Robert Hossein

Robert Hossein à Lourdes Avec 150 comédiens et figurants, le metteur en scène prépare un spectacle unique, joué à Lourdes le 13 août 2011. « Une femme nommée Marie » est le dernier projet de Robert Hossein. Son désir de monter un événement théâtral sur Marie et Bernadette remonte à deux ans. « L’été 2009, revenant d’un festival de théâtre à Gavarny, ma femme, l’actrice Candice Patou, a suggéré que nous passions à Lourdes. En arrivant sur l’esplanade, devant la basilique, j’ai vécu quelque

de Nicolas Briançon que vous avez vu en répétition générale. Comment Nicolas Briançon exploite-t-il le texte d’Anouilh en intégrant tradition et modernité à travers sa mise en scène ? UN PARI RISQUÉ Un casting a priori plutôt alléchant : Robert Hossein, Barbara Schulz (Dommage qu’elle soit une putain, 1997) et une mise en scène prometteuse de Nicolas Briançon ne garantissaient pourtant pas une réussite. Antigone de Jean Anouilh, pièce connue et reconnue de tous, retraçant la fin du mythe des

Affaire Seznec. Depuis hier, Guillaume Seznec est rejugé au Théâtre de Paris. Robert Hossein, passionné de justice, met en scène cette affaire complexe et douloureuse qui a divisé la Bretagne et la France entière. Chaque soir, les spectateurs deviennent les jurés du procès reconstitué. Le rideau se lève sur une salle de tribunal. À droite, Guillaume Seznec, interprété par Philippe Caroit, assisté de son avocat, MeKahn. À gauche, le président de la cour d'assises et l'avocat général. Au milieu

Les thèmes abordés : La solitude, le sens du devoir, la rébellion et le bonheur sont les thèmes abordés dans la pièce Mises en scènes célèbres : 2003 : Mise en scène de Nicolas Briançon au Théâtre Marigny avec Barbara Schulz (Antigone) et Robert Hossein (Créon).

théâtre. La pièce se passe en plusieurs mois. La poésie Hugolienne Les vers sont plus libres et prosaïque set épousent particulièrement bien le rythme du dialogue en lui conférant une forme réaliste( comme on le voit dans la mise en scène de Robert Hossein).Cette poésie met en relief ce qu’il faut visualiser à l’aide des rejets. La fragmentation de l’alexandrin permet d’influer sur les volontés des personnages. L’application de Victor Hugo d’un parler familier dans les alexandrins oblige une expression

d’adaptations qui suivront, se distingueront celle de 1933, avec Harry Baur en Jean Valjean, la grosse machine de Jean-Paul Le Chanois (Bourvil en Thénardier et Gabin en Valjean), en 1958, sur des dialogues d’Audiard et Barjavel, ou encore le téléfilm de Robert Hossein (cette fois, c’est Lino Ventura qui endosse la casquette de Valjean), en 1982. Pour être franc, aucune n’a complètement convaincu. Question de rattrapage. Comment s’appellent les deux filles des Thénardier élevées avec Cosette ? Eponine et

montrent sa sensibilité. La richesse et la profondeur des Misérables expliquent le succès jamais démenti de ce roman qui a inspiré de nombreuses adaptations : films de Frank Lloyd (1917), Jean-Paul Le Chanois (1958, voir la page d'ouverture), Robert Hossein (1982, avec Lino Ventura), Claude Lelouch (1995, avec Jean-Paul Belmondo), téléfilm de Josée Dayan (2000, avec Gérard Depardieu et John Malkovich), célèbre comédie musicale de Claude-Michel Schönberg et Alain Boublil (1980, version anglaise en

Durant toute l’histoire Javert ne cessera de traquer Jean Valjean. D’autre films des misérables ont été réalisé par plusieurs autres réalisateurs comme : - Raymond Bernard en 1934 - Richard Boleslawski en 1935 - Glenn Jordan en 1978 - Robert Hossein en 1982 - Claude Lelouch en 1995 Cosette chez les Thénardier couverture du film

Debever (le page), Jean-Guillaume Le Dantec et Théo Légitimus (les gardes). Théâtre Marigny, 200310,11 Mise en scène de Nicolas Briançon, décors de Pierre-Yves Leprince, costumes de Sylvie Poulet Avec Barbara Schulz (Antigone), Robert Hossein (Créon), Elsa Mollien (Ismène), Julien Mulot (Hémon), Julie Kapour (la nourrice), Bernard Dhéran (le chœur), Pierre Dourlens (le premier garde), Bruno Henry (le messager), Claudia Fanni (le page), Dominique Roncero et David Loyola (les gardes)

 Emmanuelle Debever (le page), Jean-Guillaume Le Dantec et Théo Légitimus (les gardes). Théâtre Marigny, 200310,11 Mise en scène de Nicolas Briançon, décors de Pierre-Yves Leprince, costumes de Sylvie Poulet Avec Barbara Schulz (Antigone), Robert Hossein (Créon), Elsa Mollien (Ismène), Julien Mulot (Hémon), Julie Kapour (la nourrice), Bernard Dhéran (le chœur), Pierre Dourlens (le premier garde), Bruno Henry (le messager), Claudia Fanni (le page), Dominique Roncero et David Loyola (les gardes)