Ronan Chastellier

recherche sur la socialisation de l’enfant consommateur, la Synthèse de l’article de Roedder-John, Naoul Mghazli. - « L’enfant consommateur-acteur » : - « L’enfant et la publicité : les chemins de la séduction ». De JEAN NOEL - « Marketing jeune » : RONAN Chastellier - « Les enfants, la consommation et le marketing » : BREE, JOEL - «Les enfants et la promotion des ventes : enjeux et perspectives » de ISABELLE MURATORE. KAPFERER, Année universitaire : 62 Implication, & marketing infantile Webographie

socialisation de l’enfant consommateur, la Synthèse de l’article de Roedder-John, Naoul Mghazli. - « L’enfant consommateur-acteur » : - « L’enfant et la publicité : les chemins de la séduction ». De KAPFERER, JEAN NOEL - « Marketing jeune » : RONAN Chastellier - « Les enfants, la consommation et le marketing » : BREE, JOEL - «Les enfants et la promotion des ventes : enjeux et perspectives » de ISABELLE MURATORE. Année universitaire : 62 Implication, & marketing infantile Webographie

volume II Laure DESCOMBES, Le marketing des 18-30 ans – La cible des « pré-adultes », Paris, EMS Edition, 2002 Martin LINDSTROM & Patricia SEYBOLD, L’enfant du 21e siècle, cible du marketing global Naomi KLEIN, No logo, Editions J’ai Lu, 2007 Ronan CHASTELLIER, Marketing jeune, Village Mondial, 2003 Nicolas MONTIGNEUX, Les marques parlent aux enfants grâce aux personnages imaginaires Alissa QUART, Nos enfants otages des grandes marques, Village Mondial, 2004 Hiroki AZUMA, Génération Otaku : les enfants

se transformer en mythe, et donc à incarner un imaginaire en le rendant palpable, concret. Comme une déesse, la star offre de l’intensité existentielle. « Les gens qui veulent exister plus sont attentifs à ceux qui ont plus d’existence », écrit Ronan Chastellier1. Elle appartient à un monde qui ne pourra devenir le nôtre, qui nous est symboliquement interdit. Acheter le produit, c’est pouvoir accéder à ce monde-là l’espace d’un instant. Mais au-delà de l’analyse et de la stratégie marketing

en avant. 1. Ronan Chastellier, Tendançologie. La fabrication du glamour, Eyrolles, 2008. n° 365 51 actrice comme Sarah Bernhardt, c’est un mythe, comme Phryné. » Il soulignait la principale force des stars, leur capacité à se transformer en mythe, et donc à incarner un imaginaire en le rendant palpable, concret. Comme une déesse, la star offre de l’intensité existentielle. « Les gens qui veulent exister plus sont attentifs à ceux qui ont plus d’existence », écrit Ronan Chastellier1.