être heureux : une rouquine au visage constellé de taches ; une femme avec ses rides de 96 ans ; une grosse en robe moulante ; une « extra-plate » ; une quinqua aux cheveux blancs… A travers elles, des questions qui nous touchent : « La beauté doit-elle forcément rentrer dans du 38 ? » ; « Quand pourrons-nous être fières de nos cheveux