Rue Notre-Dame-de-Lorette

de La Défense Europe Neuilly–Porte Maillot Belvédère Ternes Avenue Foch Miromesnil Saint-Philippe du-Roule 4 Suresnes Longchamp George V Kléber Franklin D. Roosevelt Victor Hugo Boissière Avenue Henri Martin Rue de la Pompe Alma Marceau Pont de l’Alma Grands Boulevards Réaumur Sébastopol Louvre Rivoli 5 La Muette Les Coteaux Passy Champ de Mars Tour Eiffel École Bir-Hakeim Militaire Avenue du Pdt Kennedy Dupleix

s’est trouvée elle-même grand-mère quand cette Françoise à son tour s’est mariée (ainsi va l’existence) ; et qu’elle vit encore, aujourd’hui, à Paris dans le XIIIème arrondissement, au rez-de-chaussée d’un immeuble situé dans une rue sombre. C’est une gentille vieille dame qui habite seule et qui ne fait plus parler d’elle, mais qui a encore beaucoup d’années à vivre, car elle se porte bien. Et elle est très heureuse, partageant son temps entre le tricot devant sa fenêtre, la lecture des magazines

saucisson, plus deux bocks sur le boulevard. C'était là sa grande dépense et son grand plaisir des nuits; et il se mit à descendre la rue Notre-Dame-de-Lorette. Il marchait ainsi qu'au temps où il portait l'uniforme des hussards, la poitrine bombée, les jambes un peu entrouvertes comme s'il venait de descendre de cheval; et il avançait brutalement dans la rue pleine de monde, heurtant les épaules, poussant les gens pour ne point se déranger de sa route. Il inclinait légèrement sur l'oreille

Georges Duroy, Charles ForestierLes femmesJacques RivalGarin, MontelNorbert de VarenneLa blonde et une autre femme | A la sortie du restaurant, Rue Notre-Dame de Lorette, Champs-Elysées, Bois de Boulogne, La Madeleine, Paris, Boulevard Poissonnière, la Vie Française, Napolitain, Les Folies-Bergère, Rue Faubourg-Montmartre, Opéra, Saint-Lazare, Lourcine, Rue Fontaine | 18 | 2 | 29 juin 1880 | Une soirée | Georges Duroy, Forestier, Madeleine Forestier, Clotilde de Marelle, Laurine, M. Walter et sa

cadre réel précis, le Paris de 1880, le " 28 juin", sans préciser l'année, grâce a une indication précise et réelle ( la rue notre dame de lorette) qui est une référence au " boulevard" associé au " plaisir des nuits". C'est aussi un quartier où évoluent beaucoup de femmes aux mœurs légères appelé lorette. L'auteur insiste par une hyperbole sur l'attraction de ce quartier, « rue pleine de monde », mais aussi sur le fait qu'il s'agisse du Paris des déshérités. Les expressions qui traduisent la pauvreté

Stalingrad Jaurès Ourcq Laumière Porte de Pantin Hoche Noisy-le-Sec Tournan Pré St-Gervais 3 Puteaux Esplanade de La Défense Pont de Neuilly Les Sablons Wagram Malesherbes Pigalle Anvers Gare du Nord Danube Saint-Georges Notre-Dame de-Lorette Cadet Haussmann Saint-Lazare Magenta 3 Mairie des Lilas Louis Blanc Bolivar Botzaris Colonel Fabien Buttes Chaumont Château Landon Poissonnière Château d’Eau Strasbourg Saint-Denis Bonne Nouvelle Réaumur Sébastopol Gare de l’Est

Ainsi, dans la première phrase l’action se situe dans un lieu qu’est un restaurant désigné par le terme « gargote », ainsi l’action se situe après un repas, soit le déjeuner soit le diner. Elle se déploie ensuite vers le « trottoir » et la « rue notre dame de Lorette ». Ainsi l’action se déroule à Paris. La date est également indiquée : « on était au 28 juin ». Le portrait du protagoniste est dessiné assez vite : Georges Duroy est présenté comme un homme pauvre « il lui restait en poche trois francs

des déjeuners, un franc vingt centimes de boni, ce qui représentait encore deux collations au pain et au saucisson, plus deux bocks sur le boulevard. C'était là sa grande dépense et son grand plaisir des nuits; et il se mit à descendre la rue Notre Dame de Lorette. L’Incipit est l’introduction, le 1er chapitre. Ce passage dresse le portrait du personnage de Georges Duroy. I La présentation de G.Duroy A)      Portrait physique Joli garçon, moustache (dandysme, virilité). Portrait en mouvement car vb

saucisson, plus deux bocks sur le boule- vard. C’était là sa grande dépense et son grand plaisir des nuits ; et il se mit à descendre la rue Notre-Dame-de-Lorette. Il marchait ainsi qu’au tems où il portait l’uniforme des hussards, la Poitrine bombée, les jambes un peu entrouvertes comme s’il venait de Descendre de cheval ; et il avançait brutalement dans la rue pleine de Monde, heurtant les épaules, poussant les gens pour ne point se déranger de sa route. Il inclinait légèrement sur l’oreille

Enfance et adolescence Claude Monet est né à Paris le 14 novembre 1840 au 45, rue Laffitte dans le 9e arrondissement. Il est le second fils d'Adolphe et Louise-Justine Monet, née Aubrée après Léon (1836-1917). Baptisé sous le nom d'Oscar-Claude à Notre-Dame de Lorette, il est appelé Oscar par ses parents1. Il aime à dire plus tard qu'il est un vrai Parisien comme ses grands-parents et ses parents, tous quatre nés à Paris. La famille, grands-parents paternels compris, s'installe au Havre en Normandie