Roman Divertissement

est un objet artistique qui répond à des codes. En effet, les artifices que met en place l’auteur pour créer son témoignage densifient le récit, le rendent artistique. Ainsi, Guéhenno dit : « le style soutenu a du bon [...] Stendhal se veut dans ses romans. Il se subit dans ses journaux » (p.142). Le style soutenu que défend Guéhenno est un artifice possible que l’écrivain témoin utilise pour témoigner car il ne subit pas le poids écrasant de la vérité des faits, il la supporte. De même, on peut associer

pose donc la question quelle différence y a-t-il entre la lecture d'un texte théâtral et sa représentation sur scène? Pour répondre à la problématique nous allons développer les points suivant: 1) Les intérêts communs du théâtre lu et joué -Le divertissement -La réflexion -Instruire 2) Les spécificités du théâtre joué par rapport à la lecture -La mise en scène, la réalité -L'interprétation des metteurs en scène 3) Autours du théâtre -La rencontre sociale - Les limites de la représentation

17e siècle. Le passage étudié se situe vers le milieu du roman (dans cette édition découpé en 4 chapitres : ici 2e), lors de la préparation fastueuse du tournoi donné à l’occasion des noces princières entre le roi d’Espagne et Marguerite de France. Il annonce aussi l’épisode central de la lettre perdue dont il met en place l’intrigue. Mvts : - « peu de jours » à « travailler à la lice » : les intrigues amoureuse et le jeu/ divertissement résument la vie de la cour : la passion codifiée - « Après

théâtre à l'intuition raisonnée de son rôle spécifique, non seulement dans l'action dramatique, mais dans la recherche de la vérité ». On y perçoit bien les différents aspects du dialogue, fait de « plaisir » et de « pratique » (domaines du jeu, du divertissement), mais aussi de « conscience (…) raisonnée » (donc d'un aspect auto-réflexif certain) à la fois du rôle dramaturgique (« dans l'action dramatique ») et poétique, voire philosophique du langage (« recherche de la vérité »). Il s'interroge au sein

Il est vrai que la fonction principale du théâtre est de divertir les spectateurs, cependant le théatre, plus encore que le roman ou la poésie, peut se définir comme le miroir du réel. Certains dramaturges n'hésite pas à évoquer à travers leurs pièces les cotés absurdes du monde, ou de société, et ce de manière totalement dérisoire. Le théatre de l'absurde, né dans les années 1950 reflète l'absurdité tragique d'un monde sans repère. L'absurdité des situations mais également la destructuration du

s'est reconnue en voyant le film. Le roman, lui, est écrit dans une langue brute, minimaliste et répétitive, langue parlée spontanée toute en ruptures, difficile à lire, voire "inconfortable". Je dois avouer que si je n'avais pas connu le succès du film, je n'aurais pas poursuivi au-delà des trente premières pages. C'est tout le problème de ce roman! Fight club ... dérangeant mais tellement tentant ! Où se cache notre Tyler ? Fight club est un bon divertissement, tout comme son adaptation ciné,

vraisemblable ou non. Cela correspond vraiment à la définition de lecture naïve, puisque le lecteur va parcourir le texte en se fiant à ses premières impressions, sans se soucier du style de l’auteur. Si l’on pense aux Sherlock Holmes de Conan Doyle, ou aux romans policiers en général, on peut facilement dire que si le lecteur les apprécie, c’est pour le degré d’implication qu’il demande dès - et surtout à - la première lecture ; il va rechercher le coupable avec lui, faire attention aux personnages, pour au

ventes de livres pour la jeunesse se trouvent des ouvrages issus d’univers télévisuels et cinématographiques1 tels T’Choupi, Titeuf, Babar ou Ratatouille. Ces ouvrages sont des adaptations en livres, c'est-à-dire que ce sont des transpositions en romans ou en albums illustrés d’un produit audiovisuel qui bénéficient de la notoriété des héros. Hachette Jeunesse Collections Disney s’est spécialisé dans les novélisations et les albumisations des produits Disney. Il a publié six cents ouvrages illustrés

crise de 29, montée des périls, 2eme GM) bien balisés ds le pg d’histoire. Sera tjs temps à la fin de l’année de mettre en perspective ce que vs avez appris en hist avec vos savoirs litt. 1er tiers du XXe, pvez noter : 1) 1900-1929 : entre divertissement et avant-gardes Pas m’étendre car Montherlant loin de ce th là, ms important de savoir qu à l’époque, th qui a le plus de succès, et de loin. Th qu’on appelle « de boulevard ». => cnaissez les grands noms ? Guitry (cf en ce moment «Désiré »

l’inculture sur les chaînes de télévision publiques et privés. Il explique que le travail éducatif est saccagé par la bêtise médiatique, que les émissions littéraires disparaissent, que les images, les mots répandues par les émissions dites de “divertissement” plient l'esprit à certaines formes de raprésentation et habituent à croire qu'il est normal del parler, penser, agir de cette manière. L'industrie médiatique va au plus bas en croyant donner au public ce qu'il demande. Aprés l'auteur dénonce