Rose Des Vents

regardons avec effroi les poulpes des profondeurs Et parmi les algues nagent les poissons images du Sauveur Tu es dans le jardin d'une auberge aux environs de Prague Tu te sens tout heureux une rose est sur la table Et tu observes au lieu d'écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le coeur de la rose ZONE 4 Alcools Épouvanté tu te vois dessiné dans les agates de Saint-Vit Tu étais triste à mourir le jour où tu t'y vis Tu ressembles au Lazare affolé par le jour Les aiguilles de l'horloge

regardons avec effroi les poulpes des profondeurs Et parmi les algues nagent les poissons images du Sauveur Tu es dans le jardin d'une auberge aux environs de Prague Tu te sens tout heureux une rose est sur la table Et tu observes au lieu d'écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le cœur de la rose Épouvanté tu te vois dessiné dans les agates de Saint-Vit Tu étais triste à mourir le jour où tu t'y vis Tu ressembles au Lazare affolé par le jour Les aiguilles de l'horloge du quartier

regardons avec effroi les poulpes des profondeurs Et parmi les algues nagent les poissons images du Sauveur Tu es dans le jardin d’une auberge aux environs de Prague Tu te sens tout heureux une rose est sur la table Et tu observes au lieu d’écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le cœur de la rose Épouvanté tu te vois dessiné dans les agates de Saint-Vit Tu étais triste à mourir le jour où tu t’y vis Tu ressembles au Lazare affolé par le jour Les aiguilles de l’horloge du quartier juif

culte honore, Tu peux, tu peux mourir ! Dans la postérité Il lègue à ce qu’il aime une éternelle vie, Et l’amante et l’amant sur l’aile du génie Montent, d’un vol égal, à l’immortalité ! Ah! Si mon frêle esquif, battu par la tempête, Grâce à des vents plus doux, pouvait surgir au port ? Si des soleils plus beaux se levaient sur ma tête ? Si les pleurs d’une amante, attendrissant le sort, Écartaient de mon front les ombres de la mort ? Peut-être?…, oui, pardonne, ô maître de la lyre ! Peut-être

on peut joindre et le lait Ma Au le marbre Elle Me a l'air dans la lyre, II, 119 (VI, xiv). neige pétri. la me dit : Un siècles, III, 53 (XXVI). Quelque chose tourmente. Et j'aperçus Son cou de neige, et, dessus, petit insecte rose. Les Contemplations, laissant mettre a nu et resté seul en 69 (I, xv). emboîter dans brodequin aux vis de fer son petit pied, sa ronde, son genou souple et blanc. I, mains sauvages des revoyait déshabillée par les genou d'ivoire et

l’unique personnage de la première édition dont le titre initial Sido ou Les Points cardinaux indique à quel point la figure maternelle est centrale dans l’œuvre de Colette, comme le centre d’une boussole ou d’une rose des vents. Anecdotes (résumé du contenu de chaque section)Éléments de portrait (caractéristiques principales et citations)Et autoportrait en creux de Colette(caractéristiques principales et citations)Célébrations de la nature(passages et citations)I

mérites devant les juges assemblés. Elle parle ici d'«un amateur de ses beautés ». Libre de soins, exempt d'ennuis, Il ne manquait d'aucunes choses: Il détachait les premiers fruits, Il cueillait les premières roses; 5 Et quand le ciel armé de vents Arrêtait le cours des torrents Et leur donnait un frein de glace, Ses jardins remplis d'arbres verts Conservaient encore leur grâce, 10 Malgré la rigueur des hivers. Je promets un bonheur pareil A qui voudra suivre mes charmes; Leur douceur

regardons avec effroi les poulpes des profondeurs Et parmi les algues nagent les poissons images du Sauveur Tu es dans le jardin d'une auberge aux environs de Prague Tu te sens tout heureux une rose est sur la table Et tu observes au lieu d'écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le cœur de la rose Épouvanté tu te vois dessiné dans les agates de Saint-Vit Tu étais triste à mourir le jour où tu t'y vis Tu ressembles au Lazare affolé par le jour Les aiguilles de l'horloge du quartier

regardons avec effroi les poulpes des profondeurs Et parmi les algues nagent les poissons images du Sauveur Tu es dans le jardin d'une auberge aux environs de Prague Tu te sens tout heureux une rose est sur la table –9– Et tu observes au lieu d'écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le cœur de la rose Épouvanté tu te vois dessiné dans les agates de Saint-Vit Tu étais triste à mourir le jour où tu t'y vis Tu ressembles au Lazare affolé par le jour Les aiguilles de l'horloge du quartier

--------- Charles BAUDELAIRE   (1821-1867) Les fleurs du mal La rançon L'homme a, pour payer sa rançon, Deux champs au tuf profond et riche, Qu'il faut qu'il remue et défriche Avec le fer de la raison ; Pour obtenir la moindre rose, Pour extorquer quelques épis, Des pleurs salés de son front gris Sans cesse il faut qu'il les arrose. L'un est l'Art, et l'autre l'Amour. - Pour rendre le juge propice, Lorsque de la stricte justice Paraîtra le terrible jour, Il faudra