Robert-Cliche

forme d’exagération, mais pour Caligula, la réalité II – Le pacte avec Hélicon. 1) Méfiance (Hélicon est prudent). a) Il ne répond pas, car cela est trop dangereux (l.14-15) b) Il répond par cliché : (l.8) : « C’est une opinion assez répandue »  n’expose pas son point de vue c) (l.4) : Hélicon fait comprendre à Caligula qu’il ne dira jamais rien de négatif pour lui  il n’est pas un imbécile :

Depuis les années 50, la publicité n’a cessé de s’étendre et d’évoluer avec la société. Pour attirer sa cible, la publicité use d'images préconçues, toutes faites, que l'on appelle des stéréotypes, ou encore des clichés. Dans ces stéréotypes, la cible se reconnaît. Et, ces clichés touchent tout particulièrement aux femmes. Selon l’enquête Ipsos parue en 2011, 62% des femmes jugent que leur image est dévalorisante dans la publicité, tandis que seulement 47% des hommes ont le même avis. Il y a

consciente et prolongée ? Loin d'être un avertissement, le « carreau cassé » affirme la disparition du passé. - Emma « ferme les yeux » à la fin du passage : elle semble entretenir son illusion. II. L'ironie de Flaubert Une esthétique du cliché : - Les personnages semblent ne pas avoir de personnalité propre. « un air de famille, quelles que fussent leur différence d'âge, de toilette ou de figure ». Tous sont à l'unisson (cf. remarque sur leur âge). - Une littérature un peu dépassée :

Le portrait est rarement séparé de l’histoire etde la biographie du personnage qui se construit dans le temps, les discours et les relations sociales complètent indirectement notre connaissance du personnage. Unpersonnage exceptionnel constitue au cliché et au model de création de fiction : roman, bande dessiné, film… Ce n’est pas une personne banale : c’est quelqu’un qui a fait,dans sa vie, des choses extraordinaires, hors du commun, qui a vécu une vie différente que celle des personnes ordinaires

L’introduction Elle se compose essentiellement : • D’une « entrée en matière » (ou « accroche » ou « amorce ») : il s’agit d’une phrase générale (et non pas d’une généralité (cliché)) ayant un lien avec le sujet. Évoquez, par exemple, le contexte littéraire et / ou historique — bref, il s’agit d’intéresser le lecteur. • D’une citation du sujet : si la citation est trop longue, reformulez-la. Exprimez maintenant brièvement votre problématique sour la forme d’une (ou plusieurs) question(s) : en

portrait est rarement séparé de l’histoire et de la biographie du personnage qui se construit dans le temps, les discours et les relations sociales complètent indirectement notre connaissance du personnage. Un personnage exceptionnel constitue au cliché et au model de création de fiction : roman, bande dessiné, film… Ce n’est pas une personne banale : c’est quelqu’un qui a fait, dans sa vie, des choses extraordinaires, hors du commun, qui a vécu une vie différente que celle des personnes ordinaires

extension, la naïveté et le manque d'intelligence. En outre, la relative rareté des cheveux blonds (environ 10 % de la population en Europe de l'Ouest) a pu faire que les enfants blonds aient été souvent admirés. D'un autre côté, l'hypothèse que ce cliché soit moderne n'est pas complètement à rejeter et il est possible que l'image de la blonde écervelée ait commencé au début du xxe siècle, avec le roman populaire d'Anita Loos (1925) : Les hommes préfèrent les blondes dans lequel le personnage principal

l'expression plus percutante. En tant que structure fermé, il permet dans 90% des cas de suggérer l'enfermement, l'absence d'issue. Le cliché (M) : métaphore passée dans le langage courant.  Le cliché est également à l'origine des types littéraires, principalement dans la constitution des personnages types ou des stéréotypes. On peut ainsi résumer en montrant que le cliché se fonde sur des analogies culturelles, partagées par tous, à l'instar d'archétypes (= modèle idéal). La comparaison (F) : rapprochement

passage immoral Aucun scrupule moral Glorification de l’adultère (« les légions.. ») Aucun jugement explicite formulé par Flaubert C. Un regard ambiguë de Flaubert Ironie de Flaubert contre un sentiment qui n’a rien d’authentique et qui dégénère en cliché romantique Introduction de dissonances légères dépréciatives Jeu des contrastes (attitude de Rodolphe) Ironie porte surtout sur les dérèglements de l’imagination. Mise en avant d’un moment d’extase sensuelle, de transfiguration poétique par le désir

se fonde sur l’exagération, du trait ou de la situation, pour faire rire, pour se moquer. Elle doit cependant permettre une identification immédiate du personnage (comme un portrait). Stéréotype : opinion toute faite, réduisant les singularités, cliché, lieu commun. Le dessin de presse utilise le stéréotype pour représenter un groupe par un personnage unique. ex. Plantu dessine un homme en costume, ventru, fumant le cigare, pour représenter un patron ou les patrons en général. Provocation : destinée