Rudolf Noureev

différents honneurs destinés à Nijinski * Une distinction délivrée à des personnalités de la danse porte le nom du célèbre danseur et chorégraphe : le Prix Nijinski * Un film a été tourné sur sa vie : Nijinski de Herbert Ross en 1980. * Rudolf Noureev l'a incarné dans une transposition très romancée, le film Exposed de James Toback en 1983. * Nijinski 1912, un projet de Christian Comte, rassemble quelques rares extraits de Nijinski dansant L'Après-midi d'un faune. * Le sculpteur Auguste

Valois à la direction du Royal Ballet. On lui doit La Fille mal gardée , en 1960; des œuvres insolites, telle The Wedding Bouquet , sur un livret de Gertrude Stein; de nombreux classiques comme Marguerite and Armand pour Margot Fonteyn et Rudolf Noureev. d°) Serge Lifar Quant à Serge Lifar , il règne presque sans interruption sur l’Opéra de Paris de 1931 à 1958. Formé par Diaghilev et Enrico Cecchetti, il se proclame choréauteur (Manifeste du chorégraphe , 1935). Le ballet n’est à ses yeux l’illustration

lesballerines « Cendrillon » qu’elle dédie à Brigitte Bardot. Celles-ci sont immortalisées dans le film Et Dieu… créa la femme. En 1959, Rose Repetto ouvre sa première boutique rue de la Paix, à Paris. De nombreux danseurs viennent s’y fournir : Maurice Béjart,Rudolf Noureev, Mikhaïl Barychnikov, Carolyn Carlson, le Kirov, les Folies Bergère, etc. La production est implantée à Saint-Médard-d'Excideuil en Dordogne en 1967. Les pointes et ballerines y sont encore aujourd’hui fabriquées4. Dans les années 1970, Serge

Estime, amour, adoration. b. Mépris, haine, aversion. c. Bonheur, euphorie, extase. d. Préoccupation, tracas, obsession. Du texte à l’image p. 100-101 ➥ Mise en scène de Benoît Lavigne au Théâtre 13 de Paris, 2005. Chorégraphie et mise en scène de Rudolf Noureev à l’Opéra de Paris, 2005. (Images reproduites en début d’ouvrage, au verso de la couverture.) Lire l’image 1 Observez la posture des deux amants dans la photographie de la pièce de théâtre et dans celle du ballet. Quels points communs et quelles

développement de la danse dans le monde. Le ballet soviétique a préservé à la perfection les traditions du xixe siècle et les écoles de chorégraphie de l’Union soviétique ont fait naître de grandes étoiles, admirées partout comme Maïa Plissetskaïa, Rudolf Noureev et Mikhaïl Barychnikov. Le ballet du Bolchoï à Moscou et le celui du Mariinsky à Saint-Pétersbourg sont universellement prisés. Alors que le cinéma a souvent été considéré comme une forme de divertissement bon marché à destination des classes

développement de cette société ainsi qu’à la diversification de ses activités. Ainsi le théâtre de Dig a été utilisé afin de monter des pièces, des spectacles, accueillir des orchestres et de célèbres artistes tels que Andrea Bocelli, Roberto Benigni, Rudolf Noureev, Rostropovitch ou Frank Sinatra. Dans les années quatre-vingt Pompéi remportera un vif succès en organisant le festival du Jazz et à la fin des années quatre-vingt la Société se verra confier la gestion du Musée du Vésuve, ultime reconnaissance

l’alouette, pour exprimer la nuit et le jour ; – recours à une métonymie doublée d’une hyperbate dans l’expression « le tympan craintif de ton A. L’image présente un plan de la reprise à l’Opéra de Paris en 2011 de la création imaginée en 1977 par Rudolf Noureev pour l’opéra de Prokofiev (1938) tiré de la pièce de Shakespeare. Elle s’attache à restituer l’atmosphère de l’époque élisabéthaine tant du point de vue des costumes (luxe des tissus, broderies, bijoux) que du décor particulièrement riche. Comme

l’image 3. 3. L’image 2 présente un ballet  : il s’agit de Casse-Noisette (1892), d’après Hoffmann, ballet de Marius Petipa, musique de Piotr Tchaïkovski, chorégraphie de Rudolf Noureev (Opéra de Paris, en 2007). On pourra visionner l’extrait de CasseNoisette correspondant à l’image  2 sur www. youtube.com (taper « casse-noisette + noureev + paris » dans le moteur de recherche). L’image 3 présente un opéra : il s’agit des Contes d’Hoffmann (1881), opéra-comique en quatre actes, paroles de Michel Carré