Roaring Twenties

de change-or (gold exchange standard ou GES) 2. La stabilisation monétaire B. Prospérité ............................................................................................................................ 157 1. Les États-Unis des « Roaring Twenties » 2. La France des « Dix Glorieuses » 3. Le redressement en Allemagne C. De la prospérité à la détente : la réconciliation franco-allemande et l'« esprit de Genève » ......................................... 160 III. La crise de 1929 .......

taux d’intérêts plus bas que ceux que les anglais fixent chez eux, ce qui va orienter les investisseurs plutôt chez les anglais. C’est le départ du crédit bon marché aux USA qui stimule la consommation et la bourse, ça lance les USA dans les «roaring twenties». Hoover pointe la responsabilité des RU dans le départ de la crise de 1929. L’Allemagne retrouve une monnaie saine par plan Dawes (vice-président de Hoover qui a reçu le prix Nobel de la paix 25) : les USA prêtent de l’argent à l’Allemagne

Ces mécanismes de la crise n'ont rien de nouveau, mais ils agissent en 1929 avec une force destructrice nouvelle. La formidable croissance des années 20 a porté à des niveaux sans précédents le danger de surproduction. L'optimisme des "roaring twenties" (les "rugissantes années 20") n'a absolument pas préparé les esprits à la catastrophe.  Dans un premier temps personne ne remet en cause le libéralisme économique.  On attend que la reprise se fasse d'elle-même ... et la crise peut ainsi se

découvertes technologiques qui vont susciter de l’activité économique. Krach d’ampleur majeur qui va se répercuter sur l’ensemble de l’activité économique. Spéculation nait dans une logique de forte croissance : on a une croissance économique (roaring twenties) fondée sur l’offre, l’exploitation d’inventions. Croissance débouche sur un processus de hausse du prix du cours des actions. Ces investissements vont être financés surtout par émission d’actions. La croissance économique fait que les actions

et Daisy, celui à partir duquel l'amoureux transi va doucement glisser vers son funeste destin. Rien que par la construction très rigoureuse de son roman, Fitzgerald nous fait part de sa réflexion au sujet des années 20 aux Etats-Unis ou Roaring   Twenties.   L’Amérique   si   forte   et   joyeuse   se   trouve   comme  dépossédée  de  sa  vivacité  après  l’épisode  de  la  Première  Guerre  mondiale  pour  laquelle  elle  s’était   tant préparée. Fitzgerald dépeint ici une fêlure, la fêlure

appuyée sur des taux d’intérêt bas et des gains de productivité liés à la diffusion des NTIC (Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication). On retrouve ces mêmes indicateurs macroéconomiques avant 1929 : la crise fait suite aux Roaring Twenties, période faste pour la production industrielle américaine, dopée par la généralisation du travail à la chaîne et un loyer de l’argent modéré. Comme en 2008, tous ces éléments contribuent à favoriser un intense mouvement de spéculation boursière

cette politique visait également à une réforme en profondeur du système économique pour prévenir de nouvelles crises. Troisième section : Le succès des Incorruptibles entraîna des séries concurrentes telles que Asphalt Jungle ou The Roaring Twenties, ainsi qu’une multitude de films de gangsters. Selon certains auteurs cependant, la réalisation de Brian De Palma est encore bien plus éloignée de la réalité que dans les séries télévisées[16]. En effet, Eliot Ness est différent du personnage

Gatsby et Daisy, celui à partir duquel l'amoureux transi va doucement glisser vers son funeste destin. Rien que par la construction très rigoureuse de son roman, Fitzgerald nous fait part de sa réflexion au sujet des années 20 aux Etats-Unis ou Roaring Twenties. L’Amérique si forte et joyeuse se trouve comme dépossédée de sa vivacité après l’épisode de la Première Guerre mondiale pour laquelle elle s’était tant préparée. Fitzgerald dépeint ici une fêlure, la fêlure du rêve américain et de l’Amérique

niveaux de vie s'améliorent, la pauvreté baisse encore Les sociétés ont alors atteint le stade de « la maturité » avant le début de la production de masse. La croissance mène à l'étape ultime de la société : la « consommation de masse » (les roaring twenties aux États Unis, l'après Seconde Guerre mondiale en Europe occidentale) → les laissés pour compte sont dans un état particulièrement important de paupérisation subjective (meurent pas de faim, mais profitent pas de tout); à ce niveau, l'accès

la Grande Dépression succède une période de croissance forte, la «Belle époque» du début XXème jusque dans les années 20 (5%/an), ouverte et portée par la seconde industrialisation ( chimie, électricité, automobile). Au Etats-Unis on parle de Roaring Twenties, les «Vingt rugissantes». II. Des années 1930 aux années 1970 d’une depression en réalité mondiale à la réorganisation de l’économie mondiale. A. La crise des années 30 : une première rupture. 24 octobre 1929 : «jeudi noir» : Krack boursier à