Rites Et Croyances En Afrique

en revue, ensuite en examiner les thèmes principaux et finalement en souligner certains aspects politico-idéologiques chers à l'auteur. Analyse du texte Résumé - Les Gardiens du Temple raconte l'histoire mouvementée d'un état africain situé en Afrique de l'Ouest (nouvellement indépendant) dont le nom n'est pas précisé mais "qui ressemble fort bien au Sénégal", avec Tamarine comme capitale et siège du gouvernement. Composé de groupes ethniques imprégnés des visions du monde diverses, dont les Peulh

[murābiṭ], celui qui est attaché) est un homme ascète (rarement une femme), le plus souvent se réclamant de l'islam ou de syncrétisme musulman. Considérés comme un saint homme et un sage, les marabouts-m'rabet font l'objet d'un culte populaire en Afrique du Nord et sous d'autres formes dans toute l'Afrique Les Marabouts et le Maraboutisme Les marabouts existent dans tous les villages kabyles. Toutes les familles « maraboutiques » se disent « Chorfa » venues de sakiet El Hamra (Maroc). Pour

rastafarien. Il annonce la fin des souffrances du peuple africain en mettant en avant la reconnection des Africains outre-Atlantique avec leur racines par le retour à la Terre Promise, à la fois spirituel (rédemption biblique) et physique (rapatriement en Afrique). Or ce fut bien auparavant en 1924, suite à la compréhension générale par les différentes prèches Ethiopiennes/Ethiopianisantes d'Harlem et des Etats du Sud des Etats-Unis que les descendants des africains ayant subi le Passage du Milieu

Dans tous le pays, et depuis la nuit des temps, le mariage est une étape clé dans la Vie. Sa définition universelle est : union légitime entre des individus. Cependant, malgré ce but commun à tous les pays, les rites de cette cérémonie diffèrent selon les pays. Nous pouvons donc nous demander : en quoi les rituels du mariage témoignent-ils des valeurs culturelles ? Afin de répondre à cette problématique, nous étudierons dans un premier temps les préparatifs, la signification du mariage, les vêtements

Les rites initiatiques de passage : de l'enfant à « l'âge adulte » sociétés traditionnelles et contemporaines I. Définitions et actualité I.1 Conceptions actuelles On nomme « rite de passage » un rituel qui marque le début d'un changement de statut social ou sexuel d'un individu, donc d'une phase de transition. On parle souvent de puberté, mais il existe de multiples autres événements qui en ont recours, qui reflètent des transitions; tels que la naissance ou la mort par exemple. Chaque société,

jusqu'à l'_Homo sapiens_, n'est que la simplification erronée d'une histoire qui n'a cessé de se complexifier au gré des recherches menées par les préhistoriens et les paléoanthropologues. Il est à ce jour admis que le berceau de l'humanité est en Afrique. En 1981, Yves Coppens, paléoanthropologue de renommée mondiale, propose sa théorie de l'East Side Story: le point de départ est la création de la vallée du Rift, il y a 8 millions d'années, à l'est de laquelle le climat aride transforme la forêt

« fabriqué » a induit celle d'« artificiel », de « trafiqué » voire de « faux » ou lié à des manigances magiques comme le « sortilège ». Dès le XVIIIe siècle, cette notion est reprise en anthropologie puis en philosophie sur la question de la croyance et de l'objet de la religion. Pour l'anthropologue et le sociologue, le fétiche est un report de l'affectivité sur un objet unique ou composé, symbolique, en lui attribuant une efficacité supérieure à la sienne sur la réalité. En ethnologie, on

Lévi-Strauss, mais dans une interprétation dif- férente, nous soutiendrons que l’ordre de l’alliance matrimoniale prime celui de la filiation. L’ É C H A N G E E N Q U E ST IO N L ’ H O M M E 154-155 / 2000, pp. 145 à 158 De l’alliance matrimoniale en Afrique Une autre approche Charles-Henry Pradelles de Latour DLe pillage rituel du neveu utérin Chez les Thonga du Zimbabwe, connus depuis le début du siècle par les tra- vaux d’Henri Junod, le neveu utérin a un statut particulier défini par des com- portements

"véritable instrument à vent " dont les différentes intonations constituèrent autant de message et de mots d'ordre. La conque faisait également partie intégrante des rites mortuaires. Elle était utilisée pour annoncer la mort de quelqu'un à la campagne et convier les habitants à la veillée mortuaire du défunt. Peu jouée en Afrique, elle pullule aux Antilles où les "Afrodescendants" (qui l'ont renommée en créole "kon'lanbi") l'ont héritée des autochtones Caraïbes, qui eux l'appelaient "watabwi"…

monde, qui ne sont pas sans influencer la catégorie narrative la plus importante dans le cadre de cette étude : les personnages. Cette conception de l’écriture littéraire qui se fortifie aux sources de l’animisme et de l’islam, aux sources des rites et croyances qui participent du système de représentation du monde des peuples mandingues, affirme son extase esthétique sous l’influence de l’art littéraire des maîtres de la parole et surtout dans le parler typique mandingue qui la caractérise. Posant