Robertiens

(I) A partir fin Xème, va se recréer une continuité dynastique. Depuis 888, alternance Robertiens, Carolingiens. Se posent la question de la succession à la couronne royale où Louis V le fainéant vient à décéder. Accident de chasse. Complot contre sa couronne d’Adalbéron. Assemblée de Grands se réunit pour savoir qui va succéder à Louis V et non plus pour juger Adalbéron. Soit un carolingiens, soit un Robertien : Hugues Capet. Pour Adalbéron, il va peser de tout son poids en faveur d’Hugues Cape

directs ne lui permet pas de commander sur ces territoires autres que le domaine royale par l’adage « le vassal de mon vassal n’est pas mon vassal ». Le domaine royal est donc réduit au moment ou Hugues Capet monte sur le trône. Les Carolingiens et Robertiens concédaient des terres à leurs agents pour s’assurer leur fidélité. Ils se sont presque entièrement dépouillés et ce qu’ils contrôlent encore directement, en 987, ne représente presque plus rien. En effet, seul quelques petits morceaux de territoire

Grâce aux sources écrites, on sait que c’est sur ce site qu’une puissante famille, tige des Coucy également comtes d’Amiens, tient la forteresse de Boves entre le XIIeme et le XIVeme siècle après plusieurs siècles de luttes entre Carolingiens, Robertiens et Vermandisiens. Pour fixer les hommes au pied de leur château, les Coucy fondent deux établissements religieux : le prieuré de Saint-Ausbert au début de XIIeme siècle et le prieuré de l’église paroissiale Notre-Dame-des-Champs en 1196. A partir

Le démembrement de l'Empire carolingien continue : le comte Boson est élu roi de  Bourgogne­Provence par un concile d'évêques. C'est le premier roi non  879  carolingien. Quant au trône de France, il est dorénavant occupé alternativement  par les Robertiens (ancêtres des Capétiens) et les Carolingiens.  Adalbéron, archevêque de Reims, sacre Hugues Capet roi des Francs, en écartant  le dernier prétendant carolingien, Charles de Lorraine. La dynastie capétienne,  987  avec ses branches Valois et Bourbon

au terme de cette longue dégradation va naître un nouvel ordre politique. C’est ce que nous verrons dans la section suivante mais avant cela voyons ce que devient le roi. § 2 Le chassé croisé robertien carolingien Nous savons qu’en 888 l’assemblée des Grands avaient procédé à l’élection d’un robertien, Eudes. Son prestige tenait surtout à sa défense de Paris contre les normands. Le problème c’est qu’on ne va pas commencer une nouvelle dynastie tout de suite avec Eudes car la légitimité carolingienne

en 887et Eudes comte de paris et élu roi en 888 jusqu’en 898 sacré par l’archevêque de Sens et il est le fils du comte Robert le fort qui s’étais illustré contre les Normands. Commence alors l’alternance entre la dynastie des carolingiens et les Robertien. Or existe à la même époque en 888 le fils de Charles le Gros mais qui n’a que 8ans néanmoins il est sacré à Reins en 893 il y a donc 2 rois (Eudes et le fils) Eudes commende la partie ouest. En 897 Eudes s’impose alors que le 2ème roi le fils

Louis II le Bègue ; serment du sacre Règne conjoint de Louis III et Carloman Mort de Louis, Carloman règne seul Règne de Charles le Gros, carolingien de Germanie Siège de Paris (défendu par le comte Eudes) par les Normands Electio d'Eudes (888-898), robertien Charles III le Simple, carolingien, sacré roi Arrangement entre Eudes et Charles le Simple Invasions des Normands, Sarrasins et Hongrois. Rollon, comte de Rouen (traité de Saint-Clair-sur-Epte) Les grands déposent Charles le Simple et désignent pour

principe de l’hérédité de la fonction royale Le fondement et le pouvoir du roi : « Le fondement le plus net du pouvoir du roi c’est le fait que ses grands le reconnaissent comme tel en chaque moment » L’alternance entre les carolingiens et les Robertiens, se termine avec l’élection de Hugues Capet en 987. La dislocation de la francie occidentale : la mutation féodale. Les principautés territoriales IX siècle Lignage : structure de parenté s’organisant suivant un modèle verticale. Ordre seigneurial

cimetière gallo-romain, lieu de sépulture de saint Denis martyrisé vers 250. Le transept de l'église abbatiale, d'une ampleur exceptionnelle, fut destiné à accueillir les tombeaux royaux. Elle est ainsi la nécropole des rois de France depuis les Robertiens et Capétiens directs, même si plusieurs rois mérovingiens puiscarolingiens avaient choisi avant eux d'y reposer. La basilique Saint-Denis fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 18621. Le jardin qui l'entoure

sous les Carolingiens. 35 A/ La cérémonie du couronnement impérial (et non pas du sacre). 35 B/ Signification de l’impérialité de Charles Ier. 35 C/ La conception du pouvoir. 36 SECTION 2 : LE GOUVERNEMENT CAROLINGIEN ET ROBERTIEN JUSQU'A L’AVENEMENT DES CAPETIENS. 37 I. L’échec de l’Empire Carolingien. 37 A/ L’empire a disparu. 37 1. Description des évènements. 37 2. Une société en passe de voir le pouvoir royal s’affaiblir (l’honor et le beneficium)