Ruhr

pour la fabrication des machines à outils, des brasseries, dans la fabrication de matériaux de combustion (briqueteries…) Intervention de l’état fédéral dans l’économie : 1876, chemin de fer nationalisé ; gère les forêts ; sociétés minières de la Ruhr (avec l’aide de capitaux privés) => économie mixte. Civilisation de plus en plus urbaine : création des faubourgs avec l’architecture de Guillaume II (comme le bâtiment de l’IEP), germanisation des marchés de l’empire comme à Dantzig, Breslau, Metz

monétaire fiduciaire (monnaie en billet, résultat de la planche à billets) * Laxisme monétaire → besoins financiers importants → continue à faire marcher planche à billets * Janvier 1923 = France décide de se servir elle-même → occupation de la Ruhr * Dévaluation Poincaré * Choix entre 2 politiques * Rester à cette valeur du franc → favoriser grandes entreprises dynamiques à l’exportation * Continuer rigueur pour revenir valeur avant GM1 → favoriser petite bourgeoisie

cohésion : la RANDSTAD (conurbation des Pays Bas réunissant les villes d’Utrecht, Amsterdam, la Haye et Rotterdam. La Rhénanie autre forme de polycentrisme car le land allemand le plus peuplé et doté du + fort poids économique en partie grâce à la Ruhr. ARMATURRE URBAINE : ensemble des villes et leurs zones d’influence organisée en structure hiérarchisé dans un territoire donné. Ces villes assurent la cft de pôle d’attraction pour les zones d’influence, une hiérarchie urbaine s’instaure entre

: une mémoire occultée Le Nord-Pas de Calais est occupé dès juin 1940. Les mines de la région sont exploitées au bénéfice de l’Allemagne. Mais les mineurs, soldats d’une armée vaincue, sont emprisonnés ou sont transférés dans les mines de la Ruhr. Ils sont remplacés par des étudiants désireux d’échapper au STO (service du travail obligatoire) ou par des Ostarbeiter, des travailleurs recrutés de force en Ukraine et en URSS. Ils sont traités comme des prisonniers et parqués dans des camps

fascisme en Italie) qui propose de changer l’homme pour changer le monde. Dans ces trois pays l’industrialisation a été tardive et a eu des effets délétères sur la cohésion sociale. Les masses paysannes transplantées dans des centres industriels géants (Ruhr en Allemagne, Turin et Milan en Italie, régions de la Mer Caspienne et de la Mer Noire en Russie) ont été très vite politisées (Révolution de 1905 en Russie) et ont ressenti durement leur mise à l’écart par des élites sociales restreintes (Aristocratie

englobe Paris et Londres, semblant curieusement ignorer Lyon et Marseille, elle conserve toujours cette suprématie sur le reste de l’Europe, issue des anciens bassins miniers ou commerciaux. On parle de Mégalopole, pour la Zone Paris, Londres, Benelux Ruhr et Alsace Lorraine. Des zones rurales fortement agricoles encadrent ces régions industrielles, sans doute afin d’assurer la subsistance des habitants occupés par l’industrie. CONCLUSION – Bien que très diverse, l’Europe apparaît comme un ensemble

européens : 16 pays acceptent le plan en juillet 47 donc environ 13 milliards de $ entre 1948 et 52. C.La question allemande : Accord sur l’occupation du territoire Accord sur le non démembrement de l’Allemagne. La France l’internalisation de la Ruhr. L’URSS s’oppose à cette fusionalisation Janvier 46 : accord sur des réparations en forme de démontages d’usines (50% pour l’URSS). Janvier - Juin 1948 : Fusion des zones d’occupations à l’ouest, création du Deutsch Mark De Juin 48 à Mai 49 :

partageant pas la même logique face à l'instauration de la paix en Europe, le traité est un compromis entre les parties en présence. La France, exsangue et soucieuse d’assurer avant tout sa sécurité, veut annexer la rive gauche du Rhin, contrôler la Ruhr et obtenir des réparations financières considérables. Elle s'oppose aux Anglo-Saxons qui, essentiellement pour des raisons commerciales, ne veulent pas écraser l'Allemagne. L'Italie quitte un temps la conférence après avoir essuyé un refus à sa volonté

la guerre l'Allemagne est au bord de l'effondrement à tous les niveaux. Du point de vue du moral, les Allemands se sentent humiliés par les décisions prises par les « soit disant » vainqueurs, pour l'Allemagne, comme par exemple l'occupation de la Ruhr par l'armée Française. L'Allemagne connait la crise, l'inflation, le chômage, son économie est totalement bouleversée. C'est sur ces bases fragiles qu'apparait la république de Weimar, une démocratie parlementaire, contesté par les allemands car

circonstances. En août 1933, suite à des violences répétées, quelques détenus de Börgermoor décident de composer leur propre chant. Mis au repos à l’infirmerie, ayant récupéré une guitare, Johann Esser en compose les paroles. Esser est un mineur de la Ruhr, militant au KPD, le parti communiste allemand, qui écrivait de la poésie engagée dans les journaux du parti. Né en 1896, il est décédé en 1971. Il a continué à écrire de nombreux poèmes après la guerre. Les dessins liés à cette chanson disponibles