Rue de la Harpe

1625, le bourg de Meung, où naquit l’auteur du Roman de la Rose, semblait être dans une révolution aussi entière que si les huguenots en fussent venus faire une seconde Rochelle. Plusieurs bourgeois, voyant s’enfuir les femmes du côté de la Grande-Rue, entendant les enfants crier sur le seuil des portes, se hâtaient d’endosser la cuirasse et, appuyant leur contenance quelque peu incertaine d’un mousquet ou d’une pertuisane, se dirigeaient vers l’hôtellerie du Franc Meunier, devant laquelle s’empressait

Où il est expliqué comment Javert a fait buisson creux ........................................................................................ 274 Livre sixième Le Petit-Picpus ..............................................285 Chapitre I Petite rue Picpus, numéro 62 ................................ 286 Chapitre II L’obédience de Martin Verga ............................... 292 Chapitre III Sévérités ............................................................. 301 Chapitre IV Gaîtés .........

1625, le bourg de Meung, où naquit l'auteur du Roman de la Rose, semblait être dans une révolution aussi entière que si les huguenots en fussent venus faire une seconde Rochelle. Plusieurs bourgeois, voyant s'enfuir les femmes du côté de la Grande-Rue, entendant les enfants crier sur le seuil des portes, se hâtaient d'endosser la cuirasse et, appuyant leur contenance quelque peu incertaine d'un mousquet ou d'une pertuisane, se dirigeaient vers l'hôtellerie du Franc Meunier, devant laquelle s'empressait

définis contractés … … … Ajoute l’article défini qui convient : l’ – le – 9. la. Tu peux t’aider d’un dictionnaire. … héron – … hérisson – … habit – … honneur – … hachoir – … hôtel – … hurlement – … hauban* – … hauteur – … haricot – … harpe – … harmonie 10. Recopie les phrases en les complétant par l’article défini contracté qui convient. a) Ma petite sœur arrache les étiquettes … boîtes. b) Demain, nous irons … théâtre. c) Une bourrasque* s’abat sur le toit … garage. d) Notre appartement

Bertrand GERBAUT 26, rue Gardimer 76000 ROUEN Tél. 02 33 27 48 XX Madame Christine JONCOURT B H E

l'influence qu'a pu exercer Diderot sur la Révolution. C'est, outre la préoccupation de l'exactitude, parce que cette influence n'est pas, selon nous, celle qu'on lui attribue trop généralement, par souvenir de l'identification, tentée à un moment par La Harpe, de ses doctrines et de celles de Babeuf. À qui devons-nous connaissance de ce merveilleux ouvrage? nous ne le savons: c'est le libraire Buisson qui l'imprima; mais d'où lui venait la copie, il ne le dit pas. Il y joignit l'extrait de la Correspondance

as voulu venir être commis à Paris. J'aurais repris, à Vernon, mon commerce de mercière. Quand tu as épousé ta cousine Thérèse, il fallait bien se remettre au travail pour les enfants qui pouvaient arriver. CAMILLE. Eh ! Moi, je comptais habiter une rue où il passerait beaucoup de monde. Je me serais mis à la fenêtre, j'aurais regardé les voitures. C'est très amusant... Tandis que, lorsque j'ouvre la croisée, ici, je n'aperçois que la grande muraille d'en face et le vitrage du passage, au-dessous de

orageuse des États de Bretagne. Il s’installe à Paris avec ses sœurs Julie et Lucile et ils assistent à la plupart des événements révolutionnaires, mais le plus important est la prise de la Bastille. En ce moment, il se lie avec Jean-François de La Harpe, Jean-Pierre Louis de Fontanes et autres écrivains de l'époque. Chateaubriand fait ses débuts littéraires en publiant une idylle dans l’Almanach des Muses : L’Amour de la campagne. En 1792, il épouse en hâte Céleste Buisson de la Vigne, amie de Lucile

voir Ses patientes mains calmer un incendie C’était au beau milieu de notre tragédie Et pendant un long jour assise à son miroir Elle peignait ses cheveux d’or et j’aurais dit C’était au beau milieu de notre tragédie Qu’elle jouait un air de harpe sans y croire Pendant tout ce long jour assise à son miroir Elle peignait ses cheveux d’or et j’aurais dit Qu’elle martyrisait à plaisir sa mémoire Pendant tout ce long jour assise à son miroir À ranimer les fleurs sans fin de l’incendie Sans

et son goût moralisateur. Mais le mélodrame ne plaisait pas à tout le monde. Il lui manquait le sens de la mesure et un style digne de la tradition littéraire. Les critiques pensaient que l’histoire pouvait renover le théâtre. Le Cénacle de la rue Chabanais se dirigeait vers Shakespeare et Schiller et discutaient le Cours de littérature dramatique de Schlegel . Mais de ce Cénacle libéral, hostile au mélodrame et au lyrisme est sorti un théâtre injouable. C’est un théâtre livresque, impropre à