Rivalité Nord Sud En Italie

résiste à la vague autoritaire. III) La démocratie remise en questionA la fin de la guerre, les puissances alliées vainqueurs imposent la démocratie dans les nouveaux états nés du redécoupage des frontières. Mais les frustrations de certains peuples (Italie) ou leur sentiment d’humiliation né des traités de paix (Allemagne) commencent déjà à remettre en question le modèle démocratique. A cela s’ajoute la peur d’une autre dictature, d’extrême gauche cette fois, celle des communistes depuis la révolution

participé financièrement ou matériellement aux efforts de guerre des protagonistes. Les combats se déroulèrent en majorité sur différents fronts qui se situèrent surtout en Europe, mais une petite partie de l’Asie et de l’Afrique, ainsi que l’Atlantique Nord subirent des conflits. Le front de l'Ouest était caractérisé par un ensemble de tranchées et de fortifications séparées par une aire surnommée le no man's land[5]. Ces fortifications s'étendaient sur plus de 600 kilomètres[5], incitant à une forme

quelque part et de l’amener à destination : le centre de consommation. Militaire : c’est la capacité que le pays a à amener à destination tout le matériel militaire nécessaire. (Personnel, hôpitaux, réserves.) 2) Qui est en charge? Rivalité civils-militaires Il y a deux façons de voir les choses. Vision de Helmuth Von Moltke (le jeune) : Quand la paix cesse, quand la guerre débute, les affaires doivent être confiés aux militaires et les politiciens se taisent. Quand la guerre cesse

(invalides, veuves et orphelins) qui se retrouvent à la charge de la société. Le coût total de la guerre est évalué à 340 milliards de dollars. La circulation monétaire a été multipliée par 11 en Allemagne et en Grande- Bretagne, par 5 en France et en Italie. Dans toutes l’Europe les réserves d’or sont insuffisantes pour assoir les monnaies : en 1919, le mark a ainsi perdu neuf dixièmes de sa valeur de 1914, le franc quatre cinquièmes. Seule la situation des Etats-Unis s’améliore. Le déséquilibre des

Américains, avec la participation de leurs alliés respectifs. Les pays du tiers monde tels que l’Inde de Nehru, l’Égypte de Nasser et la Yougoslavie de Tito formèrent pour un temps le mouvement des non-alignés, proclamant leur neutralité et jouant sur la rivalité entre les blocs pour obtenir des concessions. Sommaire  [masquer]  1 Désignation du terme 2 Volonté de reconstruction et de paix au lendemain de la Seconde Guerre mondiale 2.1 Une reconstruction économique 2.2 Une volonté de paix 3 Les débuts

l'Empire du Japon, dernière nation de l’Axe à connaître la défaite. Provoquée par le règlement insatisfaisant de la Première Guerre mondiale et par les ambitions expansionnistes et hégémoniques des trois principales nations de l’Axe (Allemagne nazie, Italie fasciste et Empire du Japon), elle consista en la convergence, à partir du 3 septembre 1939, d’un ensemble de conflits régionaux respectivement amorcés le 18 juillet 1936 en Espagne (la guerre d'Espagne), le 7 juillet 1937 en Chine (la guerre sino-japonaise)

façon imparfaite et surtout après la seconde de façon plus efficace, une prise de conscience sur la nécessité de réguler le monde afin de maintenir la paix est apparue. Pourtant, sur les ruines encore fumantes du second conflit mondial une nouvelle rivalité idéologique allait apparaître donnant naissance à un conflit particulier : « la guerre froide ». Paradoxalement, durant les années de guerre froide, même si le monde vivait dans la terreur d’une éventuelle guerre nucléaire, une sorte « d’équilibre »

URSS/STALINE/CHAPITRE N°2 1922 : fondation URSS (Union des républiques socialistes soviétiques), état fédéral qui regroupe plusieurs républiques dirigées par un parti communiste soumis au parti communiste russe (Moscou). Mort de Lénine : janvier 1924, rivalités pour sa succession avec les principaux dirigeants du parti. Joseph Staline (1879-1953), secrétaire général depuis 1922 réussi à faire écarter Trotski : assassiné. Montré très fréquemment sur photomontage avec Lénine comme un proche, un ami. Il

d'une continuation des luttes. Dissociation entre l'extérieur et l'intérieur des Etats → absence de monopole à l'international. Dans quelle mesure les rivalités internes entre fractions opposées à l'intérieur d'une même Etat contribuent elles à orienter la politique internationale de l'Etat dans telle ou telle direction ? Comment la rivalité entre telle ou telle bureaucratie interne influe sur la politique internationale. A l'inverse, dans quelle mesure la politique internationale de l'Etat tend-elle

avec cet auteur. Pour Elias, le fait fondamental dans la transformation de l’Etat est la concurrence entre des groupements politiques qui sont, à l’origine, des groupements de puissance relativement équivalentes (= seigneuries féodales), et dont la rivalité politique, économique, culturelle, de prestige, les conduits à des conflits militaires et armés dont l’aboutissement est la disparition de certains groupements au profit de certains autres groupements. Cette situation va aboutir à la disparition