Rouble biélorusse

ainsi que tous les autres villages dans un rayons de 30 kilomètres autour de la centrale. En tout c’est 130 000 personnes qui sont déplacées dont beaucoup déjà contaminées et une zone de 300 000 Hectares à cheval entre les territoires ukrainiens et biélorusses se retrouvent transformée en « No mans land ». Après avoir promu un bataillon entier de pompiers héros de la nation pour être aller sous le réacteur en fusion pour éviter la seconde explosion, il fallait trouver une solution pour éviter que le

avec les pays voisins captant la plus part du transit de la Russie : la Biélorussie et l’Ukraine. La Russie a donc une réelle dépendance vis à vis de ces pays de transit. Gazprom souhaitait prendre le contrôle de Beltransgaz, l’entreprise publique biélorusse qui contrôle le réseau gazier national. Plusieurs « guerres de gaz » ou « guerres d’oléoducs ont éclatées entre ses trois pays coupant l’approvisionnement pour l’Europe occidentale et aggravant la méfiance vis à vis de la Russie. Tous ces conflits

d'inscription de la Collection de périodiques russes, ukrainiens et biélorusses parus entre 1918-1945 conservée à la Bibliothèque slave REF, N° 2006-52 au registre de la mémoire du monde. Cette collection est l’héritage laissé par les membres de l’émigration russe, qui, après avoir quitté la Russie bolchevique, se sont  installés un peu partout dans le monde. La période 1918-1945 est l’âge d’or de l’émigration russe, ukrainienne et biélorusse de la première vague, et correspond à la partie la plus importante

pour prouver leur conformité aux normes nationales de sécurité. En effet, le dédouanement des produits ne pourra s’effectuer sans la preuve de leur conformité aux normes russes. Il faudra cependant faire attention à l’harmonisation avec les normes biélorusses et du Kazakhstan, due à la création de l’Union douanière entre ces pays, créant un environnement complexe et en pleine mutation. Aussi, le contrôle sanitaire constitue une condition préalable

l'opinion publique elle-même, à l'exception de certains cercles intellectuels de Minsk, n'est pas attachée à l'indépendance du pays. Comment expliquer cette indépendance avortée ? Certes l'absence de conscience nationale et de langue spécifique (le biélorusse n'est que rarement pratiqué par la population), le fait que la Biélorussie ne fut jamais indépendante avant 1989 la distinguent de l'Ukraine et des pays Baltes. Mais le cas de la Moldavie prouve bien qu'un Etat peut exister préalablement à une nation

l’un des signes concrets des liens importants qui les unisse. Au premier trimestre de 2006, 77 millions de roubles (soit 3 millions de dollars, 0,3% du budget spatial russe) auraient été consacré au financement du programme « Conception et exploitation de moyens et technologies spatiaux modernes au profit du développement économique, scientifique et technique de l’État d’union » russo-biélorusse, soit le programme « Kosmos-SG ». Ils ont également collaboré dans un programme de satellite d’observation

de firmes énergétiques russes, à condition de rester minoritaires. Pour accroître l'ouverture extérieure de l'économie russe, l'Etat a aboli les contrôles sur les mouvements de capitaux à court terme avec l'étranger et établi la convertibilité du rouble, y compris pour les opérations en compte de capital de la balance des paiements, en juillet 2006. Même si certaines restrictions à l'investissement direct étranger (IDE) entrant subsistent, le climat d'investissement s'est amélioré depuis 2005

Libération totale des prix pour une restructuration sur la base de prix vrais en conformité avec le marché mondial § Déréglementation des salaires ð Ouverture sur l’extérieur : § Libéralisation du commerce et des changes et convertibilité du rouble § Demande d’adhésion à l’OMC en 1993, mais cette organisation juge que toutes les conditions ne sont pas encore remplies (corruption notamment) ð Contrôle de la masse monétaire pour limiter l’inflation : lutte contre le déficit budgétaire

2000 de reprendre le contrôle, au besoin par la force et la menace, des gisements et des gazoducs dont il estime avoir été spolié dans les années 1990 : crise ukrainienne en 2006, affaire Shell la même année, reprise en main du réseau de gazoducs biélorusses et des gisements des ex-républiques du Caucase. Autant de facettes d'une même politique teintée de forts relents nationalistes. Indubitablement, la puissance de Gazprom inquiète. Premier producteur mondial de gaz, l'entreprise fournit

Rostov-sur-le-Don Impact de la crise en Russie Forte détérioration des indicateurs de conjoncture au 1er semestre •Mi-septembre = grandes faillites américaines baisse spectaculaire des indices boursiers russes (-75% sur 2008) • Dévaluation graduelle du rouble : (-28%) entre novembre 2008 et janvier 2009 •Recul brutal du PIB au 1er semestre 2009 : -10,4% • interruption brutale du cycle d’investissement (-18,2%) • chute construction (-19,3%) ; baisse des prix immobiliers • chute production industrielle