Ronsard Fontaine Bellerie

1 Les marques et les procédés du discours laudatif dans "A la fontaine Bellerie" sont les mots ou figures de style employé par l'auteur. En effet il la qualifie de "fontaire chérie" et de nymphe". Il est question ici d'une personne. Il y a répétition des sons "se", "ui" et "de" dans la derniere strophe. Il s'agit d'une assonance. Dans " je veux mourrir pour tes beautés, maitresse" Ronsard utilise différent procédé. Tout d'abord le titre. En effet la beauté de cette dame était

D’Horace à Ronsard : la Fontaine de Bandusie et la Fontaine Bellerie par Nicole Genaille La charmante ode qu’Horace adresse à la source (fons, tis, m.) de Bandusie a, c’est bien connu, inspiré à Ronsard une ode non moins gracieuse à la « fontaine » (= source) de son domaine de la Possonnière, dans son cher Vendômois. La comparaison s’impose, et peut-être n’est-il pas inutile d’en suggérer ici des éléments qui pourraient inviter les jeunes latinistes à découvrir à la fois un joyau de la poésie

de travaux encadrés. Fiche de lecture. Fiche de langue. Fiche d’activité orale. Fiche de production écrite. Les fiches pédagogiques de l’ode : A la fontaine Bellerie. Fiche de lecture. Les fiches pédagogiques de la chanson : Non, je ne regrette rien. La fiche la lecture. La fiche de l’évaluation sommative. Les paroles de la chanson. Le poème de Ronsard. Résumé d’ «aux champs ». Le référentiel des valeurs Les séquences de l’œuvre : Aux champs activité Compétence Evaluation diagnostique Evaluer

[pic] [pic]hants d’Amour et de Révolte [pic]evoir sur la poésie lyrique [pic] Ô Fontaine Bellerie Ô Fontaine Bellerie, Belle fontaine chérie De nos Nymphes, quand ton eau Les cache au creux de ta source, Fuyantes le Satyreau, Qui les pourchasse à la course Jusqu'au bord de ton ruisseau, Tu es la Nymphe éternelle De ma terre paternelle : Pource en ce pré verdelet Vois ton Poète qui t'orne D'un petit chevreau de lait, A qui l'une et l'autre corne Sortent du front nouvelet

La pléiade est un groupe de poètes qui, dans la moité du XVIe siècle, ont renouvelé sous  l’autorité de Ronsard la poésie française, en s’inspirant des chefs d’oeuvre de la littérature  antique. À l’origine, il y a deux groupes : celui du Collège de Coqueret, et celui du Collège de  Boncourt ; dans les deux établissements, des jeunes gens ambitieux apprennent le grec et  s’imprègnent des théories humanistes. Le groupe Coqueret, rassemblé autour de ​ Ronsard​  et  Du Bellay​ , se donne d’abord le nom de « Brigade », se reconnaissant par là comme la nouvelle 

grands sculpteurs , de grands peintres , mais de grands Poètes ( Charles d’Orléans , Villon …etc ) Il suffisait de les encouragés pour que une grande poésie se développe en France . Les principaux poètes du 16eme siecle furent Marot , Du Bellay , Ronsard ( le poète des Princes et le Prince des Poètes ) Au milieu du siècle , en Pensant aux guerres de religions certains réfléchissent sur la société de leur époque et éprouvent le besoin , visant a réformer un peu la société .Ils le font de Manière amusante

mettent au-dessus de leurs plus grands poètes ; dans l’Europe entière, il est lu et admiré. Lorsqu’il traverse Paris, la jeunesse l’acclame et les étudiants touchent sa robe pour devenir poètes. Ses seuls adversaires seront les protestants. En 1562, Ronsard, expert à l’escrime et à l’équitation, devait réunir une bande de garçons pour massacrer des Réformés qui venaient de saccager des œuvres d’art. Voici de ses vers qui n’ont rien perdu de leur actualité : Des Turcs, des Mammelus, des Perses, des

Pierre de Ronsard — Les Odes À Cupidon Le jour pousse la nuit, Et la nuit sombre Pousse le jour qui luit D'une obscure ombre. L'Autonne suit l'Esté, Et l'aspre rage Des vents n'a point esté Apres l'orage. Mais la fièvre d'amours Qui me tourmente, Demeure en moy tousjours, Et ne s'alente. Ce n'estoit pas moy, Dieu, Qu'il falloit poindre, Ta fleche en autre lieu Se devoit joindre. Poursuy les paresseux Et les amuse, Mais non pas moy, ne ceux Qu'aime la Muse. Helas

petit Liré6, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Joachim Du BELLAY (1522-1560) Regrets XXXI 5 10 5 10 Poète, secrétaire du cardinal d’Avanson, ambassadeur de France Poète, secrétaire d’un autre cardinal 3 Ronsard 4 Légende antique à propos du chant du cygne, plus mélodieux au moment de sa mort. 5 Expérience. 6 Village natal de Du Bellay. 1 2 D.R. 2011 - XVIe Page 8 Je me ferai savant en la philosophie 1 Je me ferai savant en la philosophie, En la

littérature et la peinture. ⋄ Découverte de la complexité du 17ème à travers des recherches sur les jardins de Versailles : mise en évidence de la concomitance et de l’opposition / complémentarité du baroque et du classicisme à travers l’étude de fontaines et statues du parc mais aussi à travers l’analyse de tableaux. ⋄ Découvrir le symbolisme et faire un parallèle entre Verlaine et la conception picturale impressionniste (saisir l'instant) ( Réflexion sur le thème de l'eau : de la représentation