Rupture Sino Sovietique

A propos de ses rapports avec l‘URSS : Londres comptait sur Moscou pour contribuer à contrôler l‘Allemagne après la guerre (26 Mai 1942 traité anglo-soviétique) tout en étant très anticommuniste et méfiant par rapport aux objectifs soviétiques (plus que Washington). Les objectifs soviétiques : Ils n‘ont pas bien été compris car Staline joue « la ligne nationale » et met en sourdine la proclamation publique de l‘idéologie. Dans ces conditions, Roosevelt

Le choix dans la mondialisation a) La Chine dans la mondialisation[i]. La république démocratique de la chine (RPC) fondé en 1949, a été longtemps isolée. La victoire du communisme la place dans le bloc anticapitaliste, mais la rupture sino-soviétique, en 1960, accentue son isolement. Elle se sent alors encerclé par Moscou et ses alliés asiatiques (Mongolie, Inde, Vietnam) et se pose en mentor d'un tiers-monde auquel elle propose, avec le maoïsme[ii], une troisième voie de développement

immédiats (Philippines, Taïwan). ( 2,2 % des exportations mondiales d'armes, soit plus que l'Allemagne mais moins qu'Israël (USA 50 %, Russie 20 %, France 12 % ). En termes de menace, la Chine n'est en rien comparable à l'Union soviétique durant la guerre froide. C / Son influence politique et culturelle est également circonscrite ( A la différence des années 60 et 70, où les faiblesses économiques et militaires chinoises ont pu dans une certaine mesure être

les 1er à avoir l’arme nucléaire et sont N ; ils pensent que un N signifie un monde stable mais que s’il y avait un autre pays que N qui possédait l’arme nucléaire alors ca serait l’instabilité et insécurité du monde. Par ailleurs, pour l’Union Soviétique qui est le 2nd à avoir l’arme nucléaire : N=2, cela signifie que le monde serait stable et sécurisé avec 2 pays qui détiennent l’arme nucléaire mais que si un 3ème pays la détenait, alors là il y aurait une insécurité, une instabilité. Chacun estime

des structures différentes de cette dernière, plus de membres et des engagements plus forts entre ceux-ci, l’ONU est destinée avant tout à résoudre pacifiquement les tensions internationales. En quoi la Seconde Guerre mondiale marque-t-elle une rupture profonde dans les relations internationales et en quoi génère-t-elle l’espoir d’un monde meilleur ? I. Un bilan accablant A. Sur le plan humain a) La guerre la plus meurtrière de l’Histoire jusqu’à ce jour 60

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accepté la politique de déstalinisation et de « coexistence pacifique ». La rupture est consommée entre Moscou et Pékin dès l’arrivée de Brejnev en 1964, en 1967 la Chine n’a plus besoin de l’URSS et fait sa propre politique extérieure. En 1969, les relations sont si tenues entre les deux qu’on assiste à un début de conflit sino-soviétique sur les bords du fleuve Amour. La Révolution culturelle est une illustration de cette rupture : Mao met en place une politique purement stalinienne. D’ailleurs, beaucoup

tradition multipartiste (Taïwan, Corée du sud, Philippines, Malaisie)  Pays communistes ouverts à l’économie de marché (Chine, Vietnam, Cambodge) 2- Des tensions géopolitiques fortes Héritages de l’histoire :  Seconde guerre mondiale : rupture sino-soviétique  Décolonisations dans la violence (Indochine)  Asie divisée par la guerre froide (Corée, Vietnam) Sentiments nationalistes et xénophobes dans chaque pays : Exemple de conflit : Le détroit de Taïwan fait l’objet de manœuvres de la part de

des progrès techniques considérables. Cette période constitue un ensemble cohérent et homogène qu'il convient d'appréhender dans sa globalité. La première moitié de la période a été appelée en France « les Années folles », essentiellement pour les ruptures dans le comportement social (nouvelles esthétiques artistiques transgressives, développement des transports, en particulier individuels, modification des codes de comportement, en particulier chez les femmes des classes supérieures et moyennes).

pouvoir, établissant ainsi l'Union Soviétique et déclarant une guerre idéologique aux pays capitalistes de l'ouest. Les États-Unis, mécontents du nouveau régime, refusent de reconnaître l'URSS comme état jusqu'en 1933. Bataillant côte à côte durant la deuxième guerre mondiale, les relations entre les États-Unis et l'Union Soviétique commencèrent à se dégrader sérieusement à partir de 1944 et prirent un tournant pour le pire après que Joseph Staline, le chef soviétique à l'époque décida d'aller à l'encontre