Role Du Multiplicateur Dans La Croissance

Benoît AYAD Investissement et croissance chez Keynes Promotion 2010 Date de remise : 29 Septembre 2009 Sommaire Introduction 4 I) L’investissement chez Keynes. 5 A - Les déterminants de l’investissement 5 B - Le circuit Keynésien 5 C - Le multiplicateur d’investissement 6 II) La croissance chez Keynes. 7 A - La consommation est le moteur de la croissance selon la logique keynésienne. 7 B - L'interventionnisme

d'ailleurs bien toute la problématique du sujet qui nous intéresse ici: bien que l'investissement soit un facteur clé d'une croissance économique saine, il reste soumis, comme tout agrégat, aux limites le régissant. Cependant, il reste souvent un doute sur le sens de la relation unissant l'investissement et la croissance économique, et surtout sur sa portée. Nous entendrons par croissance économique l'évolution soutenue pendant une ou plusieurs longues périodes d'un indicateur de richesse tel que le PIB

Il faut resituer l’analyse keynésienne dans son contexte historique pour mieux comprendre l’originalité de son analyse. La théorie générale parait en 1936, donc peu de temps après la crise de 1929 qui s’est traduite par une chute brutale de la croissance dans les plupart des pays industrialisés, une hausse du chômage et la déflation (baisse des prix). Jusque là, les économies étaient soumisses à des crises passagères mais jamais d’une telle ampleur et d’une telle durée. Les théories classiques semblaient

générale le plein-emploi, en donnant les facteurs tels que les préférences des consommateurs, l’intensité de la concurrence, les structures des salaires et des prix.      On trouve la solution au problème du chômage dans un revenu croissant. La croissance, qui est un phénomène typique pour la société capitaliste, est considérée comme une fonction d’un progrès technique abstrait résultant d’une augmentation de la productivité par homme -heure et ayant lieu indépendamment de la formation de capital

Peut-on concilier austérité et croissance ? L’économiste Joseph Stiglitz écrit en avril 2013 à propos de la rigueur budgétaire : « Ce qui est stupéfiant, c’est qu’autant de dirigeants politiques continuent malgré tout d’appuyer ces politiques discréditées, même si des voix aussi conservatrices que le FMI leur disent aujourd’hui que leur austérité est dangereuse et qu’il faut s’occuper de toute urgence de stimuler l’économie ». Ainsi, l’austérité budgétaire, alors qu’elle marque les politiques économiques

Le rôle de l'investissement dans la croissance économique D'une manière générale, tous les économistes (quel que soit le courant de pensée) reconnaissent beaucoup de vertus à l'investissement: – en matière de croissance des richesses et d'emploi – en matière de modernisation des structures car l'investissement est source d'accumulation du capital et le capital nouveau apporte du progrès technique. Ainsi, il convient de rappeler 3 effets qui concernent l'investissement: –

Introduction : En 1971, en France, la croissance de l’investissement est de 8 et celle du PIB est de 5 alors qu’en 1973 il y a la fois un ralentissement de l’investissement et PIB. Ainsi force est de constater qu’il y a un lien de corrélation entre l’investissement et l’activité économique. Mais y a-t-il une corrélation entre ces deux variables ? Ainsi nous allons nous interroger sur l’investissement et la croissance économique. On peut définir l’investissement comme

Peut-on concilier austérité et croissance ? L’économiste Joseph Stiglitz écrit en avril 2013 à propos de la rigueur budgétaire : « Ce qui est stupéfiant, c’est qu’autant de dirigeants politiques continuent malgré tout d’appuyer ces politiques discréditées, même si des voix aussi conservatrices que le FMI leur disent aujourd’hui que leur austérité est dangereuse et qu’il faut s’occuper de toute urgence de stimuler l’économie ». Ainsi, l’austérité budgétaire, alors qu’elle marque les politiques économiques

Il faut resituer l’analyse keynésienne dans son contexte historique pour mieux comprendre l’originalité de son analyse. La théorie générale parait en 1936, donc peu de temps après la crise de 1929 qui s’est traduite par une chute brutale de la croissance dans les plupart des pays industrialisés, une hausse du chômage et la déflation (baisse des prix). Jusque là, les économies étaient soumises à des crises passagères mais jamais d’une telle ampleur et d’une telle durée. Les théories classiques semblaient

. 2.1.2 Observations empiriques du chômage et de l’emploi des pays de l’OCDE 2.1.3 L’approche libérale : un chômage volontaire . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.4 L’approche keynésienne : un chômage involontaire . . . . . . . . . . . . 2.1.5 Le rôle du progrès technique et du commerce international . . . . . . . . 2.2 L’inflation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.1 La notion d’inflation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.2 L’inflation