Roman Divertissement

Misérables « des romans de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles ». Le roman doit-il être vraiment utile et avoir pour vocation de changer la société ? Nous essaierons d'apporter des réponses à ces questions à l'aide des deux deux grandes parties : Certes le roman peut être utile et faire réagir le lecteur, Mais il peut aussi ne pas avoir de but et permettre le divertissement de celui-ci. Cette première partie est composée de deux sous parties qui admettent que le roman a une utilité

passant à plusieurs reprises dans la journée, qui permet de connaître l’actualité mondial au moment même où elle se déroule, comme les élections politiques, les catastrophes naturelles, les nouveautés, etc... La télévision apporte également un divertissement et une sorte d’évasion, dont il serait dur de se priver. En effet, la simplicité de se poser devant son écran afin de penser à autre chose en se distrayant d’image et de son ou même par plaisir de se laisser emporté par des histoires fictives

verrons, d’une part, que la lecture n’est qu’un divertissement, un moyen de passer un agréable moment et nous verrons, d’autre part, que la lecture est un moyen de se cultiver, d’apprendre, de s’informer, d’enrichir son vocabulaire, de perfectionner sa conjugaison et sa grammaire , de garder la connaissance de ce qui a existé avant nous et enfin de toujours en apprendre davantage sur nous même et le sens de l’existence. La lecture permet le temps d’un roman de se laisser emporter avec bonheur dans un

de savoir, de passe temps. Les lecteurs prennent plaisir à s'évader dans des histoires fictives ou à découvrir des cultures, jusque là inconnues, par delà le papier. En 1662, le philosophe français Blaise Pascal élabore une approche renommée du divertissement ; cette approche sera publiée en 1670 dans les Pensées. Il y développe l'idée contradictoire selon laquelle il est nécessaire à l'homme de se distraire et donc essentiel pour lui de se détourner de l'essentiel. (En se détournant de l'essentiel

présentent les croyances d’une communauté P.ex. la fondation de Rome – Romus et Remulus LES CHANSONS DE GESTE Elles glorifient les chevaliers et les rois, les personnages historiques Les événements historiques, véridiques C’était un divertissement Le but – la fonction politique Les personnages – les humains, pas de divinités La forme – la poésie LES LÉGENDES La forme – la prose Les personnages – les humains, les personnages magiques, les êtres surnaturels, les divinités Le

différents genres comme le roman, le principal de nos lectures quotidiennes mais il y a aussi des citations, les magazines, des journaux intimes et pleins d’autres choses.. Dès notre réveil, nous lissons mais est-ce un simple divertissement ? Nous verrons tout d’abord que la littérature nous permet de se divertir comme le dessin, le cinéma mais est- cette la seule raison ? Ensuite, nous constaterions que la principale fonction de la littérature n’est pas seulement un divertissement mais aussi un moyen de

fiction CDT place ses histoires merveilleuses dans une bulle de temps (les douze ans de paix du royaume Arthurien) décor aux aventures merveilleuses qui n’ont rien à voir avec des événements historiques. Les romans de CDT se revendiquent comme une écriture de fiction et s’opposent de ce fait aux romans d’avant (les écritures historiques de Wace par exemple) Traitement de la merveille Il s’agit de divertir le lecteur, de flatter le goût du public par le récit merveilleux: le combat contre le géant par

La princesse de Clèves, Madame de la Fayette Introduction: Madame de la Fayette écrit La princesse de Clèves en pleine période du classicisme et publie le roman en 1678. Cette oeuvre est considérée le premier roman moderne de la littérature française par ses analyses psychologiques. Le roman s'ouvre sur le tableau de la Cour de France sous le règne d'Henry II et narre le destin de la princesse de Clèves qui rennonce à son amour pour un autre homme. L'extrait qu'on va commenter est la scène de première

spectateur lors d'une représentation théâtrale. En voyant l'acteur jouer un fait qui pourrait ou qui lui est arrivé, le spectateur extériorise donc ses angoisses, ses émotions... Pour finir, le théâtre peut être un remède pour certaines personnes. Ce divertissement peut avoir des effets thérapeutiques que ce soit sur l'acteur ou bien le spectateur. Une personne qui souffre de timidité peut se dévoiler en jouant un rôle au théâtre devant un public. De même pour le spectateur, aller assister à une pièce de

réalisé. Il introduit ainsi un nouveau mode d’expression. Aujourd’hui au même titre que le sport ou la lecture, le cinéma est un divertissement qui a pris une place importante dans notre quotidien. Georges Duhamel qualifie en 1930 le cinéma de « passe-temps d’illettrés qui ne demande aucun effort ». Pour Duhamel le cinéma n’est pas un art. Le cinéma n’est-il qu’un divertissement ou un art à part entière ? Il semble difficile d’enlever au cinéma sa fonction divertissante, cependant il ne s’agit pas seulement