Robe de chambre

« bougie », « foyer », « éclairée », « lumière », « obscurité » et « flambeau » qui ajoute au caractère effrayant de la scène. De plus, Chateaubriand insiste bien sur les vêtements particuliers que porte son père « robe de ratine blanche » ligne 10, « grand bonnet blanc » ligne 11, « sa robe blanche, son bonnet blanc » lignes 14 et 15 et décrit la figure de son père comme « longue et pâle » ligne 15 en ajoutant des détails avec la synecdoque « sa joue sèche et creuse » ligne 26. Enfin, on peut apercevoir

coucher, il dit à sa femme : - Si nous veillions cette nuit pour voir ceux qui nous aident ainsi ? La femme y consentit et, laissant une chandelle allumée, ils se cachèrent dans la garde-robe, derrière les vêtements accrochés, et attendirent. Quand minuit sonna, deux jolis petits nains tout nus entrèrent dans la chambre, se placèrent à l'établi du cordonnier et, prenant le cuir taillé dans leurs petites mains, se mirent à piquer, à coudre à battre avec tant d'adresse et de promptitude qu'on n'y pouvait

sentir le début d’un frémissement de paupière, impatient de reprendre le cours de sa vie, impatient de partager et de communiquer à nouveau, impatient de sentir ses caresses et de retrouver la connivence de nos regards... “Au fond du couloir, chambre 007”. Une fraction de seconde penser à James Bond ‘Eh toi! Super héros! A toi de jouer!, tire nous de là!”, puis s’en vouloir pour être si puérile. Remonter ce couloir, et le trouver long, si long. Silhouettes immobiles entre les lattes des stores

Au premier plan, un tapis recouvre l'estrade. Il est de couleur noisette. Une femme est assise sur celui-ci. Elle a les bras relâchés, son regard est visé hors du tableau. Elle porte une robe de couleur brou de noix. Ses yeux sont fermés et sa tête repose sur le lit. Une femme en robe de couleur azur clair se situe à gauche du tableau. Cette servante est débout et a le regard fixé vers le personnage qui se situe au deuxième plan. Ses cheveux sont gris. Au deuxième plan, une femme

chiffre courait. C'était le plus gros chiffre qu'une maison de nouveautés eût encore jamais atteint en un jour. Et, le soir, lorsque Denise monta se coucher, elle s'appuyait aux cloisons de l'étroit corridor, sous le zinc de la toiture. Dans sa chambre, la porte fermée, elle s'abandonna sur le lit, tellement les pieds lui faisaient du mal. Longtemps, elle regarda d'un air hébété la table de toilette, l'armoire, toute cette nudité d'hôtel garni. C'était donc là qu'elle allait vivre ; et sa première

véritable caméléon. Autant il peut jouer le stupide, autant il peut s’incarner en maître, en magistrat, en savant... Il est bavard et ne sait pas garder un secret. Colombine / Colombina (ou Ricciolina) : Origine : française Profession : femme de chambre (précisons que les femmes ne portent pas de masque contrairement aux hommes) Symbolise : l'indépendance et la franchise Costume : Colombine est une soubrette. Elle a deux jupons, un corsage à rayures et un tablier blanc. On la voit souvent habillée

convienne trouve que les plats sont variés. Le rituels de vie est dictée par la fonctionnalité de l'établissement mais déjeune dans sa chambre en chemise de nuit et en robe de chambre. L'environnement de sa chambre elle est situé au 1er étage juste au dessus de l'infirmerie face à la rivière et à côté d'un petit restaurant pour les personnes dépendantes. Sa chambre comporte 2 pièces avec la salle de bain et le reste avec un bureau et un lit médicalisé, table de nuit et fauteuil. Raison de la présence

la jeune fille le suivait des yeux. Lorsque Sheila retourna dans sa chambre, ce fut en chantonnant. Elle avait un rendez-vous des plus comblant, et elle allait en mettre plain la vue à cette homme qui flatté son désir tout en le torturant. Elle se fit tout d’abord couler un bain moussant dans se qui pour elle ressemblé plutôt à une piscine qu’a une baignoire.  Puis partit lire en attendant qu’il soit plein. La chambre luxueuse qu’elle avait pu s’offrir la comblé au plus haut point, elle était

actuellement à défiler. Les autres sont tombés dans l'oubli, comme Vanna ou Emilio Schuberth, dont une superbe robe bustier en soie déclinant plusieurs nuances de rose est exposée. Les vedettes de cinéma offrent aussi une tribune exceptionnelle aux designers italiens, grâce aux nombreux films tournés dans les studios de Cinecitta dans les années 1950 et 1960. L'exposition présente notamment une robe Sorelle Fontana portée par Ava Gardner, ainsi qu'un collier et une bague en émeraudes et diamants Bulgari

Personne n’a envie de savoir ce qui se passe dans les chambres d’hôtels, surtout lorsqu’elles sont rongées par les années et qu’un tas de poussière essaye tant bien que mal de cacher certains souvenirs sanglants qui reposent sous une planche de bois. C’est dans cette sorte de chambre que les deux amants trouvent le paradis terrestre. Adam enfonça une clé rouillée dans la serrure et poussa la porte. Ève sourit, il la prit dans ses bras et la porta jusqu’au lit en prenant soin de la déposer doucement