Rue du Chaume

| |Dès 1388 | |commence à s'éléver, à l'autre côté de la rue Saint-Antoine, L'hôtel royal des Tournelles. Charles VI habite tantôt L'hôtel Saint-Pol,| |tantôt celui des Tournelles. | |

Elles forment deux rangs continus, constitués par des façades qui se font vis-à-vis, bordant une chaussée de vingt pieds de large. Derrière les maisons, sur toute la longueur de la rue, se trouve un vaste jardin, borné de tous côtés par les façades postérieures. Chaque maison a deux portes, celle de devant donnant sur la rue, celle de derrière sur le jardin. Elles s’ouvrent d’une poussée de main, et se referment de même, laissant entrer le premier venu. Il n’est rien là qui constitue un domaine privé

  sans   toit   n’a   pas   d’adresse,   pas   de   «  chez   soi  »,   pas   de   domicile   fixe,   une   demeure   inachevée,   c’est-­à-­dire   sans   toit,   est  à  la  rue,  abandonnée  aux  aléas  climatiques,  aux   dégradations  et  à  la  peur.  »       Tels   sont   les   mots   de   Thierry   Paquot,   philosophe   et   professeur   à

la fidélité ou le secours, prônés par le christianisme, trouvent aujourd’hui des traductions juridiques. En France, le droit est imprégné par la morale judéo-chrétienne (notamment le droit de la famille). Certaines fêtes chrétiennes sont encore chaumés, et le dimanche est un jour de repos « dominical ». Pour Napoléon Bonaparte, c’est « la religion qui donne à l’État un appui ferme et durable ». 2- De nombreux textes juridiques garantissant le respect des cultes religieux Des sanctions juridiques

un putsch avec le soutien de l’armée et des nationalistes de la Phalange. La guerre civile aboutit, en 1936, à l’instauration de la dictature de Franco.  « Le jarret vif, la poitrine au vent, fusil au poing, ils dévalaient la pente couverte d’un chaume raide… Soudain, l’essor est brisé, une balle a sifflé – une balle fratricide – et leur sang est bu par la terre natale. »                                                Légende de la photographie lors de sa première publication, hebdomadaire Vu

d’Emile Zola, 1868 • Henri Fantin-Latour : Un Atelier aux Batignolles, 1870 • Frédéric Bazille : L’Atelier de la rue Condamine, 1870 • Claude Monet : Jardins en fleurs, 1866 • Claude Monet : L’Hôtel des Roches noires, Trouville, 1870 • Claude Monet : Femmes au jardin, 1866 • Claude Monet : Grosse mer à Etretat, 1868 • Claude Monet : Les Coquelicots, 1873 • Claude Monet : La rue Montorgueil, 1878 • Auguste Renoir : Torse, effet de soleil, 1875 • Gustave Caillebotte : Les Raboteurs de parquet

l'air d'un mauvais filmTout bleuit un peu trop les maisons les passantsLe couloir équivoque et le ruisseau dont ilMonte comme une brume un bruit d'essieux crissantsC'était un soir pareil Les voitures qu'y faire N'avançaient ce soir-là pas vite dans la rue Au Frolics on avait joué un jeu d'enfer Un vieil homme hésitant sur le seuil apparut Il avait tiré à cinq au chemin de ferLe chasseur proposait de chercher un taxi Les clients n'aiment pas flâner sur le trottoir Mais l'un rentrait à son garage et celui-ci

ParqueOte l'âme du corps,L'âge s'évanouit au deçà de la barque,Et ne suit point les morts...La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ;On a beau la prier,La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles,Et nous laisse crier.Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre,Est sujet à ses lois ;Et la garde qui veille aux barrières du LouvreN'en défend point nos rois.De murmurer contre elle, et perdre patience,Il est mal à propos ;Vouloir ce que Dieu veut, est la seule scienceQui nous met en repos. XVIII

ouvrait une porte, il me répétait avec un soupir : « Ah ! mon fils, ah ! qui l’aurait jamais cru ? — Point de bruit, mon père, » répétais-je de mon côté à tout moment. Enfin nous arrivâmes à une espèce de barrière qui est avant la grande porte de la rue. Je me croyais déjà libre, et j’étais derrière le père, tenant ma chandelle d’une main et mon pistolet de l’autre. Pendant qu’il s’empressait d’ouvrir, un domestique qui couchait dans une chambre voisine, entendant le bruit de quelques verrous, se lève

le site profite entièrement du réseau routier grâce à l’axe majeur de la nationale 105 qui traverse le cœur de la ville par la confluence. Le réseau quand à lui propose une traversée pédestre ou en bus de la vieille ville historique (et de sa rue commerçante piétonne) en une vingtaine de minutes avant d’atteindre le site. Deux circuits de randonnées : le GR2 et le GR11 suivent le chemin de halage longeant l’Yonne en bordure de parcelle, reliant la place saint-Louis aux plans d’eau aménagés