Ruine

4 : il n’y a plus de pronom, le poète est remplacé par un mini cirque = « Un ours un singe un chien », « tziganes » « roulotte traînée par un âne » + idée qu’il ne reste presque plus rien avec l’anaphore de « un ». Dans la strophe 4 : présence de ruine et de végétaux (champ lexical du végétal) => les êtres humains ont disparu, l’accent est mis sur la nature et le paysage, il ne reste plus personne. Conclusion Apollinaire reflète ses sentiments personnels, sa mélancolie. Mélange du lyrisme traditionnel

difficulté à effacer les souvenirs concernant cette femme. En effet dans la dernière strophe, les « ruines » vers 14 symbolise ce qui est détruit (l’amour) et ce qui résiste à la destruction (le souvenir). « Le vent du Rhin » cherche à entraîner les ruine du passé qui demeure et symbolise donc l’histoire d’amour non oublié. De plus, Apollinaire en embellissant les « ruines »décrit le processus même du souvenir. En effet le souvenir embellit parfois les événements ou les personnes qu'il éternise. Le

Wilhelm) a été consacrée en 1895 et détruite par les bombardements en 1943. Il fut décidé de laisser en état (après reconsolidation) le clocher comme souvenir permanent des ravages de la guerre. Une eglise moderne fut construite près du clocher en ruine (architecte Egon Eiermann) et fut consacrée en 1961. Cette église fut le centre de Berlin-Ouest et reste le point central du quartier commerçant de l'Ouest. A l'intérieur des ruines, très belles mosaïques au plafond et quelques photos historiques

pour construire à nouveau : la mémoire des livres ne peut renaître que par sa disparition ; comme si la présence ne pouvait être révélée qu’au prix de l’absence. L’artiste nous invite à éprouver « le sentiment de profonde mélancolie qui succède à la ruine, à l’écho d’une destruction […] le sentiment d’une perte »(2). C’est en effet ce que l’on peut ressentir en pénétrant dans ce lieu, et en contemplant les murs silencieux, ce « paysage de ruines et d’ombres »(3). Et c’est sans doute ce qu’il a également

était un visiteur ou un touriste qui voulait découvrir Rome. Il exprime sa déception grâce à la répétition du mot « vieux » (« vieux palais, vieux arcs, vieux murs »), cette déception est encore montrée dans la deuxième strophe (« quel orgueil, quelle ruine »). Il veut montrer au lecteur que la Rome qu’il voit n’est rien comparée à la Rome qu’il voulait découvrir, à la Rome qui régnait sur le monde (« Celle qui mit le monde sous ses lois […] se dompta quelques fois » v6-7) et qui a perdu toute sa puissance

DEDILE; Les jardins, Chant II - - Tableau 03 ==> Jean François MILLET; La taille du raisin, 1860 -Texte 04 ==> DIDEROT; Impressions de Diderot face à un tableau de Hubert Robert - - Tableau 04 ==> Hubert ROBERT; Galerie du Louvre en ruine, 1796 - Annexe 04 ==> Hubert ROBERT; La grotte, 1793 - Texte 05 ==> VOLNEY; Les ruines ou les méditations sur les révolutions des empires, II - Tableau 05 ==> Joseph WRIGHT OF DERBY, Le vieil homme et la mort, 1773 - Annexe 05 ==>

Paradoxal car «aimer» est le contraste de la « Solitude » ex. « j'aime »v4, « plaise »v5, « sont contents »v11 L'idée de bonheur sont associe aux textes qui connote plutôt le « malheur » ex.. « inquiétude »v4, « décadence »v11, « ruine »v12, « martyrisent »v18 -La première partie du texte est plutôt lyrique alors que la 2eme partie contient plus d'exclamatif -Plaisent a mon inquiétude, Inquiétude est le contraire de tranquillité a l'époque -Les contrastes des

/antiquités dans certaines villes, d’où un certain jugement négatif * A Empoli : malgré beauté du site, remarque absence de ruines/antiquités * P.312 : « Je ne reconnus aucunes traces d’antiquités, si ce n’est, près du grand chemin, un pont en ruine qui a quelque chose de vétusté ». * Ex : Pise * Citation (p.317) : il n’y a pas beaucoup de restes d’anciens édifices ou d’antiquités » * P.319 : « à l’exception […] des ruines anciennes [mais aussi de l’Arno (le fleuve), du canal et

(l29), être prét a se sacrifier pour les autres, ceux qui est tout le contraire pour les occidentaux. Le roi dans le nouveau monde ne passera jamais avant son armée. Les sauvages ingnoraient que leur ruine avait déja commençait, qu'un jour leur bonheur se finirait " de ce commerce naitra leur ruine" (l3) , ils vivaient dans la misère alors que les occidentaux vivaient dans le luxe. Le champs lexical de la premiére phrase, " coûtera, ruines, bien misérables, piper" nous montre bien la supèriorité

par l'émergence de libertés originales, telle l'égalité des droits politiques entre les sexes et les différentes classes sociales. Les citoyens comme les gouvernements, ressentent une grande déception à la sortie de la guerre : rivalités, tensions, ruine de l'économie mondiale, autant de réalités quotidiennes qui font de la solidarité internationale une réalité mort-née dans les opinions publiques. Seul point positive des années 20, la tendance a jouir des plaisirs : " Plus jamais sa " proclamait