Roland Totheroh

Titre: Les croix de bois nom de l'auteur: Roland Dorgelès date d'édition:octobre 2011 collection: le livre de poche éditeur: lgf/ livre de poche catégorie : récits autobiographique de guerre genre : récit historique thème : guerre explication du titre :Le long des chemins du front, on trouvait souvent une ligne à perte de vue de croix de bois, faites à la va-vite, et posées au-dessus des cadavres de soldats allemands et/ou français. Soldats inconnus, jeunes soldats, c’est en leur hommage que Dorgelès

littéraire traitant d’une question théorique de manière libre et concise (non-exhaustif) Essai : Montaigne : 16eme siècle Humanisme Emile Zola : 19eme siècle Naturalisme (reproduit la réalité) La Chanson de Roland Médiéviste : qui étudie les textes du moyen age Chanson de Roland Au 11ème siècle c’est une chanson de gestes Chanson de gestes : -Récit qui rapporte les exploits et choses accomplies d’un héros Une chanson de gestes est une épopée mais une épopée n’est pas nécessairement une C.D

sur la quête héroïque menée par les personnages simplifiés dotés de qualités surhumaines – souvent hérités de la mythologie- qui suscitent l’admiration morale. Ils sont porteurs d’une vision très réaliste de l’homme. Voir par exemple « La chanson de Roland » où l’on parle de trahison, de batailles et de vengeance) Le texte est imprégné de l'enthousiasme des humanistes de la Renaissance et le passage le plus célèbre est la lettre de Gargantua à Pantagruel, qui traduit la passion pour la redécouverte

Alban Goncalves BTS CI2 Le culte de l’objet, de la collection au fétichisme Doc 1 Roland Barthes, « Mythologie » Doc 2 Jean Baudrillard, « le système des objets » Doc 3 Emile Zola, « Au bonheur des dames » Doc 4 Andy Warhol, « Campbell soup cans » Pistes de lecture Objet sacré, l’automobile est devenue inhérent à l’homme. Une vrai passion peut se rapporter a cet objet. Certains objets que l’homme affectionne, peuvent assurer son équilibre vital Les clientes sont en adoration devant

critique de la guerre qui y est faite. Littérature : pour les mêmes raisons, elle peut être croisée avec Paroles de Poilus, Lettres et carnets du front, 1914-1918, A l’ouest, rien de nouveau (1929) d’Erich Maria Remarque, Croix de bois (1919) de Roland Dorgelès et La vie tranchée (2008) de Bénédicte des Mazery. Toutes ces œuvres décrivent les horreurs de la guerre et la dénoncent, de manière explicite ou implicite.

bien pu le frapper » (p. 44-46). Cette séance sur la rencontre amoureuse est essentielle dans cette séquence, dans la mesure où elle indique aux élèves que Lancelot ou le Chevalier de la charrette n’est pas un roman de chevalerie comme La Chanson de Roland, mais un roman courtois. Si les récits de combats y ont toute leur place, ils y sont « supplantés » par l’amour, qui est au cœur des préoccupations (voir présentation, « La littérature courtoise »). L’extrait que nous proposons ici aux élèves permet

LA MORT DE L’AUTEUR, Roland BARTHES, 1968 * Se rapporter à Le démon de la théorie de Compagnon, chapitre « L’auteur », p 54-5-, 74-75, 90-91 Dans sa nouvelle Sarrasine, Balzac parlant d’un castrat déguisé en femme : «  C’était la femme, avec ses peurs soudaines, ces caprices sans raison, ses troubles instinctifs, ses audaces sans causes, ses bravades et sa délicieuse finesse de sentiments. » Barthes demande qui parle ainsi et répond immédiatement en nous disant qu’à tout jamais il est impossible

et Marcel Proust dans Le temps retrouvé mets même en avant l’ « esthétique » paradoxale , de la guerre a l’arrière en lui donnant une relation avec le théâtre «  vaudeville», «  personnages » et la musique «  Walkyries » «  Wagner » La Chanson de Roland , où le présent simple est utilisé marque l’habitude et l’évidence du combat , il est d’ailleurs dit explicitement qu’ils «  n’ont rien à se reprocher » . Les hommes ont également une difficiles acceptation des différences, et cela depuis toujours

extraordinaire à des personnages bien plus que plaisant joués a merveille par des comédiens talentueux, en passant par un humour (presque) sans relâche, je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer une seule minute. L’hiver sous la table est une pièce de Roland Topor, ou plutôt un conte, un rêve, un éclat de rire tendre et généreux qui dépeint tout de même une misère qui n’en n’est pas moins riche d’amour, de tendresse et de petites attentions toutes aussi touchantes les unes que les autres. La mise en

musique arabo-andalouse au IXe siècle. Il introduisit le oud (luth arabe) en Andalousie après lui avoir ajouté une cinquième corde et en développant le jeu au plectre. C'est ce luth qui s'est ensuite répandu dans le reste de l'Europe. La chanson de Roland fut sans doute jouée sur un luth de ce type. Ziryab fut non seulement un musicien extraordinaire, mais aussi un grand lettré, un astronome et un géographe. À son arrivée à Cordoue, il créa une école de musique, premier conservatoire d'Europe ouvert