Romanisation

nomina (p. 62) : les « trois noms » légaux du citoyen romain, composés du prénom, du nom de famille et du surnom. Lorsqu’un individu devient citoyen, il reprend en général les noms de celui qui lui a donné la citoyenneté. II. Comment la romanisation permet-elle une extension à toute une province de la citoyenneté ? Le cas de la Gaule sous l’empereur Claude (De Claude à Caracalla: de 48 à 212)

de cette citoyenneté. Privilèges : la toge, tria nomina, judiciaire, participer à la vie politique. Devoirs : service militaire, impôts indirects, participer au culte impérial. D’abord citoyen à Rome puis dans toute l’Italie. Edit de Carcalla. Romanisation (dans lieus publics : Amphithéâtres…) Mélange de cultures, syncrétisme.

romain mur d’Adrien toutes les provinces dépendent de Rome dans les grandes villes grecs il y a des magistraux d'autres gardent leurs droits et institutions. Un point commun le culte politique L'appartenance a Rome est de plus en plus grande la romanisation s'impose et au 3eme siècles il y a de plus en plus d'incursions barbares ces dernières mettent fin à l'empire romain en 476 !

élites locales). Rome cherche ainsi à accorder cette citoyenneté et les privilèges qui s’y rattachent, le statut prestigieux qui l’accompagne, pr inciter (et récompenser) les pérégrins à servir loyalement Rome, à s’intégrer à Rome (par la romanisation) : cela a valeur d’exemple, pour s’assurer la fidélité des élites locales, favoriser le contrôle des Provinces et la pax romana. Le droit de cité apporte prestige et privilèges : * Attributs du citoyen romain = port de la toge virile (masculine)

attestent un peuplement très ancien de l'actuel territoire loirétain, où des hommes ont vécu dès le Paléolithique. Les peuples celtes des Carnutes et des Éduens s'installent dans la région au cours de la Tène, développant artisanat et commerce. La romanisation consécutive à la guerre des Gaules est rapide et permet notamment le développement d'un réseau de voies de communication autour de Cenabum, d'agglomérations secondaires et notamment de villes d'eaux comme Sceaux-du-Gâtinais et de fermes et villae

cohésion de l’empire repasse sur d’autres éléments que la force. Les élites locales s’adaptent à la culture romaine sans que cela gomme les spécificités locales. On assiste à l’émergence de cultures provinciales: les gallo-romaines. On a une idée de Romanisation. La diffusion de la citoyenneté romaine se fait jusqu’en 212. On adopte le latin, ou encore la religion romaine ou même l’architecture romaine. A l’origine, Rome est une petite cité du Latium, qui est la région qui entoure Rome. La puissance de

(Sicile, Sardaigne, Corse), péninsule Ibérique, Gaule (Cisalpine exclue), Germanie, Alpes (provinces alpestres et Rhétie), Bretagne, ne sauraient être considérées comme identiques. Le libellé Rome et l’Occident nous invite à une réflexion sur la romanisation ; Qu’est-ce que Rome a diffusé dans les provinces et à l’inverse ce que les provinces ont amené à Rome ? ROME ET LA SICILE, LA CORSE ET LA SARDAIGNE (197 av.J.C – 192 ap.J.C.) Catherine BUSTANY-LECA I. Cohérence géographique avec le programme

les hommes libres de l'Empire. Alors qu'à cette date les citoyens romains étaient minoritaires ( 6 million/70 millions d'habitants). Cet édit marque la fin de la suprématie du citoyen romain sur les autres citoyen de l'Empire. Cet édit achève la romanisation de l'Empire. La raison avancée dans le texte officiel est religieuses (doct 1) Une mesure critiquée: docts 4 et 5 p 71 : relever les critiques la citoyenneté romaine n'est plus un statut privilèges C'est pour des raison financière que l 'empereur

Par conséquent, l’édit de Caracalla change la donne : à partir de 212, tous les hommes libres de l’Empire – indépendamment de leurs actions – obtiennent la citoyenneté. Elle cesse donc d’être un privilège entre les mains d’un petit groupe. C. La romanisation, outil de diffusion de la citoyenneté Etude de cas : « Voyage dans la Toulouse romaine » Adresse du site web : http://florian.nicolas1.perso.neuf.fr/site_tolosa/tolosa_index.htm Les élèves sont par groupe de deux en salle informatique pour répondre

d’Yvonne de Galais que précède la morte de cette femme. Récité par le narrateur, l’extrait montre que le protagoniste, même ayant déjà commence la vie adulte, garde ses impressions naïves d’adolescence (le rêve). I. La fin de l’aventure a. De-romanisation de la mort Le premier passage introduit une atmosphère de désolation de la maison où Yvonne est mort. Le deuxième passage crée un contraste immédiat : la nature (« beau matin de rentrée, ce perfide soleil ») est opposée au chagrin humain (« silence