Robespierre

En décembre 1793, le meurtre de son secrétaire à Villeurbanne, le pousse à fuir. Il pense que l'anonymat parisien le protégera mais, dénoncé, il fut emprisonné dès son arrivée, le 31 décembre. Il dut son salut, comme beaucoup, à la chute de Robespierre, le 9 thermidor an II (27 juillet 1794). Directoire [modifier] Il se fixa alors à Paris, y reprit l'exercice de sa profession d'avocat et se fit élire[2], le 28 vendémiaire an IV (1795), député de la Seine au Conseil des Anciens. En même temps

1793 la Révolution est menacé à l’extérieur comme à l’intérieur , les ennemis de la République se faisant de plus en plus nombreux les conventionnels de 1793 ,guidé par Robespierre et Saint juste entre dans un régime d’exception pour éliminer tout les ennemis de la République . Durant cette période de 1794 sera éliminé Robespierre menant une politique de Terreur toujours plus acharné et le club des Jacobins sera fermer, il restera donc une majorité de révolutionnaire modéré à la Convention , qui sont

souverains étrangers ce qui rend le procès inévitable. - La peine de mort est prononcée par Robespierre. 6- La Terreur (1793-1794) En 1793, la Convention avait crée le tribunal révolutionnaire destinée a juger les crimes commis contre la République. Au début, le tribunal travailla avec une relative modération, mais après la promulgation de la loi sur les suspects tout changea. Ce fut Robespierre qui érigea la Terreur en système en proclamant l

– 2 juin : chute des Girondins 13 Juillet : assassinat de Marat Convention Septembre : début de la Terreur avec Robespierre (lois des suspects, loi du Maximum) Octobre : Marie- Antoinette guillotinée Janvier-mars : colonnes « incendiaires » de Turreau 10 juin (22 prairial) : « Grande Terreur » (loi contre les témoins et les avocats 1794  dans les procès) 27 juillet : chute de Robespierre (9 Thermidor) 20 mai : journées de Prairial (fin du mouvement sans-culotte) 1795 5 août : émeute royaliste de Vendémiaire

farouchement replié sur ses privilèges et un pôle plus libéral. Cette noblesse est l’objet d’une hostilité certaine au sein de la population. En effet dès le début du processus révolutionnaire, il existe en France un fort courant anti-nobiliste. Robespierre pour la noblesse parlait même de « tâche originelle ». La noblesse, donc, est divisée et confrontée à la haine d’une grande partie de la population. Pourtant, elle ne disparaît pas et survit à la décennie révolutionnaire. On peut donc se demander

quelques ouvrages puis devient journaliste. Il publie un journal à connotation révolutionnaire :L'Ami du Peuple. Le 9 Septembre 1789, il est élu député à la Convention. Il meurt assassiné le 13 juillet 1790 par Charlotte Corday.  Robespierre Maximilien de Robespierre ( 6 mai 1758 - 28 juillet 1794 ) est né à Arras dans le Pas de Calais. Il fut avocat et homme politique français. Chef des Montagnards ( Groupe politique de la Révolution française ), il participa à l'élaboration de la Déclaration

la Révolution et entame en parallèle à sa carrière artistique une activité politique en devenant député à la Convention et ordonnateur des fêtes révolutionnaires. Son engagement l'amène à voter la mort du roi Louis XVI, et son amitié pour Maximilien de Robespierre lui vaudra, à la chute de celui-ci, d'être emprisonné lors de la réaction thermidorienne. Ses activités politiques prennent fin sous le Directoire, il devient membre de l'Institut et se prend d'admiration pour Napoléon Bonaparte. Il se met à son

mort du roi Louis XVI, et son amitié pour Maximilien de Robespierre lui vaudra, à la chute de celui-ci, d'être emprisonné lors de la réaction thermidorienne : (il est élu député à la convention nationale en 1792). Il fait supprimer l’Académie Royale et créé un nouveau système d’enseignement artistique dispensé à la Commune des Arts. Durant cette période, son chef-d’œuvre est sans aucun doute « Marat assassiné ». De la même façon que Robespierre, David fut incarcéré quelque temps, ce qui ne l’empêcha

monnayeurs Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre . Cependant, l'Assemblée national constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée la méthode d'exécution. Selon l'article 3 du Code pénal de 1791, qui classe

Marie-Antoinette guillotinée le 16 octobre 1793. • De juin 1793 à juillet 1794, période déchristianisation et laïcisation de l'État. • Le 8/01/1794 première et unique fête de l'être suprême présidée par Robespierre • Cette période du gouvernement révolutionnaire se termine avec la chute de Robespierre, qui a lieu le 9 thermidor AN II (27/07/1794). Section 2 : la réaction bourgeoise et le Directoire • convention thermidorienne va adopter une loi qui proclame la séparation de l'Eglise