Rue des Blancs-Manteaux

Sa deuxième petite fille porte le prénom symbolique de SARAH. LES LIEUX de la narration qui concernent Sarah Paris, rue Saintonge- Paris, le garage rue de Bretagne dans le IIIe arrondissement. Remarque : une plaque rappelle aux passants que des familles juives ont été regroupées dans ce lieu le matin du 16 juillet avant de partir pour le Vel’d’Hiv. Paris le Vel d’Hiv rue Nélaton- - Beaune-la Rolande- Après l’évasion du camp de Beaune-la-Rolande, Sarah et son amie Rachel vivent chez Jules et

Sa deuxième petite fille porte le prénom symbolique de SARAH. LES LIEUX de la narration qui concernent Sarah Paris, rue Saintonge- Paris, le garage rue de Bretagne dans le IIIe arrondissement. Remarque : une plaque rappelle aux passants que des familles juives ont été regroupées dans ce lieu le matin du 16 juillet avant de partir pour le Vel’d’Hiv. Paris le Vel d’Hiv rue Nélaton- - Beaune-la Rolande- Après l’évasion du camp de Beaune-la-Rolande, Sarah et son amie Rachel vivent chez Jules et

passée sur la dure banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise. - Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean ! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres

passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s'arrêta net de surprise. – Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean ! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les

Pont-Neuf et des Italiens. Le costume servaient alors à typer un personnage. Pour le public du parterre qui reconnaissait son acteur favori sous le costume d'un personnage qu'il connaissait bien, ce costume  comique  lui paraissait voisin de ceux de la rue. Le costume est alors un signe immédiatement déchiffrable. Les comédiens ont coutume de dire que le costume « joue » au même titre que tout ce qui existe sur scène. En même temps, les costumes de théâtre ne doivent pas prendre une valeur détachée de

passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s'arrêta net de surprise. Licence : Domaine public 1 I DENISE était venue à pied de la gare Saint-Lazare

passée sur la dure banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise. – Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean ! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les

Saint-Ptersbourg Deux mes enlaces, dansantes silhouettes Lgres au-dessus des jardins des faubourgs Dans la clart bleute dune ville muette Les amants glissaient vers lglise Saint-Andr La place du Palais, la colonne Alexandre. Strelka et Monplaisir sous leurs manteaux cendrs Ont cach leurs baisers voluptueux et tendres Entendaient-ils le cur brlant des Romanov Battre sous les dalles, palpiter sous le marbre Dans lle Basile, le canal Krioukov Entendaient-ils la plainte alourdie des arbres L-bas Tchakovski dort

passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s'arrêta net de surprise. - Oh! dit-elle, regarde un peu, Jean! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres

passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s'arrêta net de surprise. - Oh! dit-elle, regarde un peu, Jean! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres