Rouble biélorusse

Selon le recensement de 2010[réf. nécessaire], les ethnies présentes à Moscou sont : Russes : 10 530 410 (94,6 %) Ukrainiens : 154 104 (1,4 %) Tatars : 149 043 (1,4 %) Arméniens : 106 466 (1 %) Azéris : 57 123 (0,5 %) Juifs : 53 145 (0,5 %) Biélorusses : 39 225 (0,4 %) Géorgiens : 38 934 (0,4 %) Ouzbeks : 35 595 (0,3 %) Tadjiks : 27 280 (0,2 %) Moldaves : 21 699 (0,2 %) Mordves : 17 095 (0,2 %) Tchétchènes : 14 524 (0,1 %) Tchouvaches : 14 313 (0,1 %) Ossètes : 11 311 (0,1 %) Coréens

d’habitants. Cette population est diverse. Elle associe 134 nationalités dont un peu moins de 120 millions de Russes, 5,5 millions de Tatars, 4 millions d’Ukrainiens, 1,7 millions de Tchouvaches, 1,3 millions de Bachkires, un peu plus d’un million de Biélorusses et de Mordoves, ensuite viennent par ordre d’importance démographique les Tchétchènes, les Oudmourtes, les Kazakhs et les Allemands (plusieurs dizaines de milliers de ces derniers ont regagné l’Allemagne depuis 1990). Données géographiques  Superficie :

 connu  l’inflation  vers  1935.  Et  les  plus  touché  par  ce   désastre   sont   les   ouvriers,   dont   le   niveau   de   vie   baisse   énormément.   La   valeur   du   Rouble   diminue   et   les   salaires   ne   suivent   pas.   Ce   qui   fait   que   les   ouvriers   se   retrouvent   dans   des  conditions  de  niveau  correspondant  à  la  période

sociaux (suicide, pauvreté), pol (corruption), mili: avoue les massacres de la 2gm, le pacte germano-sov, l'impérialisme. Se réclame du vrai communisme de Lénine. Prestroika: reconstruction éco: échec: pas de propriété de la terre, ni convertibilité du rouble. Seul le diplo/mili marche: concessions énormes, repli: Mili: désengagement progressif en afgha (88-89) Diplo: fin du soutien au 1/3 monde révolutionnaire (retrait des cubains d'afrique, arret de l'aide aux sandinistes du nicaragua). quitte le

propos de la décision de « préempter » tout le gaz turkmène, quasiment à perte − de l'aveu même du Premier ministre russe − à 340 dollars pour 1 000 m3, et a qualifié l’achat, pour cinq milliards de dollars, de 50% de l’infrastructure de production biélorusse, d’« investissement le plus stupide de Gazprom ». En effet, malgré cette acquisition qui donnait un certain ascendant à la Russie, il n’a pas été possible d’influencer le Président du Bélarus, lequel a demandé à la Gazprom une taxe de 148 dollars

| |BTN |Bhutan | |BWP |Pula de Botswana | |BYR |Rouble Bielorusse | |BZD |Dollar de Belize | |CAD |Dollar Canadien

Données économiques : 1240 milliards de dollars (PIB en 2009) Croissance : 4% en 2010 Chômage ; 8,4% en 2009 IDH : 0,802 Taux alphabétisation : 99,6% Dépense éducation : 2% du budget et 3% (santé) habitant Taux d’inflation : 8,8% Monnaie : rouble russe Dette extérieur : 38,1% du PIB Données du commerce extérieur : 201 milliards de dollars en 2008 Importation : 267 milliards de dollars Exportation ; 468 milliards de dollars Clients : Usa, chine, Turquie, UE Fournisseur : Usa, Corée du

second mandant du président est marqué par une crise financière qui est en fait la continuité de la crise asiatique de 1997. En dépit du soutien du FMI, le gouvernement russe annonce simultanément un défaut de paiement de sa dette et la dévaluation du rouble. Ainsi, des banques commerciales licencient ou ferment, les entreprises réduisent leurs coûts fixes et de grandes compagnies pétrolières sont amenées à fusionner. Ce mandat se distingue aussi par un changement fréquent de premier ministre : Viktor

ministre des transports, puis ministre des finances vers 1890 est un des acteurs principaux de cette évolution. C'est lui qui lance le chantier du transsibérien. Il encourage les investissements étrangers. En 1880, ceux-ci atteignent 100 millions de roubles, en 1890, 200 millions, et en 1900, 900 millions. Ce sont essentiellement des investissements français mais aussi ANGLAIS, ALLEMANDS, BELGES. Une coopération avec l'Occident s'engage. La RUSSIE devient la 5e puissance industrielle. La production de

Pacifique] des documents dont l’authenticité a été par la suite confirmée par des sources fiables au sein de la Cour des comptes et de la société elle-même. D’après ses calculs, les malversations à grande échelle au sein de Transneft ont coûté 1 100 roubles à chaque citoyen russe.” Au total, la facture s’élèverait à plus de 3 milliards d’euros. Cependant, le président de la Cour des Comptes, Sergueï Stepachine, a démenti ces révélations. Par ailleurs, le géant pétrolier Rosneft est engagé dans un bras